Auteur(s) de la notice :

SORIA Judith

Profession ou activité principale

Archéologue, historien de l’art

Sujets d’étude

Archéologie byzantine, topographie constantinopolitaine, échanges entre Orient et Occident

Carrière

1898 : admis en première année de l’École des chartes
1901-1902 : bachelier en théologie protestante de l’université de Paris
1902 : diplômé de l’École pratique des hautes études (thèse sur Bérenger de Tours et la controverse sacramentaire)
1904-1907 : pensionnaire de la fondation Thiers
1906 : membre de l’Association pour l’encouragement des études grecques
1907 – 1920 : chargé de plusieurs missions scientifiques à Constantinople par le ministère de l’Instruction publique et par l’Académie des inscriptions et belles-lettres
1908 : membre correspondant de l’Institut archéologique russe de Constantinople
1908-1909 : chargé de conférences à l’École pratique des hautes études (section des sciences religieuses)
1910 : docteur ès lettres de la Sorbonne
1911 : chargé de mission scientifique en Russie
1911 : chargé de conférences à l’Institut français de Saint-Pétersbourg
1914 : associé correspondant de la Société nationale des antiquaires de France
1924-1928 : Secrétaire adjoint de l’Association pour l’encouragement des études grecques
1926 : membre honoraire de la Société d’études byzantines d’Athènes

Étude critique

Fin lettré, Jean Ebersolt est également un homme de terrain, et son terrain sera principalement Constantinople ou Stamboul pour utiliser le vocable de l’époque. Issu d’une famille de pasteurs, il commence naturellement sa formation par la théologie. Élève titulaire de l’École pratique des hautes études, il suit à partir de 1899 la conférence de Jean Réville sur l’histoire de l’Église chrétienne. En 1902, il sera diplômé de l’école et bachelier de théologie protestante. C’est sans doute à la section des sciences religieuses de l’École pratique des hautes études que Jean Ebersolt rencontre Gabriel Millet, dont il suit la conférence à partir de 1901, et avec lequel il collabore dès 1903. Cette rencontre, ainsi que celle de Charles Diehl peu de temps auparavant, l’a conduit à Byzance, domaine de recherche qu’il ne quittera plus. Bien qu’il se consacrât pleinement aux missions archéologiques et à l’histoire de l’art, et malgré des contacts et des échanges constants avec les grands noms de la discipline, Jean Ebersolt est resté relativement extérieur à la profession et n’a jamais occupé de poste universitaire. Son mariage avec Juliette Maury, petite-fille de l’industriel Jules Monnerat – l’un des co-fondateurs de Nestlé – en 1913 lui assure un train de vie confortable, qui lui permet de se consacrer à la recherche, et l’introduit dans un milieu culturel brillant.

Il aborde la civilisation byzantine en historien de l’art, mais surtout en archéologue. Méthodique, il appréhende l’objet de son étude par une description, puis le compare aux productions contemporaines et le confronte aux sources écrites avant d’en proposer une interprétation. Il se plaît d’ailleurs à écrire combien l’observation n’est rien sans l’aide des sources écrites, et rappelle fréquemment leur importance au secours de l’archéologie. Cette « grande sureté de méthode » est saluée par Louis Bréhier dans une lettre de remerciement datant de 1921 (archives privées). Les textes suppléent ou rendent intelligibles les données du terrain et du matériel dans le travail d’Ebersolt La confrontation du Livre des cérémonies, composé à la demande de l’empereur Constantin VII Porphyrogénète, aux ruines palatiales est l’exemple le plus parlant de cette méthode. Le Grand Palais de Constantinople et le Livre des cérémonies est d’ailleurs le sujet de la thèse d’État qu’il soutient en 1910. Il y propose un plan du Grand Palais d’après les informations données en creux par le Livre des cérémonies. Ebersolt a le mérite d’avoir mieux que ses prédécesseurs considéré l’évolution et la transformation du bâtiment au cours des siècles, ce que souligne Charles Diehl dans sa préface à la publication. Cette contribution est une étape importante dans l’historiographie du Grand Palais, bien qu’elle n’ait jamais fait l’unanimité (voir notamment la recension de J. Bury dans BZ 21, 1912). Sa thèse complémentaire, consacrée à Sainte-Sophie, est également l’occasion d’une étude topographique d’après ce même Livre des cérémonies. Déjà dans la publication et traduction des Actes de saint Jacques et des Actes d’Aquilas en 1902, on sent l’intérêt du jeune homme pour la topographie historique. Il consacre en effet un chapitre, « La sainte Sion et les traditions qui s’y rattachent depuis les origines jusqu’à Hippolyte de Thèbes », à l’examen des différentes traditions qui font du Mont Sion le dernier lieu de la vie terrestre de Marie, confrontant les textes aux données archéologiques. Parmi les ouvrages d’importance, il faut mentionner la collaboration avec l’architecte Adolphe Thiers pour Les Églises de Constantinople (1913). Le texte présente la description et l’analyse de l’architecture et des parties sculptées d’une quinzaine d’édifices, ainsi que leur inscription dans l’espace urbain lorsque cela est rendu possible par les données. Le matériel récolté au cours des missions préparatoires à Istanbul est considérable et les plans d’Adolphe Thiers, non seulement font état de détails qui ont aujourd’hui disparu, mais charment encore par la beauté des planches au style 1900. On voit que l’attraction de Constantinople s’impose très tôt à Ebersolt, la capitale impériale devenant son principal objet d’étude. L’archéologue multiplie alors les sources pour approcher la ville médiévale. Les données archéologiques sont également confrontées au regard dynamique et diachronique des voyageurs de l’époque moderne et contemporaine (Constantinople byzantine et les voyageurs du Levant). Les objets constantinopolitains disséminés en Europe apportent aussi leur témoignage, morcelé et fragmentaire (Sanctuaires de Byzance).

La réédition en 1951 d’un certain nombre des travaux consacrés à Constantinople en un volume, ainsi que celle en 1979 des Église de Constantinople montrent, outre la place éminente de la ville dans le travail de leur auteur, l’intérêt que certaines de ses publications ont continué de susciter.

Un autre grand thème d’étude d’Ebersolt est les échanges entre l’Orient et l’Occident. Deux ouvrages, Orient et Occident : Recherches sur les influences byzantines et orientales en France avant les croisades (1928), et Orient et Occident : Recherches sur les influences byzantines et orientales en France pendant les croisades (1929), sont consacrés à cette question. L’intérêt de ces livres, assez brefs, réside dans le recensement des déplacements de personnes – pèlerins et voyageurs – entre Orient et Occident. En revanche, les conséquences de ces déplacements sur la création artistique et la production d’objets ne sont guère approfondies. Il semble parfois qu’Ebersolt les déduise de ces échanges, sans les nommer précisément. De plus, la question est considérée dans les strictes limites de la France, dont il admet la continuité depuis la Gaule, et l’Orient ne bénéficie pas d’une définition géographique précise. D’une manière générale, il fait la part belle au charme de l’Orient qu’il décrit dans un style élégant – « Byzance apparaît comme une cité d’or et de perles, reflétée dans une mer d’azur », peut-on lire dans l’introduction de l’ouvrage consacré aux Arts Somptuaires de Byzance (1923) – et à l’élément oriental qu’il s’attache à débusquer dans la civilisation française, notamment dans l’art roman, à l’instar de son aîné Louis Bréhier. Il remarque ainsi l’unité des manuscrits byzantins et carolingiens dans l’illustration des canons d’Eusèbe, en particulier sur les motifs architecturaux. Les scènes peintes sous des arcatures dans les livres byzantins sont, par exemple, citées comme modèles de l’art roman qui se développe par la suite en France. Cet ouvrage a bénéficié d’une réédition en un volume unique en 1954. En dehors de ces deux livres, le thème apparaît en filigrane dans d’autres études, notamment Sanctuaires de Byzance et La Miniature byzantine. La question est abordée sous l’angle des influences – on emploierait aujourd’hui plus volontiers le mot « appropriation » ; il est vrai que les termes ne font pas l’objet d’une définition théorique rigoureuse chez Ebersolt, comme c’est le cas au demeurant chez ses contemporains (voir J.-M. Spieser, « Art byzantin et influence : pour l’histoire d’une construction », in Byzance et le monde extérieur, p. 271-288).

À cela est liée la question qui fait débat durant toute la première partie du vingtième siècle, celle de l’origine de l’art byzantin, qu’Ebersolt rattache comme son maître Charles Diehl à l’Antiquité grecque et à l’Orient syrien, mentionnant peu l’art romain. « De l’Antiquité, ils [les artistes] avaient reçu ce sens de la mesure, ce sentiment de réserve, d’élégance, de noblesse, cet accent d’idéalisme, qui donnent une valeur inestimable à beaucoup de leurs œuvres. À l’Orient asiatique, qui représentait une tradition indigène, hostile à l’hellénisme, ils ont emprunté le goût de la couleur, le sens du décor et l’amour du luxe le plus éclatant. Ils se sont efforcés de réduire à l’unité ces deux esprits différents, ces deux traditions rivales, et de les concilier avec l’idéal du monde nouveau, qui était né en Palestine sous le signe de la Croix. » (« Byzance et l’art décoratif », in Exposition internationale d’art byzantin, 28 mai-9 juillet 1931, 1931.) Constantinople est perçue dans ce système, encore une fois à la suite de Charles Diehl, comme la terre fertile qui a su assimiler différentes caractéristiques exogènes pour faire naître un art original, équilibré et pittoresque, rayonnant dans tout le bassin méditerranéen et au-delà. Aussi, s’il envisage une origine byzantine à l’art roman, Ebersolt insiste également sur l’origine orientale de l’art byzantin. L’importance de la notion d’influence, reçue d’Orient, exercée en Occident est omniprésente dans les écrits autour de ces questions.

Homme de terrain par excellence, Ebersolt a effectué de nombreuses missions, et s’il présentait régulièrement le résultat de ses recherches et de ses missions à l’École pratique des hautes études dans le cadre de la conférence de Gabriel Millet, et devant l’Académie des inscriptions et belles-lettres, il n’a jamais enseigné. Sollicité tardivement pour un poste à l’université de Bruxelles, il n’eut pas le temps de commencer cette vie universitaire, décédant soudainement avant d’entrer en fonction à l’âge de 54 ans.

Finalement, malgré sa formation philologique et théologique, Ebersolt appréhende l’art byzantin par la technique et la topographie, abordant relativement peu l’iconographie ou la dimension religieuse de cet art, si ce n’est de façon conventionnelle et sans renouveler la question. Il aborde en effet les arts graphiques, peinture et objets d’art de manière plus générale, et montre quelques fois des vues un peu étriquées sur la question. Il considère par exemple dans son ouvrage La Miniature byzantine (1926) que les enluminures du Cosmas Indicopleustès du Vatican (Vat. Gr. 699) montrent « un art tout à fait arbitraire, qui s’est déjà éloigné de l’observation de la nature », ou que « la tradition, la règle iconographique, le dogme imposé par les autorités du temps ont étouffé souvent la personnalité de l’artiste ». Les études topographiques et d’architecture de Constantinople sont, en revanche, ce qui perdure de ses travaux. Sa contribution à l’histoire de l’architecture byzantine doit être placée dans la continuité de l’historiographie française du XIXe siècle ; son approche est en effet encore largement typologique. Le travail de synthèse sur l’architecture (Monuments de l’architecture byzantine, 1934) est paru presque vingt ans après celui de Gabriel Millet sur L’École grecque dans l’architecture byzantine (1916), dont il adopte le principe des écoles régionales. « Les différences de race, de milieu, le climat, les matériaux employés ont déterminé des modes d’expressions très divers, qui révèlent l’infinie richesse des races, le génie secret des peuples » conclut-il dans cette publication, qui fut sa dernière.

Ces travaux conservent leur intérêt, car, malgré son goût pour la typologie, Ebersolt ne lui a jamais sacrifié ni la complexité du matériel, ni les intrications historiques. En outre, ils font parfois état de matériel qui a par la suite disparu ou dont l’état de conservation s’est largement dégradé. André Grabar, dans la préface du recueil d’études sur Constantinople réédité en 1951, le qualifie d’« explorateur », confirmant la spécificité d’homme de terrain du chercheur.

Judith Soria, doctorante à l’École pratique des hautes études, chargée d’étude à l’INHA

Principales publications

Ouvrages

  • Les Actes de Saint Jacques et les Actes d’Aquilas : publiés d’après deux manuscrits de la B.N. Paris : E. Leroux, 1902.
  • Catalogue des poteries byzantines et anatoliennes du musée de Constantinople. Constantinople : A. Ihsan, Musées Impériaux Ottomans, 1910.
  • Le Grand Palais de Constantinople et le Livre des Cérémonies. Paris : E. Leroux, 1910.
  • Sainte-Sophie de Constantinople : étude topographique d’après les cérémonies. Thèse complémentaire pour le doctorat, faculté des lettres de Paris. Paris : E. Leroux, 1910.
  • Les Églises de Constantinople. Collab. A. Thiers. Monuments d’art byzantin 3, Paris : E. Leroux, 1913, 2 vol.
  • Constantinople byzantine et les voyageurs du Levant. Paris : E. Leroux, 1918.
  • Mission archéologique de Constantinople. Paris : E. Leroux, 1921.
  • Sanctuaires de Byzance : recherches sur les anciens trésors des églises de Constantinople. Paris : E. Leroux, 1921.
  • Les Arts somptuaires de Byzance : étude sur l’art impérial de Constantinople. Paris : E. Leroux, 1923.
  • La Miniature byzantine. Paris ; Bruxelles : G. Vanoest, 1926.
  • Orient et Occident : Recherches sur les influences byzantines et orientales en France avant les croisades. Paris ; Bruxelles : G. Van Oest, 1928.
  • Orient et Occident : Recherches sur les influences byzantines et orientales en France pendant les croisades. Paris ; Bruxelles : G. Van Oest, 1929.
  • Monuments d’architecture byzantine. Préface de Charles Diehl. Paris : Les éditions d’art et d’histoire, 1934.

Rééditions

  • Constantinople : recueil d’études d’archéologie et d’histoire. Préface d’André Grabar. Paris : A. Maisonneuve, 1951, 129 p. (contient « Sanctuaires de Byzance », « Mélanges d’histoire et d’archéologie byzantines », « Sculptures chrétiennes inédites du musée de Constantinople »).
  • Orient et Occident : Recherches sur les influences byzantines et orientales en France avant et pendant les croisades. Paris : E. de Boccard, 1954.
  • Les Églises de Constantinople. Préface de Gilbert Dagron. Londres : Dorian Press, 1979.

Articles

  • « Essai sur Béranger de Tour et la controverse sacramentaire au XIe siècle ». Revue de l’histoire des religions, 1903, 48, p. 1-42 et 137-181.
  • « Miniatures byzantines de Berlin ». Revue archéologique, 1905, 2, p. 55-70.
  • « Fresques byzantines de Néréditsi d’après les aquarelles de M. Brajlovskij ». Monuments et mémoires, 1906, t. XII, fasc. 1, p. 35-55.
  • « Étude sur la topographie et les monuments de Constantinople : mission du ministère de l’Instruction publique 1907-1908 ». Revue archéologique, 1909, 7, p. 1-41.
  • « Le trésor de Stûmâ au musée de Constantinople ». Revue archéologique, 1911, 1, p. 407-419.
  • « À propos du relief de Porphyrios ». Revue archéologique, 1911, 7, p. 76-85.
  • « Les ruines et les substructions du Grand Palais des empereurs byzantins ». Collab. Adolphe Thiers. Comptes rendus des séances de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, 1913, p. 31-39.
  • « Sculptures chrétiennes inédites du Musée de Constantinople ». Revue archéologique, 1913, 1, p. 333-339.
  • « Sceaux byzantins du musée de Constantinople ». Revue numismatique, 1914, p. 207-243 et 377-409.
  • « Mélanges d’histoire et d’archéologie byzantines (I, Études sur la vie publique et privée de la Cour Byzantine. II, Monuments inédits ou peu connus du musée de Constantinople. III, Recherches sur l’ornement sculpté dans le vieux Stamboul) ». Revue de l’histoire des religions, 1917, 76, p. 1-128.
  • « Les anciens sanctuaires éthiopiens ». Revue de l’histoire des religions, 1918, p. 1-11.
  • « Manuscrits à miniatures de Saint-Gall ». Revue archéologique, 1919, 9, p. 225-233.
  • « Miniatures irlandaises à sujets iconographiques ». Revue archéologique, 1921, 1, p. 1-6.
  • « Monuments funéraires de Constantinople ». Collab. Th. Macridy. Bulletin de correspondance hellénique, 1923, no 46, p. 356-393.
  • « Une tapisserie byzantine ». Gazette des Beaux-Arts, 1925, 5e période, 12, p. 333-336.
  • « L’aiguière de Saint-Maurice en Valois ». Syria, 1928, 9, p. 32-29.
  • « Sur le buste de Jean VIII Paléologue au Vatican ». La Revue de l’art ancien et moderne, 1928, 53, p. 130-133.
  • « Une nouvelle mosaïque de Kahrié-Djami ». La Revue de l’art ancien et moderne, 1929, 55, p. 83-86.
  • « Sur les fonctions et les dignités du vestiarium byzantin ». Mélanges Charles Diehl, Histoire, 1930, 1, p. 81-89.
  • « Sarcophages impériaux de Rome et de Constantinople ». Byzantinische Zeitschrift, 1930, t. 30, p. 582-587.
  • « Byzance et l’art décoratif ». In Exposition internationale d’art byzantin, 28 mai-9 juillet 1931. Paris : musées des Arts décoratifs, 1931, p. 31-43.

Bibliographie critique sélective

  • Bury John Bagnell. – « The Great Palace ». Byzantinische Zeitschrift, 1912, 21, p. 210-225.
  • Morey Charles Rufus. – « La miniature byzantine ». The American Journal of Archeology, 1927.
  • Bloch Marc. – « Relations entre les sociétés méditerranéennes du moyen âge ». Annales d’histoire économique et sociale, vol. 2, 1930, p. 122-123.
  • « Jean Ebersolt. Nécrologie ». Byzantion, vol. 8, 1933, p. 800-805.
  • Kleinbauer Eugène. – Early Christian and Byzantine Architecture : an Annotated Bibliography and Historiography. Boston : G.K. Hall, 1992.
  • Spieser Jean-Michel. – « Art byzantin et influence : pour l’histoire d’une construction ». In Byzance et le monde extérieur. Paris : Publications de la Sorbonne, 2005, p. 271-288.

Sources identifiées

Caen, IMEC

  • Fonds Millet : Boîte 9 – man-003 (2 lettres d’Ebersolt)

Montbéliard, archives municipales

  • acte d’état civil tiré du registre coté 1E41
  • acte de baptême tiré du registre de la paroisse luthérienne Saint-Georges de Montbéliard, coté 1Z138

Paris, Archives nationales

  • 1° 1908 : mission à Constantinople avec Jean Ebersolt – églises byzantines (12 pièces)
  • 2° 1910 : mission à Constantinople avec Jean Ebersolt – églises byzantines (12 pièces)
  • 3° 1911 : mission à Constantinople avec Jean Ebersolt – églises byzantines (19 pièces)
  • 4° 1912 : demande de mission à Constantinople (3 pièces)
  • 5° 1913 : mission à Constantinople – palais impériaux (14 pièces)
  • 6° 1914 : mission à Constantinople – palais impériaux (17 pièces)
  • 7° 1938 : demande de mission à Athènes et Istanbul (3 pièces)

Archives familiales (Villefavard, Limousin)

  • Correspondance (une dizaine de lettres de Charles Diehl, Louis Bréhier, Romain Rolland, ainsi qu’une cinquantaine de lettres d’Ebersolt à sa famille)