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Marion Di Santi est actuellement chercheuse-doctorante à Lettres Sorbonne Université à Paris, sous la direction de Jean-Sébastien Cluzel (Centre André Chastel). Elle poursuit des recherches au sujet des collections ethnographiques japonaises en France – plus particulièrement celle, méconnue, qu’a rassemblée le préhistorien André Leroi-Gourhan pour le musée de l’Homme, au cours d’une mission de terrain sur l’archipel effectuée entre 1937 et 1939.
-Marion Di Santi, « La collection d’André Leroi-Gourhan, portrait du Japon populaire des années trente. » in Catherine Tran-Bourdonneau, Pauline d’Abrigeon, Pauline Guyot (dirs.), A portée d’Asie. Collectionneurs, collecteurs et marchands d’art asiatique en France (1750-1930) [catalogue d’exposition, Musée des Beaux-Arts de Dijon, 20 octobre 2023-22 janvier 2024], Paris : Lienart, à paraître. ⟨halshs-04014102⟩
-Marion Di Santi, « André Leroi-Gourhan ». in Collectionneurs, collecteurs et marchands d’art asiatique en France 1700-1939, [en ligne : http://agorha.inha.fr/detail/724], Paris : Institut national d’histoire de l’art, 2022. ⟨halshs-04014111⟩
-Marion Di Santi, Jean-Sébastien Cluzel, « Les belles Japonaises, Maisons closes à l’aube du XXe siècle » in Jean-Sébastien Cluzel (dir.), Le japonisme architectural en France : 1550-1930, Paris, Éditions Faton, 2018. ⟨halshs-04014035⟩