Auteur de la notice : Michela Passini, chargée de recherche, CNRS, Institut d’histoire moderne et contemporaine

Profession ou activité principale
Archéologue, historien de l’architecture

Autres activités
Inspecteur de la Société française d’archéologie

Sujets d’étude
Histoire de l’architecture médiévale

Carrière
Études secondaires à Limoges
1836- : fréquente l’École de droit de Paris (1836)
1839 : premier « pèlerinage archéologique » à Amiens et Beauvais
1839- : publie ses premiers « feuilletons archéologiques » dans L’Univers de Louis Veuillot
1840-1848 : correspondant au Comité des Arts et des Monuments
1844 : participe à la fondation des Annales Archéologiques

Étude critique

Felix de Verneilh est une figure emblématique de l’archéologie française du milieu du XIXsiècle. Verneilh apporta en effet une contribution essentielle à l’étude, alors à ses débuts, de l’architecture byzantine et gothique, et ce dans le cadre d’un puissant investissement politique du style gothique dont ce savant a voulu prouver les origines françaises. Collaborateur des Annales archéologiques d’Adolphe-Napoléon Didron et du Bulletin monumental, inspecteur de la Société française d’archéologie et associé aux Congrès d’archéologie dès leur origine, Verneilh participa en outre de la mise en place des premières institutions de l’archéologie française. Il incarne ainsi la phase de cristallisation des structures du champ disciplinaire et s’engagea dans la définition des critères de scientificité d’une archéologie en pleine institutionnalisation.

Issu d’une ancienne famille aristocratique de Dordogne, Félix de Verneilh est le fils du baron Joseph de Verneilh-Puyraseau – avocat, député de la Dordogne, préfet de la Corrèze et du Mont-Blanc et auteur d’une histoire de l’Aquitaine – et le frère de Jules de Verneilh, dessinateur et graveur qui contribua à l’illustration de ses ouvrages. Après des études secondaires à Limoges, il fréquente l’École de droit de Paris (1836). Il commença à visiter les départements et leurs richesses monumentales, à partir des cathédrales d’Amiens et de Beauvais (1839), et publia ses premiers essais, des « feuilletons archéologiques » qui parurent dans L’Univers de Louis Veuillot, organe du catholicisme conservateur. Selon son biographe, l’abbé Arbellot, c’est à la même époque que Verneilh se lia d’amitié à Jean-Baptiste-Antoine Lassus, Didron et au baron de Guilhermy. En 1840, dans une notice adressée au Comité des arts et des monuments, il présenta ses premières recherches sur Saint-Front de Périgueux, dont il mit en avant la parenté stylistique avec Saint-Marc de Venise, et brossa le plan d’un ouvrage plus ample sur l’architecture byzantine en France : c’est là la première esquisse de son œuvre fondamentale, L’Architecture byzantine en France, publiée douze ans plus tard, en 1852.

C’est pour les Annales archéologiques que Verneilh écrivit les articles sur les origines françaises de l’art gothique qui constituent la partie sans doute la plus originale de sa production et qui lui vaudront des réactions hostiles de la part de savants allemands ou anglais. Cette revue, fondée en 1844 par Didron, se donnait pour objectif à la fois d’encourager les études sur les monuments nationaux – notamment ceux du Moyen Âge, qui faisaient alors l’objet d’une éclatante redécouverte – et de servir d’outil critique aux professionnels de la conservation, mais aussi à un plus large public d’amateurs, en suivant et en commentant les grands chantiers de restauration et en favorisant le développement de bonnes pratiques. Entre 1844 et le début des années quatre-vingt (la revue cessa de paraître en 1881), les Annales archéologiques eurent pour collaborateurs des personnalités telles qu’Eugène Viollet-le-Duc, Lassus, Ferdinand de Guilhermy et Alfred Darcel. Il serait risqué de vouloir réduire les orientations intellectuelles et politiques de divers auteurs à une ligne éditoriale unique ; il est néanmoins possible de cerner le positionnement de son directeur, Didron, dont les écrits révèlent une conception de l’art médiéval comme création indissociablement chrétienne et nationale. Par ses travaux, Verneilh semble y adhérer entièrement.

Associé dès sa création au comité de rédaction des Annales archéologiques, Verneilh y publia en 1844 un premier article sur l’ancienne signification du mot « ogive », qu’il identifie aux « arcs diagonaux d’une voûte d’arêtes » à la suite d’une enquête sur la terminologie technique des traités d’architecture de la fin du Moyen Âge (Ogive. Ancienne signification de ce mot, p. 210). Dès l’année suivante, avec la publication d’une étude intitulée « Origine française de l’architecture ogivale », la question de la paternité du style gothique est érigée par Verneilh en enjeu essentiel de la recherche archéologique.

Le texte en est conçu comme une lettre au directeur des Annales. Dès les premières lignes, Verneilh réaffirme la paternité française du gothique, en s’appuyant sur les travaux de Prosper Mérimée (Notes d’un voyage dans le Midi de la France, 1835) et de Louis Batissier (Éléments d’archéologie nationale, 1843). Selon lui, l’art gothique ne dérive pas de l’invention du principe technique de l’ogive, mais demande d’être analysé comme la continuation de l’art roman. Dès lors, Verneilh procède à une étude généalogique de différents groupes d’édifices romans, du XIsiècle jusqu’au XIIIe siècle, et reconstitue l’émergence d’éléments isolés du style gothique, au niveau du plan notamment. « L’ogive seule ne l’a point fait naître – telle est sa conclusion – quoiqu’elle l’ait plus tard admirablement secondé ; mais la foi vive et sincère, l’ardent enthousiasme qui ont enfanté les croisades, ont aussi donné cette impulsion en inspirant aux populations et aux artistes un goût bien prononcé pour tout ce qui était grandiose, extraordinaire et en quelque sorte merveilleux » (p. 154).

Verneilh se concentrait notamment sur une série d’édifices bâtis entre 1150 et 1180 qui marquaient à ses yeux la transition du style roman au gothique. Pour lui, il n’y avait pas de fracture, mais une véritable continuité entre les deux systèmes architecturaux, ce qui autorisait à poser l’unité de l’art médiéval. C’est à partir de ce postulat que Verneilh tirait, en conclusion, la preuve de l’origine française de l’art ogival : « En un mot, on peut former, non pas une, mais cent séries d’édifices, commençant toutes à l’abbaye aux hommes de Caen, pour aboutir à la cathédrale de Reims, sans qu’il soit possible de les couper ni de fixer nettement la limite des deux styles. De là, selon moi, la preuve invincible que l’architecture religieuse au Moyen Âge est une, et que toute tentative pour isoler l’art ogival et lui chercher une origine étrangère est mal fondée et inutile » (p. 155).

Verneilh n’était pas le premier à défendre l’idée d’une origine française du gothique. En 1809, l’Anglais George Downing Whittington avait publié un ouvrage intitulé An Historical Survey of the Ecclesiastical Antiquities of France with a View to Illustrate the Rise and Progress of Gothic Architecture in Europe. Il y soutenait l’antériorité du gothique français sur les variantes allemandes ou anglo-saxonnes du style, et insistait notamment sur l’importance de la façade et du chevet de la basilique de Saint-Denis pour la gestation du nouveau système constructif (p. 95 ss).

En Allemagne, le célèbre essai de Goethe sur la cathédrale de Strasbourg avait fourni un lieu de mémoire et d’identification nationale à la génération romantique. Mais dès les années 1830, des architectes et des historiens de l’art s’attachèrent à l’étude historique et stylistique des édifices gothiques au-delà des mythes nationaux. Le premier à remettre en question l’idée d’une origine germanique du style gothique fut l’architecte Johannes Wetter dans son guide de la cathédrale de Mayence, Geschichte und Beschreibung des Domes zu Mainz (1835). De même, Franz Kugler avançait ses doutes sur l’antériorité du gothique allemand dans son Handbuch der Kunstgeschichte (1842). En 1843, la thèse de l’origine française du gothique fut démontrée par l’architecte Franz Mertens dans son article « Paris baugeschichtlich im Mittelalter », paru en deux parties dans l’Allgemeine Bauzeitung (1843, t. VIII, p. 159-167 et 253-260).

Pendant les mêmes années, en France également des savants comme Jean-Philippe Schmit (1842) et Jules Renouvier (1844) commencèrent à contester l’idée d’une genèse allemande de l’architecture gothique. Verneilh fut toutefois, parmi les Français, le premier à systématiser ces éléments et à poser explicitement la paternité française du style. Après son étude sur les « Origines françaises de l’architecture ogivale », qui brossait un large aperçu de l’évolution du gothique sur une longue période, Verneilh s’attacha à analyser d’un édifice essentiel, la cathédrale de Cologne, dont il affirmait la postériorité par rapport à celles de Reims et d’Amiens dans une série de trois articles parus entre 1847 et 1848 dans les Annales archéologiques. Or le « dôme » de Cologne était non seulement considéré comme le prototype de la cathédrale gothique par plusieurs savants, mais était également un puissant symbole identitaire dans un espace allemand encore morcelé. Ce sont précisément la notoriété grandissante du monument et sa réputation d’édifice-modèle du gothique que Verneilh conteste dans ses articles : « Depuis trente ans, sa renommée grandit sans cesse […]. En Angleterre et en France, comme en Allemagne, on l’exalte, on le glorifie entre tous les monuments du même genre ; et pour cela on dénature tous les faits ; on fait fléchir toutes les règles ; on répudie toutes les idées reçues sur l’histoire de l’art » (« La Cathédrale de Cologne ». Annales archéologiques, 1847, t. VII, p. 8). Son objectif est dès lors de démontrer que la cathédrale de Cologne est moins un prototype que l’aboutissement d’une série d’évolutions stylistiques de longue période, dont les origines se retrouvaient dans des édifices français antérieurs.

Dans ces textes, Verneilh prenait notamment position contre le collectionneur et savant colonais Sulpiz Boisserée, l’un des principaux partisans de la reprise du chantier de la cathédrale de Cologne, qui, en 1823, avait défendu, dans une conférence à l’Académie des Beaux-Arts, les sources germaniques de l’architecture gothique et en avait indiqué le prototype dans la cathédrale colonaise (« Mémoire sur l’architecture du Moyen Âge ». Revue encyclopédique, 1824, t. XXIV, p. 577-588). Or il faut préciser que Boisserée affirmait, comme le remarque Jean Nayrolles, l’essence « germanique » du style, plus que son origine en Allemagne. Selon lui, l’art gothique aurait été inventé en Ile-de-France sous l’influence d’un clergé et de rois d’origine franque, donc germanique. Le dôme de Cologne ne serait pas le premier édifice gothique, mais le type parfait de la cathédrale gothique. « Nous aussi nous admirons fort le dôme de Cologne », riposte Verneilh, « mais tout en lui rendant pleine justice, nous n’en faisons pas un type à part, un patron unique de tout ce qu’il y a de beau dans l’architecture ogivale. Nous voyons en lui, non l’œuvre d’un artiste et d’un pays, mais celle de plusieurs pays et de beaucoup d’artistes ; l’œuvre qui a résumé et non celle qui a ouvert la plus belle période de l’art chrétien » (« La Cathédrale de Cologne ». Annales archéologiques, 1847, t. VII, p. 8). Pour Verneilh, le système de l’ogive naît à Paris ou près de Paris dans le dernier tiers du XIIsiècle : la cathédrale de Cologne, que Boisserée considérait comme son prototype, est en réalité secondaire.

Au milieu des années 1850, une polémique analogue se déclencha entre Verneilh et l’érudit anglais John Henry Parker dans le Bulletin monumental, à propos de l’antériorité des édifices gothiques anglais ou français.

En 1851, Verneilh fit paraître son ouvrage fondamental L’Architecture byzantine en France. Saint-Front de Périgueux et les églises à coupoles de l’Aquitaine. La première partie comporte une étude monographique de Saint-Front de Périgueux, tandis que la seconde livre la statistique des églises à coupoles sur pendentifs sphériques. Mais l’apport essentiel de Verneilh consiste dans la tentative de définir le « style byzantin » à une époque où les archéologues et les historiens de l’art s’engagent dans un vaste débat international sur l’élaboration de l’art médiéval et ses sources.

Pour Verneilh, le style byzantin caractérise les églises bâties dans l’ancien empire grec, non seulement en Orient, mais en Italie, comme Saint-Vital de Ravenne et Saint-Marc de Venise. Son principe générateur est l’emploi systématique de la coupole. En France, cet art se serait diffusé dans le Périgord et dans les diocèses limitrophes jusqu’en Anjou en donnant naissance, au contact des traditions architecturales locales, d’une école « gallo-byzantine » : le prototype en serait Saint-Front, qui dérive selon Verneilh de Saint-Marc de Venise ; la caractéristique fondamentale de cette école est l’usage des coupoles sur pendentifs. Pour Verneilh, Saint-Front et les églises à coupoles sur pendentifs du Périgord seraient l’œuvre d’artistes nés ou formés en Orient. C’est là un point essentiel car admettre cette influence étrangère en un point circonscrit du territoire français et relativement à un corpus restreint d’édifices revient à réaffirmer avec force le caractère original et autochtone de l’architecture médiévale française. Comme le jugent ses contemporains, dans L’Architecture byzantine en France Verneilh « précise et réduit considérablement la part des influences orientales dans l’architecture nationale » (Abbé Arbellot, Félix de Verneilh. Notice biographique. Limoges : impr. de Chapoulaud, 1865, p. 6).

L’ouvrage suscite néanmoins les réserves de Ludovic Vitet qui, dans un long compte rendu publié dans le Journal des Savants (janvier, février et mai 1853), reproche notamment à Verneilh de ne prendre en considération que les plans des édifices, en négligeant la décoration : sa définition du style byzantin serait donc partielle et c’est précisément cette partialité qui conduit Verneilh à sous-estimer les apports orientaux dans les évolutions de l’architecture en Occident – apports fondamentaux aux yeux de Vitet. Verneilh répondra dans les Annales archéologiques par trois articles, réunis dans le volume Des influences byzantines. Lettre à M. Vitet de l’Académie française (1855). Au-delà de la querelle sur les caractères de l’art byzantin, il est intéressant de remarquer que cette polémique soulève en réalité la question, essentielle pour l’historiographie de la fin du XIXsiècle, du rapport entre « originalité nationale » et « influence étrangère ». Alors que les écrits de Verneilh révèlent une notion d’« influence » comme facteur potentiellement destructeur de l’identité artistique de la nation, Vitet, plus nuancé, introduit une distinction entre imitation passive et appropriation créative. « Le génie architectural de l’Orient », ainsi conclut-il son article sur l’œuvre de Verneilh, « a modifié et ravivé notre goût national, sans altérer son originalité, car l’originalité ne consiste pas à n’être influencé par rien ; on l’est toujours par quelque chose : seulement, si l’influence est directe, absorbante, sans mélange, sans rajeunissement, il y a copie, plagiat, stérilité ; si elle ne fait que stimuler une sève endormie, il y a vie nouvelle et véritable création » (Journal des Savants, mai 1853, p. 278-9).

Mais ce qui dans l’œuvre de Verneilh semble avoir le plus puissamment marqué une plus jeune génération d’historiens de l’art français est précisément sa revendication ostensible, pour la France, de la paternité des grands styles architecturaux, et notamment du gothique, « art national » par excellence. Ainsi, Émile Mâle salue en 1901 sa défense passionnée des origines françaises de l’art « ogival », en faisant de Verneilh à la fois un précurseur et un modèle pour l’histoire de l’art en train de se fonder (Mâle Émile, « Histoire de l’art : les travaux sur l’art du Moyen Âge en France depuis vingt ans », Revue de synthèse historique, 1901, t. II, p. 81-108).

L’œuvre de Verneilh est exemplaire du rôle que la construction politique du patrimoine médiéval a eu dans la genèse de la discipline. Elle est, avec bien d’autres, à l’origine d’un imaginaire national du gothique qui dominera ensuite le discours sur l’art ancien dans la France de la Troisième République, en connaissant un moment de radicalisation extrême lors du premier conflit mondial.

Principales publications

 

Ouvrages

  • La Cathédrale de Cologne. Paris : V. Didron, 1848.
  • L’Architecture byzantine en France. Saint Front de Périgueux et les églises à coupoles de l’Aquitaine. Paris : V. Didron, 1851.
  • Des influences byzantines. Lettre à M. Vitet de l’Académie française. Paris : V. Didron, 1855.
  • Les Émaux français et les émaux étrangers, mémoire en réponse à M. le comte F. de Lasteyrie, lu à la séance de la Société archéologique de Limoges, le 28 novembre 1862, par M. F. de Verneilh. Caen : A Hardel, 1863.

Articles

  • « Ogive. L’ancienne signification de ce mot ». Annales archéologiques, 1844, t. I, p. 209-210.
  • « Origine française de l’architecture ogivale ». Annales archéologiques, 1845, t. III, p. 1-7.
  • « Architecture civile au Moyen Âge dans le Périgord et le Limousin aux XIIe et XIIIe siècles ». Annales archéologiques, 1846, t. IV, p. 161-174 ; 1847, t. VI, p. 71-88 ;
  • « Construction des monuments ogivaux. Les épures de la cathédrale de Limoges ». Annales archéologiques, 1847, t. VI, p. 139-144.
  • « La Cathédrale de Cologne ». Annales archéologiques, 1847, t. VII, p. 56-69 et p. 225-240 ; 1848, t. VIII, p. 117-135.
  • « Architecture civile du Moyen Âge. Villes neuves du XIIIe siècle ». Annales archéologiques, 1850, t. X, p. 270-282.
  • « Architecture civile du Moyen Âge. Villes neuves du XIIIe siècle et de la Renaissance ». Annales archéologiques, 1851, t. XI, p. 335-346.
  • « Lettre à M. de Caumont sur les origines de l’art ogival et de l’art roman ». Bulletin monumental, vol. 21, 1855, p. 105-125.
  • « Le Style ogival en Italie ». Annales archéologiques, 1861, t. XXI, p. 67-79.
  • « L’Art du Moyen Âge et les causes de sa décadence ». Annales archéologiques, 1862, t. XXII, p. 135-146.

Bibliographie critique sélective

  • Arbellot abbé. – Félix de Verneilh. Notice biographique. Limoges : impr. de Chapoulaud, 1865.
  • Leniaud Jean-Michel. – Les Cathédrales au XIXe siècle. Étude du service des édifices diocésains. Paris : Economica, 1993, p. 238-240.
  • Leniaud Jean-Michel. – Jean-Baptiste Lassus ou le temps retrouvé des cathédrales. Genève : Droz, 1980, p. 37-44.
  • Nayrolles Jean. – L’Invention de l’art roman à l’époque moderne (XVIIIe-XIXe siècles). Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2005.
  • Dufieux Philippe. – Le Mythe de la primatie des Gaules. Pierre Bossan (1814-1888) et l’architecture religieuse en Lyonnais au XIXe siècle. Lyon : Presses universitaires de Lyon, 2004, p. 224-231.

En complément : Voir la notice dans AGORHA