Une saison 2 riche en thématiques variées
Les épisodes de la saison 2 abordent des sujets aussi variés que le trafic des sculptures funéraires de Cyrène en Libye, la figure du peintre romantique Anne-Louis Girodet, le dessin de notation chorégraphique, les carreaux de céramique iraniens du XIIIe siècle, l’exploration des ruines ou encore les textes de mode.
Des chercheurs de renom en tête-à-tête
Interviennent ainsi respectivement dans un tête-à-tête avec l’auteur Anne-Cécile Genre : Morgan Belzic (archéologue et historien de l’art, chargé d’étude et de recherche à l’INHA de 2019 à 2022), Sidonie Lemeux Fraitot (conservatrice au musée Girodet de Montargis), Pauline Chevalier (historienne de l’art contemporain, conseillère scientifique à l’INHA de 2018 à 2025), Delphine Miroudot (conservatrice au musée de la céramique de Sèvres), Alain Schnapp (archéologue et premier directeur de l’INHA) ou encore Émilie Hammen (styliste et historienne de l’art, professeur Université Panthéon Sorbonne, enseignante à l’IFM et l’école Duperré).
Une immersion dans les coulisses de la recherche
Chaque chercheur ouvre ses dossiers et partage avec l’auditeur la passion qui l’anime à partir d’une question sur les enjeux de ses travaux, le point de départ ou l’origine d’un sujet de recherche ou de la description d’une œuvre. Il raconte sa manière de travailler, ses résultats, ses hypothèses, mais aussi ses doutes et ses interrogations.
Un contenu accessible mais exigeant
Le ton est volontairement accessible, mais le contenu des épisodes est néanmoins exigeant. Rendre compréhensible et accessible une recherche complexe sans rien perdre de cette complexité est l’une des ambitions de l’INHA pour faire connaître la discipline.
L’histoire de l’art, une discipline vivante et actuelle
À travers la diversité des profils de chercheurs et la richesse des sujets, la série rend compte des nombreuses manières de faire de la recherche en histoire de l’art, tant à l’université qu’au sein des musées ou des écoles d’art. Mais surtout, elle vise aussi et avant tout à démontrer, à travers la personnalité du chercheur, que l’histoire de l’art est une discipline incarnée, vivante, ancrée dans l’actualité et souvent au cœur de sujets de société.