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Mon master en histoire de l’art en 180 secondes – édition 2023
Mis à jour le 17 septembre 2023
À revoir
À propos de ce colloque
À l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2023, l’Institut national d’histoire de l’art organise, à cette occasion, un programme d’événements conviviaux autour du thème Patrimoine vivant : mini-conférences, concours d’éloquence, présentation de documents rarement montrés, conférence ou encore ateliers pour les enfants et leurs familles.
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Mon master en histoire de l'art en 180 secondes
Le concours « Mon master en histoire de l’art en 180 secondes » permet aux jeunes chercheurs de présenter leurs travaux en des termes accessibles à un auditoire diversifié. Offrant une occasion unique aux étudiants de parfaire leurs aptitudes en communication, cet événement est un moment de convivialité et d’émulation. Il permet aussi de mettre en valeur la richesse et la diversité de la recherche en histoire de l’art et patrimoine.
00:00 – 5:59 : Introduction par Juliette Trey (INHA)5:59 – 9:47 : Manon Boutin, Nantes Université, Les gestuelles de l’effroi sur la céramique attique des VIe et Ve siècles avant notre ère
9:47 -13:14 : Noa Buffavand, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Le réseau transnational d’ateliers graphiques inspirés du Taller de Gráfica Popular de Mexico, dans la période de la guerre froide (1947 – 1989)
13:14 – 16:43 : Clara Cazaubiel, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, L’île-musée de Naoshima. Dynamiques spatiales, innovations muséographiques et pratiques artistiques in situ (1985 – 2019)
16:43 – 20:10 : Selena Gisca, université de Lille, L’œuvre sculpté de Chana Orloff (1888-1968) : l’influence de la statuaire égyptienne dans l’art de la sculpture de la première moitié du XXe siècle
20:10 – 23:32 : Pierre Husson, École du Louvre – université de Padoue, La traduction des plafonds peints de Vénétie par la gravure aux XVIIe et XVIIIe siècles
23:32 – 27:01 : Louison Lareure, université Clermont-Auvergne, Des commandes pour l’éternité, la sculpture funéraire des ducs et duchesses de Bourbon entre le XIVe et le XVe siècle
27:01 – 30:28 : Maïlys Lhomel, université Picardie Jules-Verne, Le renouveau de la manière noire aux XXe et XXIe siècles : la réapparition d’une technique délaissée, son développement et ses principaux foyers de création et de valorisation
30:28 – 33:53 : Agnès Macouin, université Aix-Marseille, Les « objets d’histoire » dans l’œuvre d’Amina Menia, de Zineb Sedira et de Katia Kameli : (dé)rives mémorielles. Une pensée postcoloniale entre universalisme et nationalisme (Algérie-France)
33:53 – 37:14 : Victor Negrel, université Aix-Marseille, Le pétrarquisme dans la représentation du corps chez les premiers artistes maniéristes de l’Italie du Cinquecento
37:14 – 40:36 : Laura Perrin, université de Bourgogne Franche-Comté, L’enseignement des arts en Haute-Saône (XIXe – XXe siècles) : les moulages conservés des établissements de Vesoul
40:36 – 44:05 : Thomas Rémy, université Paul Valéry Montpellier 3 – université de Rome, La Sapienza, L’œuvre sculpté de Baccio Bandinelli (1493-1560) : le parcours d’un artiste-courtisan de premier plan à la recherche du corps maniériste
44:05 – 47:25 : Marine Saussier, École du Louvre, Icône et martyr de la puissance néerlandaise : la figure du dodo dans les arts néerlandais au XVIIe siècle
47:25 – 51:19 : Louise Thiroux, EPHE, Les vespasiennes parisiennes entre 1835 et 1907 : l’architecture et la technique au service des redéfinitions des normes du corps pissant dans le Paris hygiéniste
51:19 – 54:40 : Anne-Sophie Varennes, Nantes Université, Les dalles funéraires microarchitecturées de l’ancien duché de Normandie au bas Moyen Âge (XIIIe- XVe siècle)
54:40 – 1:05:02 : Délibération du jury