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CLÉMENT, Charles
Mis à jour le 3 novembre 2008
(9 août 1821, Rouen-5 juillet 1887, Paris) Nom usuel de CLÉMENT-GRANDCOURT, Charles-Francis
Auteur(s) de la notice :
CHENIQUE Bruno
Profession ou activité principale
Traducteur, critique littéraire, critique d’art, historien de l’art
Sujets d’étude
Raphaël, Léonard de Vinci, Michel-Ange, Poussin, Decamps, Géricault, Gleyre, Prud’hon, Léopold Robert, artistes contemporains
Carrière
1830 : ruine du père, fabricant de textiles à Rouen, qui mourra en 1836
1831 : sa mère, issue d’une famille suisse, protestante, emmène ses quatre enfants à Aubonne
1833 : la famille s’établit à Morges puis à Montreux, sur les rives du lac Léman
1831-1837 : scolarité au collège de Rolle
1838 : études préparatoires de théologie à Genève
1840 : études littéraires et philosophiques à l’Académie de Lausanne, où il obtient son baccalauréat
1841-1842 : études de géologie puis séjour dans les mines près de Dresde
1842 (octobre) : s’inscrit à Berlin au cours des professeurs Schelling et Ranke
1843 (août) : obtention d’un diplôme de Privatdozent
1843 (octobre) : installation à Paris, il fréquente les peintres Léon Berthoud et Gustave Ricard
1844-1845 : doctorat en philosophie (université de Tübingen) ; commence à publier des articles et des traductions dans la Revue suisse et dans Le Semeur ; devient le précepteur des enfants du comte Duchâtel, ministre de l’Intérieur de Louis-Philippe
1846-1848 : fréquente à Paris l’atelier du peindre vaudois Charles Gleyre et publie des articles de critique littéraire dans la Revue des deux mondes
1848-1849 : séjour à Londres où il accompagne la famille Duchâtel, alors en exil ; mise au point, avec l’aide de son ami Gustave Ricard, de son étude sur Poussin
1850 : la Revue des deux mondes publie son étude sur Nicolas Poussin
1853 : voyages en Italie, en Sicile et en Algérie où il envisage de s’installer comme colon ; rencontre avec Eugène Fromentin
1856 (hiver) : première version de son livre Michel-Ange, Vinci, Raphaël
1860 : la Revue des deux mondes publie ses études biographiques
1861 (juillet-novembre) : chargé par Napoléon III d’aller négocier à Rome les pièces importantes de la collection Campana
1861-1862 : chevalier de la Légion d’honneur ; nommé conservateur-adjoint au musée du Louvre ; abandonne son poste après avoir rédigé le catalogue descriptif des bijoux de la collection Campana
1863 : commence ses critiques d’art et ses comptes rendus des Salons annuels au Journal des débats, où il remplace Delécluze
1874 : Gleyre l’institue exécuteur testamentaire et lui lègue la totalité du contenu de son atelier
Étude critique
L’édifice de Charles Clément (né Charles-Francis Clément-Grandcourt) est immense, utile sans nul doute à tous les dix-neuvièmistes, mais reste encore à découvrir. Si ses articles, livres et biographies font référence, il serait à désirer que l’on puisse un jour réunir l’ensemble de ses critiques d’art publiées dans le Journal des débats. Ce vœu pieux que seule une institution pourrait peut-être mener à bien aurait l’immense avantage d’obliger la communauté des historiens de l’art à se pencher sur l’homme, sa réaction à l’actualité, ses choix esthétiques et politiques. De cet envers du décor nous ne connaissons presque rien. Du moins pas encore car l’immense fonds Clément que conservent les descendants nous apportera sans doute un jour les mille et une précisions qui nous manquent encore cruellement pour comprendre l’homme, son rapport à l’art et aux artistes.
De Clément, il est d’usage de dire qu’il est « admirable » (à prononcer avec l’accent du XVIe arrondissement ou, pire, avec celui de la rue d’Ulm). C’est d’autant plus vrai que le farouche républicain Pierre Larousse abondait lui-même dans ce sens et dressait, du vivant de l’historien de l’art, un panégyrique pour le moins flatteur : « M. Charles Clément a commencé tard à écrire ; mais la bonne et saine littérature n’y a rien perdu ; avec lui on se rattrape sur la qualité. […] Ses monographies de quelques-uns de nos grands peintres sont de véritables créations. » Le critère qualitatif, on s’en aperçoit, est clairement défini : Clément, de par sa formation de philosophe, sait écrire, mieux, il écrit sainement, c’est-à-dire comme devrait écrire tout honnête Français : « Le dernier ouvrage de M. Charles Clément, consacré à Géricault, a placé cet auteur, non seulement parmi les maîtres de la critique d’art, mais encore et surtout parmi le petit nombre des fidèles qui honorent les lettres françaises. Après l’avoir lu, le lecteur, même lettré ou artiste, convient, à part lui, que le vrai Géricault lui était inconnu auparavant. »
Larousse donne en quelque sorte son imprimatur à Clément, un écrivain si doué qu’il lui a été possible d’exhumer, de cerner, de discerner, de mettre à jour le vrai Géricault. Dans cette quête de la vérité positiviste propre au dernier quart du XIXe siècle, une quête qui se veut alors religion, il ne peut exister de plus bel éloge. L’encyclopédiste le poursuit encore en nommant clairement la méthode utilisée par celui qu’il aime à nommer un écrivain : « Le style chez lui témoigne de la solidité des connaissances acquises ; la phrase naît sans effort, précise et alerte ; et sans jamais chercher l’originalité, elle y arrive naturellement pour encadrer l’idée et lui donner plus de relief. On devine du premier coup que l’auteur de cet intéressant travail a vécu dans un commerce familier avec les maîtres de la critique allemande ; car eux seuls, aujourd’hui, n’écrivent qu’à bon escient, c’est-à-dire après avoir médité et creusé leur sujet sous toutes ses faces. »
Du style naît donc la probité : Clément fut idolâtré pendant plus d’un siècle par les tenants de l’ordre bourgeois et de la république des professeurs, en un mot par celles et ceux qui ne cessent de clamer qu’un honnête homme se reconnaît, paraît-il, à son éducation. Houssaye, en 1879, n’hésitait donc pas à le qualifier de « Vasari des peintres modernes », le sérieux positiviste en plus, c’est-à-dire « un Vasari moins coloré et moins romanesque, mais plus consciencieux et plus exact ». De la probité à la sainteté il n’y a qu’un petit pas, que franchira, en 1924, le duc de Trévise en parlant de « l’admirable livre du pieux biographe, Charles Clément. »
Le Géricault, dans sa version de 1879, se veut donc encore, pour certains, la référence définitive : « Il n’y a, somme toute, guère à changer aux grands traits du Géricault que Clément a livré à la postérité voici plus d’un siècle », écrivait Jacques Thuillier en 1978. L’affirmation est idéologique et vise évidemment à préserver Clément de toute critique. Dans l’esprit de Thuillier, il serait bien évidemment inconvenant, si ce n’est choquant, de critiquer un homme qui sait si bien écrire. Mais il était trop tard et la première attaque, lourde de conséquences, eut lieu l’année suivante. Philippe Grunchec, pour la première fois depuis Clément, refit le catalogue raisonné de l’œuvre peint de Géricault. L’évidence même éclata : l’ouvrage de ce biographe adulé, « l’un des historiens d’art les plus consciencieux de l’époque », dixit Grunchec, était loin d’être parfait : « C’est à cet ouvrage, dont la rigueur scientifique est tout à fait exceptionnelle pour l’époque, disons-le d’emblée, qu’il est traditionnellement fait référence de nos jours encore. C’est là pour toute recherche sur Géricault une base solide, même s’il ne faut pas, comme on le fait trop souvent, transformer chaque affirmation en article de foi. » Grunchec situait clairement le problème : l’allégeance à Clément était une histoire de foi. Et Grunchec pour sa « plus grande perplexité » de s’étonner, non sans raison, des graves lacunes biographiques, catalographiques et méthodologiques du Biographe-Commandeur. Mais la critique avait ses limites. Il convenait de ne pas trop faire vaciller la statue de son socle : « Nous avons dit et répétons que malgré ces détails le catalogue de Clément est un instrument indispensable pour la connaissance de l’œuvre de Géricault et, dans la plupart des cas, le meilleur garant d’une juste attribution. » Avant de conclure : « Ce serait pécher par anachronisme que de reprocher à Clément de ne pas nous avoir entretenus plus largement de ses doutes : c’est là une précaution méthodologique qu’ignore son siècle. » L’article de Grunchec – par ailleurs remarquable – attaque, comme on peut s’en rendre compte, le catalographe Clément, non l’historien de l’art.
Devinant le danger d’une telle remise en cause, Lorenz Eitner, dans l’ouvrage qu’il consacra à Géricault en 1983 – résumé de ses trente ans de recherches – affirmait d’emblée dans sa préface qu’il était hors de question de remettre en cause cet « énorme travail de recherche », l’apport de Clément restant « irremplaçable » et nous offrant « une biographie établie d’après des témoignages de première main ». En fait, le travail de Clément, sur bien des points, est complètement dépassé et quant aux témoignages de première main, nous savons à quel point ils étaient limités à quelques personnes et, de plus, erronés sur bien des points. Mieux encore, certains, comme Dedreux-Dorcy (l’un des rares amis intimes de l’artiste encore vivants au moment de l’enquête de Clément), firent de la rétention d’informations. C’est avec ces éléments, souligne Eitner dans sa conclusion, que le biographe de Géricault « compose un portrait de l’artiste sobrement factuel, écrit sur un ton mesuré et économe en détails. Clément sait beaucoup de choses, mais ne dit que ce qu’il juge essentiel à son propos. Laissant de côté les anecdotes pittoresques, il démolit tranquillement la légende et attire l’attention du lecteur sur l’œuvre elle-même. Son ouvrage est la première étude, exemplaire, consacrée à l’artiste Géricault. » S’agirait-il d’un éloge de l’auto-censure ? Une note d’Eitner, en petits caractères, la dernière de son ouvrage, précise en renvoyant à l’article de Grunchec : « Malgré ses grandes qualités, l’ouvrage de Clément n’est pas exempt d’erreurs, et on peut lui reprocher sa conception trop schématique. »
D’un autre livre de Clément, celui sur Prud’hon, Sylvain Laveissière, en 1997, remarquait encore l’absence d’un détail biographique de taille : « On connaissait ses estampes républicaines, mais on ignorait alors tout de sa participation aux institutions artistiques révolutionnaires. Clément, bible presque exclusive, n’en souffle mot. » La bible – décidément, le vocabulaire utilisé relève bien du culte – ne dit mot du politique et c’est en fait le reproche principal que l’on pourrait encore faire au biographe à l’égard de son Géricault. Bien plus que sa censure des amours adultérines du peintre de la Méduse, Clément refuse d’associer la probité que véhicule sa langue et son style au contexte politique jugé sans intérêt, si ce n’est dégradant.
Critiquer Clément peut sembler décourageant voire même excessif à certains. Mais plus que l’homme, qui mérite assurément notre respect et, surtout, notre curiosité, c’est le culte quasi fétichiste, si ce n’est violent et exclusif, qui lui a été rendu pendant plus d’un siècle qui doit interroger la nouvelle génération des historiens de l’art. Toute l’exposition Géricault organisée au Grand Palais en 1991 fut ainsi conçue par Régis Michel comme un exercice de déconstruction du mythe géricaldien, créé et renforcé par Clément, puis véhiculé par Eitner et que Michel, reprenant l’expression de Sartre, nomme si justement « le caquetage des vieux auteurs ». Face à cette violation d’un tabou, la réponse de l’Institution fut simple, logique et tranchante : elle censura le second volume du catalogue de l’exposition sous le prétexte fallacieux que les écrits qui le composaient n’étaient pas de l’histoire de l’art. Et Régis Michel de faire ce nouveau constat : « Or le fait est là : Clément ne cesse de fasciner l’historiographie moderne, comme un boa constrictor qui étreint sa proie (avant de l’étouffer). » Au-delà de Clément, c’est donc le mythe français des élites qui est en jeu, un mythe qui est, et reste encore, le fondement même de la Nation.
Bruno Chenique, historien de l’art indépendant, et Michel Clément-Grandcourt, arrière petit-fils de Charles clément
Principales publications
Ouvrages et catalogues d’expositions
- De la peinture religieuse en Italie. Paris : Ch. Meyrueis, 1857.
- Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphaël. Paris : Hetzel, 1861 (traduit en allemand en 1870).
- Catalogue des bijoux du musée Napoléon III. Paris : Firmin-Didot frères, fils et Cie, 1862.
- Du caractère des femmes au siècle dernier. Paris, 1863.
- Études sur les beaux-arts en France. Paris : Michel Levy, 1865.
- Géricault. Étude biographique et critique avec le catalogue raisonné de l’œuvre du maître. Paris : Didier, 1868 (publié auparavant, en 1866-1867, dans la Gazette des Beaux-Arts ; réédité en 1879 et 1973).
- Prud’hon. Sa vie, ses œuvres et sa correspondance. Paris : Didier, 1872 (publié auparavant, en 1869-1870, dans la Gazette des Beaux-Arts ; réédité en 1875 et 1880).
- Léopold Robert d’après sa correspondance inédite. Paris : Didier, 1875.
- Artistes anciens et modernes. Paris : Didier, 1876.
- Gleyre, étude biographique et critique, Paris : Didier, 1878.
- Decamps. Paris : Librairie de l’art, 1886.
Articles
- Clément Charles . – « Nicolas Poussin ». Revue des deux mondes, 15 février 1850, t. V, p. 696-730.
Bibliographie critique sélective
- Larousse Pierre. – « Clément (Charles) ». In Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle. Paris : Larousse, 1869, t. IV, p. 426.
- Houssaye Henry. – « Un maître de l’école française. Théodore Géricault ». Revue des deux mondes, 15 novembre 1879, t. XXXVI, p. 375.
- Michel André. – « La critique d’art. Boutard, Delécluze, Charles Clément ». In Le Livre du Centenaire du Journal des débats. Paris : Plon, 1889, p. 466-477.
- Duc de Trévise. – « Géricault ». In Catalogue de l’Exposition Géricault, peintre et dessinateur (1791-1824), organisée au bénéfice de la Sauvegarde de l’art français. Paris : Galerie Bernheim-jeune, 10 mai – 29 mai 1937, p. 4.
- Eitner Lorenz. – « Clément et Géricault ». In Clément Charles, Géricault. Étude biographique et critique avec le catalogue raisonné de l’œuvre du maître. Paris : Didier, 1879, rééd. par Lorenz Eitner, avec un supplément. Paris : Léonce Laget, 1973, p. V-XV.
- Le Pesant Michel. – « Documents inédits sur Géricault ». Revue de l’art, 1976, n° 31, p. 73-81.
- Thuillier Jacques. – « Géricault et sa légende ». In Grunchec Philippe, Tout l’œuvre peint de Géricault. Paris : Flammarion, 1978, p. 5-6.
- Grunchec Philippe. – « Géricault : problèmes de méthode ». Revue de l’art, 1979, n° 43, p. 37-58.
- Thévoz Michel. – L’ Académie et ses fantasmes. Le réalisme imaginaire de Charles Gleyre. Paris : Les Éditions de Minuit, 1980.
- Eitner Lorenz. – Géricault, sa vie, son œuvre. Paris : Gallimard, 1991. Trad. de l’anglais par Jeanne Bouniort, p. 5.
- Lüthy Hans. – « Charles Clément, biographer of Géricault and Gleyre », Source. Notes in the History of Art, 1983, t. III, n° 1, p. 28-30.
- Bazin Germain. – « Documents relatifs aux travaux de Charles Clément sur Géricault ». In Théodore Géricault. Étude critique, documents et catalogue raisonné. Paris : La Bibliothèque des arts, 1987, t. I, p. 112-116.
- Lüthy Hans. – « Charles Clément and the French Landscape ». In Weisberg Gabriel P., Dixon Laurinda S., collab. Bultmann Lemke Antje. The Documented Image. Vision in Art History. Syracuse : Syracuse University Press, 1989, p. 309-318.
- Michel Régis. – « Géricault : fin d’un mythe ? ». In Catalogue de l’exposition Géricault, Paris, Galeries nationales du Grand Palais, 10 octobre 1991 – 6 janvier 1992. Paris : Réunion des musées nationaux , 1991, t. I, p. XI.
- Clément-Grandcourt Michel. – « Charles Gleyre et Charles Clément ». In Hauptman William, Charles Gleyre et la Suisse romande : [Catalogue de l’exposition], Lausanne, Musée historique, 23 septembre-31 décembre 1994, p. 17-19.
- Michel Régis. – « Le nom de Géricault ou l’art n’a pas de sexe mais ne parle que de ça ». In Michel Régis. Actes du colloque Géricault, Paris, Auditorium du musée du Louvre, 14-16 novembre 1991 et Rouen, Auditorium du musée des Beaux-Arts, 17 novembre 1991. Paris : La Documentation française, 1996, t. I, p. 4.
- Laveissière Sylvain. – « Allégories révolutionnaires ». In Catalogue de l’exposition Prud’hon ou le rêve du bonheur, Paris, Galeries nationales du Grand Palais, 23 septembre 1997 – 12 janvier 1998, New York, The Metropolitan Museum of Arts, 2 mars – 7 juin 1998. Paris : Réunion des musées nationaux, p. 158.
- Chenique Bruno. – « Géricault, le Radeau de la Méduse et l’idéologie du seul but d’art ». Histoire et anthropologie, 1999, n° 18-19, p. 147-183.
- Suzman Jowell Frances. – « Une lettre inédite d’Eugène Bellangé à Charles Clément : ou l’art de l’éloge pour obtenir le rétablissement confidentiel d’une fausse vérité ». La Méduse, feuille d’information de l’association des amis de Géricault, mai 1999, n° 7, p. 4.
- Clément-Grandcourt Michel. – « Note sur la correspondance d’Henri de Triqueti ». Bulletin de la Société d’émulation de l’arrondissement de Montargis, juin 2004, , 3e série, n° 126, p. 13-19.
- Chenique Bruno. – Triqueti à l’avant-garde du régiment Géricault. Un tableau inédit de Théodore Géricault. Paris : Gourcuff-Gradenigo, 2007, 36 pages.
Sources identifiées
Cambridge, Fogg Art Museum (Harvard University Art Museums)
- Lettre de Charles Clément à Henry Houssaye, Fleurier, 6 juin 1879
La Chaux-de-Fonds, Bibliothèque
Neuchâtel, Bibliothèque
Paris, Archives nationales
- F 21 494 : Papiers Charles Blanc
Fonds Clément-Grandcourt
Conservé par ses descendants, ce fonds est d’une richesse exceptionnelle. Une infime partie a été microfilmée dans les années 1980 par le Getty Research Institute (Los Angeles). Son actuel propriétaire a en entrepris l’inventaire systématique depuis plus de quinze ans.
En complément : Voir la notice dans AGORHA