Informations sur l’INHA, ses actualités, les domaines et programmes de recherche, l’offre de services et les publications de l’INHA.
COUPIN, Pierre-Alexandre
Mis à jour le 1 décembre 2008
(21 septembre 1780, Sèvres – 15 décembre 1841, Paris)
Auteur(s) de la notice : LEMEUX-FRAITOT Sidonie
Profession ou activité principale
Chef de bureau à l’enregistrement et à l’administration des domaines
Autres activités
Critique d’art et de littérature
Sujets d’étude
Peinture, sculpture, gravure, lithographie, panorama, littérature artistique, esthétique
Carrière
1793-vers 1800 : sert dans l’armée ; effectue la campagne d’Italie
1819 : publication de ses premiers articles de critique d’art dans la Revue encyclopédique
1825-1829 : révise et édite les œuvres littéraires de Girodet, rédige les notices des recueils d’estampes publiés d’après les dessins du peintre
1827 : publication de son Essai sur J. L. David, peintre d’histoire
1831-1841 : collaboration au Dictionnaire de la conversation
Chevalier de la Légion d’honneur
Étude critique
Pierre-Alexandre Coupin résumait ainsi ses origines : « Mon père avait une très grande fortune ; elle s’est évanouie pendant la Révolution ; je me suis fait une existence par mon travail. » Ce père, Claude Coupin, négociant originaire de Chichery, petite commune de l’Yonne, s’établit à Sèvres où il se maria en 1766. Il devint marguillier de la paroisse et se lia avec la meilleure société, notamment avec Pierre-Olivier Le Noble, « garçon de toilette du roi » demeurant à Versailles, parrain de son fils. Élu membre de l’assemblée municipale en 1787 puis du conseil général de la commune en février 1790, il devint en 1791 administrateur et président du directoire du district de Versailles. Après sa mort en 1799, une partie de sa maison, au 11 de la place Royale, fut louée par sa veuve à la ville de Sèvres qui y établit la mairie à partir de 1802. Il occupait une position non moins importante à Chichery où il acquit en 1791 des biens nationaux. De leurs onze enfants, nés entre 1771 et 1796, le troisième, Marie-Philippe dit Coupin de la Couperie (1773-1851), peintre, professeur de dessin à l’École militaire de La Flèche puis à Saint-Cyr, fut le plus célèbre. Pierre-Alexandre, le huitième, resta très proche de cet aîné, avec lequel il est souvent confondu. Il servit avec lui dans l’armée à partir de 1793 et fit la campagne d’Italie au cours de laquelle il consacra ses loisirs à l’étude des œuvres d’art. Les liens de leur famille avec des peintres de l’Académie de Saint-Luc déterminèrent sans doute cette passion : Jean-François Chevalier, qui en fut directeur en 1771, signa comme témoin au mariage de Claude Coupin et il est fort probable qu’un homonyme de ce dernier, admis dans cette académie le 15 octobre 1750 et décédé le 7 février 1764, lui fût apparenté. Marie-Philippe entra en 1800 dans l’atelier d’Anne-Louis Girodet-Trioson (1767-1824) dont il devint l’un des élèves favoris. À son retour en France, Pierre-Alexandre partagea bientôt leurs conversations esthétiques et littéraires et devint un intime. Son érudition — sans doute à l’exemple de son frère avait-il reçu une solide formation au collège Mazarin — et « la finesse de ses jugements », qualifiés d’« atticisme », lui ouvrirent alors les portes des salons, dont celui de François Gérard.
Ses premiers écrits parurent en 1819 dans la Revue encyclopédique ou Analyse raisonnée des productions les plus remarquables dans la littérature, les sciences et les arts (1819-1835) où il fit le compte rendu du Salon, affirmant sa position en faveur de l’école néoclassique, pour le Pygmalion et Galatée de Girodet contre le Radeau de la Méduse de Géricault qu’il qualifia de « dégoûtant ». Coupin publia par la suite plus de cent dix articles (signés « P. A. ») qui représentèrent l’essentiel de son activité d’historien d’art. Il devint ainsi un collaborateur indispensable au directeur, M.-A. Jullien, rédigeant la revue des Salons de 1822, 1824 et 1827 (ses analyses, aussi développées que les critiques du Moniteur universel, eurent assez d’influence pour qu’un peintre comme Étienne-Barthélémy Garnier se donnât la peine de lui envoyer la liste et l’explication de ses tableaux en 1827), celle des expositions des produits des manufactures royales (porcelaines de Sèvres et tapisseries des Gobelins) en 1819, 1823 et 1827, et celle des expositions des pensionnaires de l’Académie de France à Rome en 1821, 1823, 1824 et 1827. Il contribua également au Kunstblatt de Stuttgart où il était traduit par Cotta de Cottendorf, conseiller aulique et directeur de la revue, ainsi qu’au Dictionnaire de la conversation et de la lecture (1832-1851) pour lequel il rédigea les articles « Cicognara », « Gérard Dow », « F. Doyen », « F.-G. Drouais », « Dujardin », « Farnèse », « Finiguerra », « Bernard Palissy », « Parrhasius », « Pastiche », « Pérugin », « Phidias », « pinceaux », « pochades », « Reynolds », « Les Teniers », « Les Tintoret ». Ses jugements s’étaient nourris des amitiés qu’il avait nouées avec des peintres, ceux proches de son frère tels Turpin de Crissé, François-Marius Granet, Jean Georget et Antoine-Félix Boisselier, ceux familiers de Girodet, comme Charles Mercier-Dupaty et Marie-Victoire Jaquotot, à qui il consacra une notice dans le Kunstblatt du 6 septembre 1821, ainsi que les plus fidèles élèves de ce maître : Antoine-Claude Pannetier, Henri-Guillaume Chatillon qui l’aida à rédiger une notice biographique sur Jean-Pierre Péquignot, et François-Louis Dejuinne qui lui prêta de l’argent quand il consacra quatre années de sa vie à publier les œuvres de Girodet. Il connut assez intimement le baron Dominique-Vivant Denon pour citer certains détails de sa vie (sa rencontre avec Robespierre, son projet d’obélisque sur le terre-plein du Pont-Neuf et son intention d’écrire une histoire de l’art illustrée par la lithographie) et côtoya Émeric-David et François Mazois.
Coupin, familier des principaux représentants du néoclassicisme, les défendit au moment où la génération romantique les supplantait. Son Essai sur David (1827) constitue la première biographie du maître et le premier essai critique sur son œuvre. Le texte n’est pas exempt d’hagiographie, il fait état par exemple de l’admiration de Batoni pour le talent du jeune artiste, mais il est remarquable pour la qualité de ses sources (des témoignages directs et des écrits contemporains, tels le Pausanias français de Chaussard ou les articles du Moniteur universel). Coupin répertoria méthodiquement les principaux ouvrages de David, les circonstances de leur création, les modèles et les emprunts, en particulier à l’Antiquité, et détailla dans un « Appendice » les collaborations d’Isabey, Gérard, Fabre, Girodet, Drouais, des frères Franque, Langlois, Rouget, Mme Mongez, Mme Rude et Stapleaux aux principaux tableaux du maître. En précisant le rôle de ces élèves et ce qui pouvait leur être attribué, privilégiant la réalisation plus que l’invention, il prévoyait que sa démarche « ne serait pas sans intérêt pour l’histoire de l’art ». Attentif à toute innovation artistique, Coupin rédigea un grand nombre de prospectus pour les Dioramas (peintures de Daguerre et Bouton), Europoramas et Cosmoramas et s’intéressa à l’estampe, en particulier à la lithographie et à la chromolithographie. Godefroy Engelmann eut recours à lui à partir de 1824 pour composer les prospectus de ses planches. Coupin se spécialisa dans la rédaction de notices pour des recueils lithographiques, débutant par celle de l’album d’A. de Forbin, et de Dejuinne, Un mois à Venise (1825). Son ouvrage le plus important fut l’édition des suites d’illustrations de Girodet et celle de ses œuvres littéraires de 1825 à 1829. A la mort du peintre, il publia sa notice nécrologique dans la Revue encyclopédique, distribuée par ses soins en tirés-à-part (comme les notices Dupaty et Denon), puis collabora à la publication des dessins d’après les odes d’Anacréon gravés par H. Chatillon, en révisant la traduction des poèmes par Girodet et en préfaçant le recueil. En récompense de ce travail, qui lui prit quinze mois, il reçut des héritiers un dessin du maître, probablement l’ Académie d’homme couché, léguée à sa mort à la ville de Paris (Musée du Petit Palais). Coupin consacra ensuite deux ans et demi à l’édition des poèmes, écrits esthétiques et correspondance de Girodet, sa « glorieuse et laborieuse entreprise », tout en composant les notices et les prospectus des autres recueils d’estampes publiés d’après Girodet par ses élèves. Ces différents travaux furent accomplis comme un devoir rendu à la mémoire de l’artiste auquel il vouait un véritable culte mais dont il fut aussi le principal censeur, retranchant de ses écrits les passages et les textes les plus affirmés, tant d’un point de vue poétique et politique que personnel.
Historien d’art méthodique, Coupin fut l’auteur des premiers catalogues d’œuvres de David et de Girodet où il distingue techniques et genres, répétitions et esquisses. Ses biographies replacent les artistes au sein d’une école, décomposent leur carrière en périodes et définissent l’apogée de leur talent. Passionné d’esthétique (il avait lu Lessing), il avouait sa préférence pour un art détaché de la politique, guidé par la seule recherche de « la beauté sous son aspect physique et moral ». Ses opinions républicaines, conformes à son milieu culturel, sont cependant sensibles dans ses écrits. Esprit libéral, attaché aux valeurs de la Révolution (il possédait le dessin au trait de David pour le Serment du Jeu de Paume), il ironisa dans ses notes sur le revirement royaliste de Girodet et critiqua le système de la Société des Amis des Arts, plus favorable aux intérêts des sociétaires qu’à ceux des artistes. Membre de la Société de la Morale chrétienne qui défendait l’abolition de l’esclavage et l’éducation du peuple, il devint également membre de la Société de Géographie et de la Société de l’Histoire de France. Il fut nommé chevalier de la Légion d’honneur sous Louis-Philippe.
Sidonie Lemeux-Fraitot, docteur en histoire de l’art, chercheur
Principales publications
Ouvrages et catalogues d’expositions
- Un mois à Venise ou recueil de vues pittoresques dessinées par M. le comte de Forbin et M. de Juinne. Paris : Engelmann, 1825.
- Notice nécrologique sur M. le baron Denon. Paris : Rignoux, 1825.
- Anacréon, recueil de compositions dessinées par Girodet et gravées par M. Chatillon son élève, avec la traduction en prose des odes de ce poète, faite également par Girodet, publié par son héritier et par les soins de MM. Becquerel et P. A. Coupin. Paris : Chaillou-Potrelle, 1825.
- Notice nécrologique sur Charles Mercier-Dupaty. Paris : Rignoux, 1826.
- Les Amours des dieux, recueil de compositions dessinées par Girodet et lithographiées par ses élèves avec un texte explicatif rédigé par P. A. Coupin. Paris : Engelmann, 1826.
- Essai sur J. L. David, peintre d’histoire, ancien membre de l’Institut, officier de la Légion d’Honneur. Paris : Paul Renouard, 1827.
- Sappho, Bion, Moschus, recueil de compositions dessinées par Girodet avec la traduction en vers par Girodet de quelques unes des poésies. Paris : Chaillou-Potrelle, 1829.
- Œuvres posthumes de Girodet-Trioson suivies de sa correspondance, précédées d’une notice historique, et mises en ordre par P.-A. Coupin. Paris : Jules Renouard, Tome I ;Tome II ;Tome III, 1829.
Articles
- « Sur le Portrait du duc de Berry par Gérard et la Descente du Saint-Esprit sur les apôtres par Bégasse ». Revue universelle, avril-juin 1820, VII, p. 641.
- « De l’état de la lithographie en France en 1821 ». Revue universelle, janvier-mars 1821, IX, p. 248.
- « Du Manuel de l’amateur d’estampes par Joubert ». Revue universelle, janvier-mars 1821, IX, p. 587.
- « Du Voyage pittoresque de Choris autour du monde 1815-1818 ». Revue universelle, avril-juin 1821, X, p. 193.
- « Sur le Musée Chiaramonti, décrit et expliqué par Visconti et Guattani ». Revue universelle, avril-juin 1821, X, p. 556.
- « Les Sculptures du fronton du Parthénon, dont nous avons les plâtres moulés sur les originaux ». Revue universelle, juillet-septembre 1821, XI, p. 29.
- « La Bataille de Jemmapes, tableau d’H. Vernet ». Revue universelle, octobre-décembre 1821, XII, p. 230.
- « Le Cours de dessin et de perspective linéaire par Boniface ». Revue universelle, octobre-décembre 1821, XII, p. 477.
- « Les Souvenirs du Musée des monuments français ». Revue universelle, janvier-mars 1822, XIII, p. 205.
- « Le Journal des Beaux-Arts de Stuttgart ». Revue universelle, janvier-mars 1822, XIII, p. 221.
- « Le Plan et la coupe d’une partie du forum romain et des monuments sur la voie Sacrée par Caristie ». Revue universelle, avril-juin 1822, XIV, p. 221.
- « Diverses lithographies d’Aubry-Lecomte d’après Girodet ». Revue universelle, avril-juin 1822, XVI, p. 431.
- « La Statue équestre de Louis XIV en bronze par Bosio ». Revue universelle, janvier-mars 1823, XVII, p. 214.
- « La Galerie de S. A. R. la duchesse de Berry ». Revue universelle, janvier-mars 1823, XVII, p. 641.
- « La Statue pédestre de Bayard à Grenoble ». Revue universelle, janvier-mars 1823, XVII, p. 68.
- « Du beau dans les arts d’imitation par Kératry ». Revue universelle, avril-juin 1823, XVIII, p. 193.
- « Notice nécrologique sur Georget, peintre sur porcelaine ». Revue universelle, avril-juin 1823, XVIII, p. 473.
- « Sur le salon d’Horace Vernet gravé ». Revue universelle, juillet-septembre 1823, XIX, p. 194.
- « Les Cathédrales françaises, lithographies par Chapuy et Jolimont ». Revue universelle, octobre-décembre 1823, XX, p. 403 et janvier-mars 1824, XXI, p. 219.
- « Examen de plusieurs tableaux de David et de sa doctrine en peinture ». Revue universelle, avril-juin 1824, p. 769.
- « Sur les poésies de Missirini ». Revue universelle, juillet-septembre 1824, XXIII, p. 400.
- « D’une Notice historique sur la vie et les ouvrages de Prud’hon, par Voïart ». Revue universelle, juillet-septembre 1824, XXIII, p. 468.
- « De l’œuvre de Canova, recueil de gravures au trait d’après ses statues et bas-reliefs, par Réveil et H. Delatouche ». Revue universelle, octobre-décembre 1824, XXIV, p. 216 ; avril-juin 1825, XXVI, p. 878 et octobre-décembre 1825, XXVIII, p. 585.
- « Des antiquités de l’Alsace ». Revue universelle, avril-juin 1825, XXVI, p. 875, avril-juin 1826, XXX, p. 537 et janvier-mars 1827, XXXIII, p. 266.
- « D’une carte de la Grèce ancienne, de l’Asie mineure et de l’Italie méridionale ». Revue universelle, juillet-septembre 1825, XXVII, p. 515.
- « Des vues des monuments antiques de Naples ». Revue universelle, juillet-septembre 1825, XXVII, p. 873.
- « De la Corinne de Gérard reproduite sur porcelaine par Mme Jaquotot ». Revue universelle, octobre-décembre 1825, XXVIII, p. 332.
- « D’une Scène de déluge et du Serment des Sept chefs, lithographies d’après Girodet ». Revue universelle, octobre-décembre 1825, XXVIII, p. 654.
- « D’un bas-relief de Cortot pour le monument de Malesherbes ». Revue universelle, octobre-décembre 1825, XXVIII, p. 986 et octobre-décembre, 1826, XXXII, p. 844.
- « Du diorama des environs de Paris par Bouton ». Revue universelle, janvier-mars 1826, XXIX, p. 612.
- « Du buste de Girodet par Desprez ». Revue universelle, janvier-mars 1826, XXIX, p. 613.
- « Des voyages de Bronsted dans la Grèce ». Revue universelle, janvier-mars 1826, XXIX, p. 849.
- « De la Description des objets d’art composant le Cabinet de feu Denon ». Revue universelle, janvier-mars 1826, XXIX, p. 851.
- « De l’exposition de la Société des amis des arts en 1826 ». Revue universelle, janvier-mars 1826, XXIX, p. 902.
- « Des peintures sur porcelaine par Constantin ». Revue universelle, janvier-mars 1826, XXIX, p. 903.
- « D’une exposition de tableaux en faveur des Grecs, en 1826 ». Revue universelle, avril-juin 1826, XXX, p. 578 et juillet-septembre 1826, XXXI, p. 278 et 565.
- « De quelques tableaux attribués à David ». Revue universelle, avril-juin 1826, XXX, p. 578 et janvier-mars 1827, XXXIII, p. 336.
- « Des portraits historiques du baron Gérard gravés à l’eau-forte par Adam ». Revue universelle, avril-juin 1826, XXX, p. 828, juillet-septembre 1826, XXXI, p. 510 et janvier-mars 1827, XXXIII, p. 591.
- « Du diorama du cloître Saint-Wandrille par Bouton ». Revue universelle, juillet-septembre 1826, XXXI, p. 280.
- « D’Anacréon, composition de Girodet, lithographie par Dassy ». Revue universelle, juillet-septembre 1826, XXXI, p. 281.
- « Des antiquités mexicaines apportées en France par Latour-Allard ». Revue universelle, juillet-septembre 1826, XXXI, p. 848.
- « Du Voyage pittoresque et militaire en Espagne par Langlois ». Revue universelle, octobre-décembre 1826, XXXII, p. 787.
- « De l’Énéide, suite de compositions de Girodet, lithographies ». Revue universelle, octobre-décembre 1826, XXXII, p. 847.
- « De la galerie de Le Sueur, collection gravée avec notices par Malbeste et Pougens ». Revue universelle, avril-juin 1827, XXXIV, p. 513.
- « De l’œuvre de Jean Goujon, gravé au trait par Réveil ». Revue universelle, janvier-mars 1828, XXXVII, p. 797.
- « De la Mort de Virginie, tableau de Lethiers ». Revue universelle, avril-juin 1828, XXXVIII, p. 557.
- « De la lithochromie ou des tableaux à l’huile par impression ». Revue universelle, avril-juin 1828, XXXVIII, p. 813.
- « De la Thétis de Gérard gravée par Richomme et de la Didon de Guérin gravée par Forster ». Revue universelle, avril-juin 1828, XXXVIII, p. 819.
Bibliographie critique sélective
- Vente de la bibliothèque de P. A. Coupin. Paris : 29 décembre 1841.
- B. C. – « Notice nécrologique sur P. A. Coupin ». Bulletin de la Société de l’histoire de France, 1842, p. 191-193.
- B. A. – Aux amis de M. Coupin. Versailles : Montalant-Bougleux, 1852.
- Chiot René. – Chichery la Ville. Une terre du chapitre d’Auxerre, notes d’histoire. Auxerre : Staub, 1940.
- Bénézit Emmanuel – Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, graveurs de tous les temps. Paris : Gründ, 1976, t. III.
- Guiffrey Jules. – « Histoire de l’Académie de Saint-Luc ». Archives de l’Art français, nouvelle période, t. IX, 1970 (rééd.).
- Pougetoux Alain et Zimmer Thierry. – « Marie-Philippe Coupin de la Couperie, Mademoiselle d’Arjuzon implore la bonté divine pour le rétablissement de la santé de Madame la comtesse d’Arjuzon, sa mère, malade dangereusement (1814) ». Revue du Louvre et des musées de France, février 1998, n°1, p. 71-81.
- Hubschmann Lucile. – Histoire de Sèvres et de ses Maires 1800-1830. Sèvres : Archives de Sèvres, 1998.
Sources identifiées
Auxerre, Archives départementales de l’Yonne
- Q 171 (enregistré Q 1136)
Montigny-le-Bretonneux, Archives départementales des Yvelines et de l’ancienne Seine-et-Oise
- Dossier J 2071 à 2075 : fonds Coupin : brouillons de ses publications conservés par Lebrun, fondé de pouvoir de Rothschild, et donnés par Mme Wagon
- Fonds Deslandres, musée Girodet, Montargis (doc 6, n°118, 120, 130, 170 ; doc. 6 bis, n°10, 13, 51, 52, 58, 59, 60, 66) : correspondance entre Coupin et A. C. Becquerel à propos de la publication des œuvres de Girodet et des albums d’estampes
Paris, Archives nationales
- Minutier central des notaires, fichier Révolution et Empire (succession Claude Coupin et actes concernant sa famille, étude VI)
Sèvres, Archives municipales
- Registre des baptêmes et actes municipaux
En complément : Voir la notice dans AGORHA