Auteur(s) de la notice :

FIORI Ruth

Profession ou activité principale

Homme de lettres, critique théâtral et auteur dramatique

Sujets d’étude
Histoire de Paris, histoire littéraire, histoire du théâtre, variétés historiques

Carrière
Issu d’une famille de serruriers-artistes, fait ses études à Orléans
1842 : début de sa carrière littéraire ; publie des feuilletons littéraires dans le journal Le Loiret puis collabore à de nombreux journaux et compose des pièces de théâtres
1851 : arrive à Paris ; présentation de Christian et Marguerite, comédie en deux actes et en vers, au Théâtre français
1853-1855 : rédacteur en chef du Journal des provinces
1856 : entre au journal La Patrie comme chroniqueur
1863 : directeur de la Revue des provinces
1872 : bibliothécaire du ministère de l’Intérieur
1872 : présentation à la Comédie-Française de la Vraie Farce de Maître Pathelin, mise en 3 actes et en vers modernes, qui eut un succès important

Chevalier de la Légion d’honneur (1862) ; prix Halphen à l’Académie française (1867) ; prix Montyon pour son ouvrage Le Théâtre français avant la Renaissance, le théâtre français des XVIe et XVIIe siècles (1873) ; membre de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France (dès 1875)

Étude critique

Reconnu davantage comme littérateur et homme de lettres que comme historien, cet érudit de la fin de la deuxième moitié du XIXe siècle consacra de nombreux travaux à des domaines très divers, dont nous ne donnerons ici qu’un aperçu.

Originaire d’Orléans, Édouard Fournier commença par la rédaction de feuilletons littéraires pour le journal Le Loiret. Tout au long de sa carrière, il collabora à de nombreux périodiques : le Journal des théâtres, La Patrie où il tînt le feuilleton théâtral de 1859 à 1880, Le Siècle, le Figaro, le Gaulois ; des revues comme L’Illustration, la Revue française, la Revue des provinces, dont il fut le directeur en 1863 ou encore L’Encyclopédie du XIXe siècle. Auteur dramatique, il composa dès son arrivée à Paris en 1851 de nombreuses comédies qui furent représentées aux théâtres de l’Odéon, des Bouffes parisiennes et au Théâtre français. Critique théâtral et littéraire, il publia plusieurs ouvrages sur l’histoire du théâtre, sur la vie des auteurs classiques (Pierre Corneille, Molière, Pierre de Marivaux, Jean Racine ou encore Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais) ainsi que sur l’histoire de la musique (La Musique chez le peuple ou l’opéra national, son passé et son avenir en 1847, Essai sur l’art lyrique au théâtre en 1849). Il proposa en outre des éditions nouvelles de plusieurs classiques et d’anciens ouvrages, annotées et augmentées d’une étude. Il consacra à l’histoire du livre deux de ses publications : en 1851 L’Histoire de l’imprimerie en collaboration avec Ferdinand Seré et Paul Lacroix (également connu sous le nom de bibliophile Jacob) pour la collection « Le Livre d’or des métiers », puis L’Art de la reliure en France aux derniers siècles en 1864. L’histoire des jouets fut un autre de ses thèmes, avec Le Jeu de Paume, son histoire et sa description (1862) et la publication posthume de l’Histoire des jouets et des jeux (1889).

La plupart de ses ouvrages, mêlant histoire et littérature, étaient désignés sous le nom de variétés littéraires et historiques. C’était le cas des Souvenirs historiques et littéraires du Loiret (1849) et de ses deux collaborations pour la collection « Le Livre d’or des métiers ». L’Esprit des autres recueilli et raconté et L’Esprit dans l’histoire, dont les premières parutions en 1857 furent suivies de nombreuses rééditions, se présentaient tous deux comme des œuvres de réattribution : Fournier chercha à corriger les erreurs répandues dans le public en rétablissant les véritables auteurs des citations littéraires, des mots et des faits célèbres. Le Vieux-Neuf (1859) retraçait en trois volumes l’histoire ancienne des inventions et des découvertes modernes depuis l’Antiquité, dans des domaines, des lieux et des époques extrêmement variés. Pour terminer, les dix volumes des Variétés historiques et littéraires venaient réhabiliter et faire connaître divers écrits : lettres, éloges et pièces rares d’auteurs souvent connus, relatives à l’histoire et à la littérature.

Ces différentes publications, dans lesquelles on peut percevoir un intérêt plus particulier pour les auteurs classiques, le travail sur les textes anciens et les anecdotes historiques, illustrent bien l’éclectisme qui caractérisait l’érudition d’Édouard Fournier, ainsi que l’étendue de sa curiosité. Cette culture, livresque avant tout, avait été acquise par d’innombrables lectures et une fréquentation assidue des bibliothèques. Comme le soulignèrent plusieurs contemporains, la pratique du feuilleton apporta également à sa plume un côté léger, saisissant et vivant qui fit sa renommée. Tout comme l’histoire du théâtre où Fournier contribua à vulgariser les farces du Moyen Âge, les auteurs de la Renaissance et la vie des auteurs classiques, l’histoire de l’art s’intégrait dans cette approche littéraire, pluridisciplinaire et érudite.

Dans ce domaine, cet homme de lettres également passionné d’archéologie acquit la réputation de spécialiste de l’histoire du Vieux Paris. Après la publication en 1851 d’un Album archéologique sur des édifices du Loiret, où il écrivit les textes historiques, c’est en effet à l’histoire de la capitale qu’il se consacra. Il s’inscrivait alors dans le courant nostalgique pour le Vieux Paris qui parcourut tout le XIXe siècle. Ses récits, dont le déroulement s’arrête pour la plupart d’entre eux au début du XIXe siècle, voire à la fin du XVIIIe siècle avec la Révolution française, ont tous pour toile de fond les grands travaux et les démolitions lancés sous Napoléon III : le Paris démoli (1853) qui fut réédité en 1855 avec une préface de Théophile Gautier restée célèbre ; la contribution au Paris-Guide publié pour l’Exposition universelle de 1867 dans laquelle il dressa l’inventaire des vieux hôtels et logis parisiens disparus ou menacés. La célèbre « Promenade historique dans Paris », chapitre le plus important de l’ouvrage collectif Paris dans sa splendeur (1861), fut rééditée à part en 1894 et s’inscrivait aussi dans l’actualité des bouleversements urbains. L’Histoire de la Butte des Moulins (1877) reprenait le thème d’un chapitre du Paris démoli réactualisé à la suite des découvertes liées aux percées récentes dans ce quartier totalement transformé depuis la construction de l’Opéra (commencé en 1862, inauguré en 1875). L’Histoire des enseignes de Paris est une publication posthume à partir des notes que Fournier n’avait pas eu le temps de mettre en forme.

En fixant les ruines par la plume et en les sauvant ainsi de l’oubli, le travail d’écriture apparaissait clairement comme le corollaire des démolitions : « Notre mission, à nous, est de renseigner le public préoccupé de ces ruines et le passant qui les regarde s’amonceler, sur le haut prix historique de ce qui disparaît ; c’est aussi d’en tenir registre, afin que ce qui tombe dans la poussière ne se perde pas en même temps dans l’oubli ; […]. Nous attendrions toutefois que la démolition, s’arrêtant enfin, nous eût bien défini notre tâche. La plume ne doit commencer son travail que lorsque le marteau aura terminé le sien » (Paris démoli, introduction datée du 25 mars 1855, p. LVIII). Dans sa monographie consacrée à l’histoire du Pont-Neuf (1862), Fournier terminait sur la réédification de la statue de Henri IV en 1817, regrettant le sort du vieux pont à l’ère des grands travaux : « Les embellissements […] sont presque tous réalisés ; les ponts et les quais sont libres : la Cité ne sera bientôt plus […] qu’un beau quartier tiré au cordeau ; le Louvre est achevé, enfin tout est pour le mieux, hormis que le vieux Pont-Neuf est défunt. Vivant, il était la vie du Vieux Paris ; mort, il est l’image de sa mort » (p. 611). D’autres écrits viennent compléter la liste de ces travaux historiques consacrés à Paris : Les Lanternes, histoire de l’ancien éclairage de Paris (1854), Énigmes des rues de Paris (1860) où il s’interroge sur l’origine et l’étymologie de la toponymie parisienne ; Chroniques et Légendes des rues de Paris (1864) dans lequel il fait part du regard des poètes sur les transformations de la ville, et le Paris-Capitale (1881). Ce qui fit la renommée d’Édouard Fournier comme historien du Vieux Paris fut également sa contribution à l’ouvrage alors célèbre de l’architecte Fédor Hoffbauer, Paris à travers les âges. Paru en douze livraisons de 1875 à 1884, ce livre sous-titré Aspect successif des monuments et quartiers historiques de Paris depuis le XIIIe siècle jusqu’à nos jours, fidèlement restitués d’après les documents authentiques retraçait l’évolution urbaine de la capitale par de nombreuses restitutions évoquant l’aspect de ses monuments et de ses quartiers à différentes époques. Fournier rédigea trois chapitres monographiques : « L’histoire du Louvre et de ses environs », « Le Palais de Justice et le Pont-Neuf », « Le Palais-Royal et ses environs ».

Ces écrits qui ont connu plusieurs rééditions furent très populaires. Ils ont pour beaucoup contribué à fixer l’image vivante, anecdotique et pittoresque du Vieux Paris en opposition avec celle de la ville moderne, jugée sans âme. Ils rejoignaient par là ceux que Victor Fournel (1829-1894) consacra à l’histoire des rues, fêtes et spectacles du Vieux Paris. L’aspect ancien de la ville, devenu objet d’étude et d’histoire, suscita ainsi un mode d’écriture spécifique par lequel ces auteurs ont cherché à le faire revivre. Par le biais d’une promenade fictive, souvenirs, anecdotes, personnages, événements historiques et faits quotidiens, description historique et archéologique des monuments, vieux logis et détails urbains venaient redonner vie à ce passé en disparition. L’histoire du Vieux Paris se constituait donc à ce moment-là, en étroite relation avec les démolitions. Parallèlement à la création du musée Carnavalet, institué en 1866 mais inauguré en 1880, les écrits d’Édouard Fournier ont ainsi préparé l’avènement d’une conscience patrimoniale parisienne qui, à la fin du siècle, a fait du Vieux Paris un objet de conservation à part entière, dans son aspect monumental, urbain et historique.

Ruth Fiori, docteur en histoire de l’art, université Paris I, ancienne chargée d’études à l’Institut national d’histoire de l’art

Principales publications

Pour la liste complète des œuvres d’Édouard Fournier, le lecteur pourra se reporter au Catalogue des livres, des manuscrits et autographes composant la bibliothèque de feu Édouard Fournier (Paris, 1880) dans lequel les publications sont classées par thème.

Ouvrages et catalogues d’expositions

Articles

  • « Les Parrains des rues de Paris. Claude Charlot ». La Revue française, 1er août 1856, p. 30-35.
  • « Promenade historique dans Paris ». In Paris dans sa splendeur. Paris : Henri Charpentier, 1861, vol. 2, p. 1-76.
  • « Les Galanteries du XVIIIe siècle de Charles Monselet ». La Revue des provinces, 15 mars 1864, p. 521-527.
  • « Les Maisons historiques ». In Paris-Guide par les principaux écrivains et artistes de la France. Paris : librairie internationale ; Bruxelles : A. Lacroix, Verbeockhoven, 1867, p. 52-78.
  • « L’Hôtel Lassys résidence du Shah de Perse à Paris ». La Revue de France, août 1873, p. 422-432.
  • « Histoire du Louvre et de ses environs », « Le Palais de Justice et le Pont-Neuf », « Le Palais-Royal et ses environs ». In Fédor Hoffbauer. – Paris à travers les âges : aspects successifs des monuments et quartiers historiques de Paris depuis le XIIIe siècle jusqu’à nos jours. Paris : Firmin-Didot et Cie, 1875, 75, 68 et 56 p.
  • « Observations relatives à Jodelet et au Jeu de Paume de la rue du Grenier-Saint-Lazare ». Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. VI, 1879, p. 37, 77.
  • « Communication sur le Petit Canon du Palais-Royal ». Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. VI, 1879, p. 38, 77.

Bibliographie critique sélective

  • Arnould Arthur. – Béranger, ses amis, ses ennemis et ses critiques, t. II. Paris : Joël Cherbuliez, 1864, p. 177-180.
  • Dantès Alfred. – Dictionnaire biographique et bibliographique des hommes les plus remarquables dans les lettres, les sciences et les arts, chez tous les peuples, à toutes les époques. Paris : Boyer, 1875.
  • Cousin Jules. – « Bibliographie. Paris à travers les âges. Histoire de l’Hôtel de Ville ». Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. III, 1876, p. 57-59.
  • Bitard Adolphe. – Dictionnaire général de biographie contemporaine, française et étrangère. Paris : Dreyfus, 1878.
  • Glaeser Ernest. – Biographie nationale des contemporains. Paris : Glaeser, 1878.
  • Chevalier A. – « Bibliographie. Paris à travers les âges. Le Louvre et ses environs [par Édouard Fournier] ». Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. V, 1878, p. 61-62.
  • Chevalier A. – « Bibliographie.Paris à travers les âges. Le Palais de Justice et le Pont-Neuf [par Édouard Fournier] ». Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. V, 1878, p. 159.
  • Chevalier A. – « Bibliographie. Le Livre commode des adresses de Paris pour 1692 [suivi d’appendices, précédé d’une introduction et annoté par Édouard Fournier] ». Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. VI, 1879, p. 57.
  • Boulenger J. Romain. – « Bibliographie. Le Livre commode des adresses de Paris pour 1692 [suivi d’appendices, précédé d’une introduction et annoté par Édouard Founier] ». Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. VI, 1879, p 182.
  • Boulenger J. Romain. – « Paris à travers les âges. Le Palais-Royal ». Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. VII, 1880, p. 95-96.
  • Fétis François Joseph. – Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Paris : Firmin-Didot, 1881-1889.
  • Vapereau Gustave. – Dictionnaire universel des contemporains contenant toutes les personnes notables de la France et des pays étrangers. Paris : Hachette, 1893.
  • Larousse Pierre. – « Fournier, Édouard ». In Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle. Nîmes : C. Lacour éditeur, 1990, t. XI, p. 683.
  • Bernard Daniel. – « La Bibliothèque d’Édouard Fournier ». In Le Livre, bibliographie rétrospective, t. I, 1880, p. 329-334.
  • Catalogue des livres des manuscrits et autographes composant la bibliothèque de feu M. Édouard Fournier homme de lettres, précédé d’une notice de Jules Cousin. Paris : Adolphe Labitte, 1880, 302 p.
  • La Pommeraye Henry (de). – « Édouard Fournier ». In Mermet Émile, La Presse française, Annuaire, 1881, p. 688-691.
  • Barroux Marius. – Le Département de la Seine et la Ville de Paris. Notions générales et bibliographiques pour en étudier l’histoire. Paris : J. Dumoulin, 1910, p. 70-71.
  • Richardot J. – « Fournier Édouard ». In Prevost Michel, Roman d’Amat Jean-Charles, Tribout de Morembert Henri, Dictionnaire de biographie française, t. XIV. Paris : Letouzey et Ané, 1979, p. 824.

Sources identifiées

Paris, Archives nationales

  • Ministère de l’Instruction publique : F/17/3153 : Indemnité [lettre de Fournier datée du 4 septembre 1848, dans laquelle il réclame une part de l’indemnité votée par l’Assemblée nationale pour les gens de lettres et à laquelle ses publications et travaux littéraires l’autorisent à prétendre]
  • Société des gens de lettres : 454 AP 160 [38 pièces dont de nombreuses lettres autographes signées]
  • Légion d’honneur (dossier vide) : L1015061

Paris, Bibliothèque historique de la Ville de Paris, manuscrits

  • Ms 92-101 : recueil d’Édouard Fournier. Copies de documents dont la plupart complètent les « Variétés historiques et littéraires, recueil de pièces volantes rares et curieuses », Bibliothèque elzévirienne, 10 vol. in-16, 1855-1863, et dont les autres (ms. 101 principalement) ont été reproduits dans cette publication
  • Ms 518 : campagne pour la sauvegarde des arènes de Lutèce. Correspondance reçue en 1870 par Charles Read, chef de la section des Archives, de la bibliothèque et des travaux historiques à la préfecture de la Seine et par le marquis de Pontécoulant, président de la Société de numismatique : lettres signées d’Édouard Fournier, Eugène Young…
  • Papiers Édouard Fournier : Ms 1774, t. I : notes et matériaux pour des ouvrages qui n’ont pas été édités ; Ms 1775, t. II : notes et matériaux et texte d’œuvres éditées ou non ; Ms 776, t. III : notes et textes manuscrits sur divers sujets parisiens ; Ms 1777-1786 : petits carnets de notes d’Édouard Fournier : trois agendas, trois carnets répertoires et quatre carnets de notes
  • Manuscrits autographes 3058, t. 40 ; fol. 276 : trois lettres autographes signées : remerciement pour un article (s. d.) ; demande de places de théâtre (1861) ; envoi des épreuves d’une carte photographique (1878)
  • CP 3139 : « É. Fournier. La Butte des Moulins. 2e édition manuscrite autographe. » Manuscrit préparé pour l’impression de l’Histoire de la Butte des Moulins d’après le chapitre de Paris démoli consacré au même sujet, don de l’auteur. 1877 ; fol. 24 : « Les Demeures de Corneille à Paris »
  • CP 3407 : papiers Édouard Fournier. Notes sur le Pont-Neuf. Un carton
  • CP 3418 : notes d’Édouard Fournier relatives aux lanternes et à l’éclairage de Paris. Une enveloppe contenant cent une petites fiches
  • CP 3433 : « La Colonne de la halle au blé, par Édouard Fournier. Feuilleton du Moniteur universel du 20 octobre 1854 » ; fol. 12 : les chiffres de Henri II et de Catherine de Médicis au Louvre, article du Moniteur universel du 10 janvier 1856 signé Édouard Fournier, 12 ff.
  • CP 6359 : billet de remerciement à X qu’il regrette de n’avoir pas rencontré aux Variétés, pour son « bel article ». s. l. n. d., 1 f. ; demande de deux places de théâtre, Paris, 27 avril 1861, 1 f. ; F. bibliothécaire du ministère de l’Intérieur, déclare adresser à son correspondant deux épreuves, demandées par le jury, de ses cartes photographiques, Paris, 30 avril 1878, 2 f.