Auteur(s) de la notice : ROUILLARD Philippe

Profession ou activité principale

Conservateur de bibliothèque

Autres activités
Graveur et historien de l’estampe

Sujets d’étude
Estampe en France, du XVe au XIXe siècle

Carrière
Élève des peintres et graveurs Achille Gilbert, Félix Buhot et Félix Bracquemond
Graveur original, a illustré plusieurs ouvrages (Arsène Alexandre, Alfred de Musset, Honoré de Balzac, Théophile Gautier, Marcel Prévost, George Sand, Octave Uzanne) ; graveur d’interprétation des peintres anciens (Jean-Siméon Chardin, Richard Parkes Bonington, le baron Gérard, Antoine Van Dyck, Antoine Watteau, etc.), ses planches ont paru dans les revues L’Art, L’Artiste, Gazette des Beaux-Arts, La Revue de l’art ancien et moderne, L’Estampe et l’Affiche
1885, 1887 et 1898 : expose au Salon de la Société des artistes français
1906 : membre titulaire de la Société des peintres-graveurs français
1906, 1909 et 1927 : expose au Salon de la Société des peintres-graveurs français
1927 : exposition rétrospective d’œuvres d’artistes décédés
1907 : expose au Salon d’automne, section des livres
Novembre 1885-1906 : stagiaire, puis bibliothécaire, collaborateur de Georges Duplessis et d’Henri Bouchot, au département des Estampes de la Bibliothèque nationale
Décembre 1906-1925 : conservateur du département des Estampes de la Bibliothèque nationale
1924 : officier de la Légion d’honneur
Avant 1907-1925 : membre de la Société de l’Histoire de l’Art français
1911-1925 : membre de la direction de la Société pour l’étude de la gravure française fondée en 1911 par Maurice Fenaille

Étude critique

François Courboin mena simultanément deux activités jusqu’à ce que l’une l’emporte sur l’autre, mais celle de l’artiste aura constamment nourri celle du conservateur et historien de l’art de l’estampe. Le graveur est l’élève de deux maîtres de la seconde moitié du XIXe siècle. Le conservateur doit sa formation à deux des grands spécialistes, à cette époque, de l’histoire de la gravure en France, Georges Duplessis, puis Henri Bouchot auquel il succède à la tête du Cabinet des Estampes. L’inventaire de son œuvre gravé compte une centaine de pièces, exécutées entre 1883 et 1908. Courboin semble alors avoir abandonné l’exercice de son art pour se consacrer à l’administration de la plus grande des collections d’images et à l’écriture d’ouvrages portant sur l’histoire de l’estampe française. Ouvrages de haute et claire vulgarisation qui ont vite acquis le statut de manuels, tant ils font preuve d’une grande érudition, d’un intérêt manifeste envers toutes les composantes de l’estampe, d’un constant souci de didactisme, ainsi que d’une connaissance aussi aiguë qu’attentive des divers procédés de gravure et d’impression. Intitulant son premier essai La Gravure française (1909), il annonce ce que sera son domaine de prédilection, quasi exclusif. Essai bref mais dense dans lequel il fixe à la fois les termes et les limites de son sujet, n’abordant que de façon occasionnelle l’activité artistique de ses contemporains. Et c’est en praticien expérimenté, de l’eau-forte notamment, qu’il écrira trois livres sur cette question, traitée selon une conception nouvelle pour l’époque, car fondée sur une abondante illustration. Le tremplin de cette activité d’historien fut la rédaction et la publication, entre autres copieux inventaires de collections publiques, du catalogue sommaire de la réserve du Cabinet des Estampes, soit près de 12 000 pièces, entreprise commencée en 1885. Ces deux tomes préfiguraient l’interminable chantier lancé trente ans plus tard par Paul-André Lemoisne, son successeur, qui consiste à inventorier, siècle par siècle, l’œuvre respectif des graveurs français, soit l’Inventaire du fonds français du département des Estampes (en cours).

Sous le titre L’Estampe française. Essais. Graveurs et marchands, se cache une remarquable synthèse sur le monde des graveurs et de la gravure au XVIIIe siècle en France, période alors très en faveur. S’appuyant sur le grand nombre de témoignages laissés par les artistes, de documents imprimés de l’époque et sur tous les travaux d’érudits disponibles, Courboin étudie ce domaine sous différents angles, présentant l’ensemble des éléments connus et moins connus qui se trouvaient dispersés. Le milieu des graveurs, leur formation, l’édition et le commerce des estampes, les marchands, les collectionneurs, les premières grandes ventes, les expositions, l’Académie, le rôle de l’État à travers les règlements, le contrôle, le dépôt légal et la censure, etc., sont autant de points exposés avec brio et une passion communicative. Ces questions qui paraissent naturelles au chercheur d’aujourd’hui ont depuis lors été approfondies et renouvelées, en particulier pour le XVIIe siècle, grâce à des fouilles dans les fonds d’archives. L’ouvrage acquiert la dimension d’un manuel à l’usage des amateurs car il s’articule autour d’un important chapitre consacré aux procédés dans lequel Courboin exploite en fin connaisseur à la fois les articles de l’Encyclopédie et la réédition, corrigée et augmentée, par le graveur Charles-Nicolas Cochin (1758), du Traité des manières de graver d’Abraham Bosse (1645).

En 1923, Courboin publie La Gravure en France. Des origines à 1900. Développant la matière de son premier essai, il brosse alors un panorama historique de l’image imprimée où se mêlent adroitement les considérations matérielles, techniques et stylistiques qui font la spécificité de l’art de l’estampe. Et s’il ne vise pas à faire un ouvrage de référence, mais à composer une esquisse à larges traits qui s’adresse aux débutants, sa conception est sans précédent. L’illustration, imprimée dans le texte, y joue un rôle essentiel — les plus récentes publications en la matière ne bénéficiaient pas d’une telle nouveauté technique — et chaque section est complétée d’une bibliographie permettant au lecteur de pousser l’étude.

Sa monumentale Histoire illustrée de la gravure en France paraît de 1923 à 1926. Ce nouveau programme est rempli grâce aux 1 400 reproductions choisies et imprimées avec le plus grand soin. Moins maniable que le précédent, le livre s’apparente à une édition de luxe. Le texte, composé de trois parties — des origines à 1660, date de l’édit pris par Louis XIV à Saint-Jean-de-Luz garantissant aux graveurs leur indépendance ; 1660-1800 ; XIXe siècle — est plus ramassé que dans la précédente publication dans laquelle le XVIIIe siècle faisait l’objet d’un chapitre indépendant. Viennent ensuite les notices des planches, amples et parfaitement documentées. Dans l’un comme dans l’autre ouvrage, Courboin aborde toutes les composantes de la production gravée, du registre dit populaire au plus savant, du placard à la vignette et à l’illustration des livres. Il s’en tient toujours à cette distinction entre les deux techniques fondamentales de l’estampe avant l’invention de la lithographie : la gravure typographique et « l’entaille-douce ». Pour la première, on lui doit d’avoir vulgarisé les résultats de recherches très savantes et qui faisaient l’objet depuis quelques années de débats teintés de nationalisme entre les érudits allemands et français particulièrement. Elles concernaient cette phase initiale de l’histoire de l’image multiple, ces incunables en général gravés sur bois et souvent coloriés qui vont progressivement se substituer aux miniatures.

Au début du XXe siècle, l’orgueil national exigeait que l’on donnât, comme pour la peinture, des racines aussi profondes que possibles à une prétendue école française de gravure, laquelle rencontrait quelque difficulté à exister avant le retour en France de Jacques Callot, un Lorrain qui, « quoique ensorcelé tout enfant par le mirage de l’Italie, ne se laissa pas déprimer ». L’intérêt de Courboin pour les origines de l’estampe et les développements de la gravure typographique, sur bois ou sur métal, au cours du XVe siècle en France s’inscrit dans la continuité des travaux de Bouchot, dont le magistral ouvrage sur les incunables xylographiques paru en 1903 constituait une vive riposte aux prétentions allemandes à s’attribuer les prémices et les développements de l’impression des estampes en Europe ; il se manifeste aussi par de remarquables acquisitions pour les collections de la Bibliothèque. Courboin reste prudent et mesuré sur la question de la priorité comme sur le terrain de l’invention et de l’indépendance nationales : ses propos témoignent désormais d’un climat apaisé. Il préfère insister sur la phase suivante jusqu’alors négligée par tous les historiens, mais dont Jules Renouvier (1859) et Duplessis n’avaient pas manqué de souligner l’importance : les estampes de la fin du XVe siècle généralement taillées en bois et enfouies dans les livres publiés à Lyon et à Paris.

Cette quête d’un caractère spécifique à chaque nation est partagée par de nombreux historiens à l’époque où Courboin commence à rédiger ses ouvrages. Chez lui, une telle position va de pair avec un rejet de l’apport italien au cours du XVIe siècle. Aussi ne faut-il pas s’étonner que parmi les graveurs relevant de l’école de Fontainebleau, « constituée par tant d’étrangers qu’on peut la regarder comme une enclave italienne dans l’art français », en conséquence expédiée en quelques lignes dans l’un et l’autre livre, un seul d’entre « ces praticiens médiocres » trouve en définitive grâce aux yeux du graveur-conservateur-historien de l’estampe René Boyvin : « le Français le plus marquant », tandis que les autres Français « sont un peu comme les gens qui exagèrent l’accent des langues étrangères qu’ils apprennent ». On constate un même manque de considération envers l’activité des graveurs venus de Flandre ou d’Outre-Rhin à Paris à la fin du XVIe siècle, auxquels on doit tant de planches historiques : seuls Léonard Gaultier et Thomas de Leu sont retenus, comme portraitistes. Ainsi l’état d’esprit qui préside aux travaux de Courboin se distingue-t-il de celui qui prévalait chez Duplessis, lequel, un demi-siècle avant, consacrait un chapitre aux graveurs de Fontainebleau et ne sous-estimait pas l’influence flamande.

Une raison contextuelle et sans doute plus intime (sa famille ardennaise a été entièrement ruinée par les deux conflits avec l’Allemagne) aura conduit Courboin à n’offrir en fin de compte qu’une histoire franco-française de l’estampe. Réponse ou réaction fondée sur une conception différente de l’étude de l’art : Louis Dimier, en 1930, fait paraître un ouvrage, La Gravure, qui offre en 200 pages serrées un tableau de l’histoire de l’estampe, de l’Europe au Japon.

Philippe Rouillard

Principales publications

Ouvrages et catalogues d’expositions

  • Inventaire de la collection de dessins sur Paris formée par H. Destailleur et acquise par la Bibliothèque nationale. Paris / Nogent-le-Rotrou : imprimerie de Daupeley-Gouverneur, 1891, 72 p., 1 328 no, index alph. [extrait des Mémoires de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, t. XVII, 1890].
  • Inventaire des dessins, photographies et gravures relatifs à l’histoire générale de l’art : légués au département des Estampes de la Bibliothèque nationale par A. Armand, [de l’Antiquité à 1870]. Préf. de Georges Duplessis. Lille : imprimerie de L. Dansel, 1895, 2 vol., LXXXVI (table), 17 499 no, 420 et 318 p.
  • Catalogue sommaire des gravures et lithographies composant la Réserve [Bibliothèque nationale, département des Estampes]. Préf. d’Henri Bouchot. Paris : G. Rapilly, 1900-1901, vol.1 ; vol.2, XIII-437 p., 462 p., 11866 no, tables.
  • « Introduction et Catalogue des portraits dessinés et peints ». In Exposition de portraits peints et dessinés du XIIIe au XVIIe siècle : [catalogue de l’exposition], Paris, Bibliothèque nationale, avril-juin 1907. Préf. de Henry Marcel et Camille Couderc. Collab. de P. Marchal, Joseph Guibert, Paul-André Lemoisne, François Gruel et Jean Laran. Paris : É. Lévy, 1907, XI-202 p., 532 no, ill. h. t.
  • « Catalogue des gravures ». In Exposition d’œuvres de Rembrandt, dessins et gravures : [catalogue de l’exposition], Paris, Bibliothèque nationale, mai-juin 1908. Collab. de Paul-André Lemoisne (dessins) et Joseph Guibert (bibl.). Paris : É. Lévy, 1908, XV-150 p., 501 no, ill. h. t.
  • La Gravure française. [Paris] : Figaro illustré, 1909, 32 p., ill. n. et coul.
  • La Lithographie en France, des origines à 1870. [Paris] : Figaro illustré, novembre 1911, 24 p., ill.
  • L’Estampe française. Essais. Graveurs et marchands [d’estampes au XVIIIe siècle]. Bruxelles et Paris : G. van Oest, 1914, X-216 p., ill. [ouvrage couronné par l’Institut, Académie des beaux-arts, 1914].
  • Les Emplacements successifs du Cabinet des Estampes de 1667 à 1917. Paris : H. Leclerc, 1918, 76 p., plans [extrait du Bulletin du bibliophile, 1918].
  • « Préface ». In Roux Marcel, Catalogue des ouvrages relatifs aux beaux-arts du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale (série Y), t. I. Paris : É. Champion, 1921, XI-372 p. (« Archives de l’art français », nouvelle période, 11).
  • La Gravure en France : des origines à 1900. Paris : Delagrave, 1923, 258 p., 203 reprod. n. et coul., table alph. des noms d’artistes.
  • « Préface ». In Lieure Jules, Jacques Callot, p. III-VII. Paris : Éd. de la Gazette des Beaux-Arts, 1924-1929, 2 parties en 5 vol., VII-126 p., 86 pl. ; 130 p., 60 pl., et 3 vol. de cat. de l’œuvre entièrement illustré.
  • « Notice biographique ». In Petit-Jean Charles et Wickert Charles, Catalogue de l’œuvre gravé de Robert Nanteuil, p. 7-29. Paris : L. Delteil et M. Le Garrec, 1925, 2 vol., 416 p. (texte), 234 pl.
  • Histoire illustrée de la gravure en France. Paris : M. Le Garrec, 1923-1929, 3 vol. de texte, XXI-212 p., XXVIII-245 p., XXXII-301 p., un de table, 170 p., 1 392 ill. en 3 recueils non reliés ou en 6 vol. reliés.
  • La Gravure française : essai de bibliographie. Collab. de Marcel Roux. Préf. de Joseph Guibert. Paris : M. Le Garrec, 1927-1928, 3 vol., 434, 550, 200 p.

Traduction

  • Lippmann Friedrich. – Les Sept Planètes. Paris : Société internationale chalcographique, 1895, 14 p., 42 ill.

Articles

  • « [Compte rendu de l’exposition Félix Buhot à Cherbourg] ». Journal des artistes, 22 août et 6 septembre 1884.
  • « Les Expositions. Les peintres-graveurs [à la galerie Durand-Ruel] ». L’Artiste, février 1889, p. 124-129.
  • « [Compte rendu de l’exposition F. Buhot à Évreux] ». Journal des arts, 26 juillet 1890.
  • « P.-L. Henriquel ». L’Artiste, février 1892, p. 114-116.
  • « Le Retour de l’école (tableau de la galerie Lacaze, attribué à Chardin) ». La Revue de l’art ancien et moderne, octobre 1897, n° 7, p. 267-268.
  • « L’Estampe contemporaine ». L’Œuvre et l’Image, décembre 1900, 6 p., ill.
  • « L’Estampe ». L’Œuvre et l’Image, 1901, 8 p.
  • « Portraits par Gonzalès Coques, au musée de Cassel ». La Revue de l’art ancien et moderne, avril 1902, n° 61, p. 291-293, ill.
  • « L’Eau-forte ». Art et Décoration, XIX, janvier-juin 1906, p. 129-144.
  • « Exposition de portraits à la Bibliothèque nationale ». Art et Décoration, XXI, janvier-juin 1907, p. 117-124, ill.
  • « Exposition de portraits peints et dessinés à la Bibliothèque nationale. Les portraits dessinés ». Gazette des Beaux-Arts, 1er juillet 1907, 601e livraison, p. 27-48, ill.
  • « [À propos de l’exposition des portraits dessinés au XVIe siècle à la Bibliothèque nationale] » (note sur l’importance et le classement du fonds au département des Estampes). Bulletin de la Société de l’Histoire de l’Art français, 1907, p. 26-28.
  • « Le Physionotrace de Quénédey ». Bulletin de la Société de l’Histoire de l’Art français, 1908, p. 38-42, ill.
  • « Le Portrait de Pierre Grassin gravé par B. Lépicié, d’après N. de Largillière ». La Revue de l’art ancien et moderne, novembre 1909, n° 152, p. 402-404, ill.
  • « Notes critiques sur la “Paix” attribuée à Maso Finiguerra et sur ses différentes épreuves ». La Revue de l’art ancien et moderne, mars 1909, n° 144, p. 161-174, ill. ; avril 1909, n° 145, p. 289-302, ill.
  • « Quelques Enrichissements récents du Cabinet des Estampes ». La Revue de l’art ancien et moderne, mai 1909, n° 146, p. 361-366, ill.
  • « Auguste Raffet (1839-1910) ». Bulletin du bibliophile, 1910, p. 479, sq.
  • « Quelques Enrichissements récents du Cabinet des Estampes ». La Revue de l’art ancien et moderne, janvier 1912, n° 178, p. 19-28, ill. ; février 1912, n° 179, p. 133-141, ill.
  • « La Gravure sur bois originale au Pavillon de Marsan ». Art et Décoration, XXXIII, janvier-juin 1913, p. 17-28, ill.
  • « À propos du Serment du Jeu de paume ». Archives de l’Art français, VIII [1914], 1916, p. 281-285.
  • « La Gravure au burin ». Art et Décoration, XL, juillet-décembre 1921, p. 113-124, ill.
  • « Les Procédés de la gravure au XVIIIe siècle ». L’Amateur d’estampes, 1re année, 25 décembre 1921, 25 janvier, 25 février, 25 mars, 25 avril 1922.
  • « Gilles Demarteau » [texte d’une conférence donnée à L’Œuvre des artistes de Liège, le vendredi 28 juin 1912]. L’Amateur d’estampes, mai et juillet 1924, p. 69-79, 101-110, ill.

Bibliographie critique sélective

À propos du graveur, voir, en partant des index de la revue, les notes et commentaires parus dans L’Estampe et l’Affiche, Paris, 1897-1899.

  • Vicaire Georges. – « Compte rendu du Catalogue des gravures et lithographies composant la Réserve ». Bulletin du bibliophile, 1901, p. 542.
  • Denis H. – « La Gravure en France. Des origines à 1900 (François Courboin) ». Revue de l’art ancien et moderne, t. XLIII, janvier-mai 1923, p. 319-320.
  • Bouvy Eugène. – « L’Estampe française et son histoire ». L’Amateur d’estampes, 1923, p. 97-106.
  • Dacier Émile – « L’Estampe française du XVIIIe siècle. À propos d’un livre récent » [2e t. de l’Histoire illustrée]. L’Amateur d’estampes, décembre 1924, p. 163-180.
  • Vinck Carl (baron de). – « François Courboin, 1865-1926 ». Gravuriana. Paris : éd. Maurice Rousseau, n° 2, avril 1926, p. 5-6, ill.
  • Guibert Joseph. – « François Courboin (1865-1926) ». L’Amateur d’estampes, mai 1926, p. 81-89, ill.
  • « Nécrologie. François Courboin ». La Revue de l’art ancien et moderne, mai 1926, p. 146-147.
  • Bouvy Eugène. – « La Gravure française et les Sources de son histoire ». L’Amateur d’estampes, mai 1929, p. 65-66.
  • Adhémar Jean. – Bibliothèque nationale. Département des Estampes. Inventaire du fonds français. Après 1800. Paris : Imprimerie nationale, t. V, 1949, p. 247-255, n° 1-93 (œuvre du graveur).
  • Stolpe Elmar. – Saur Allgemeines Künstlerlexikon. Munich ; Leipzig, t. XXI, 1999 (notice Courboin François).
  • Dugnat Gaïte, Sanchez Pierre. – Dictionnaire des graveurs, illustrateurs et affichistes français et étrangers (1673-1950). Dijon : L’Échelle de Jacob, 2001, t. II/V.

Sources identifiées

Paris, Bibliothèque nationale de France, département des Estampes et de la Photographie

  • Réserve. Correspondance et journal du conservateur [documents non communicables]
  • L’œuvre en feuilles de l’artiste est conservé au même département des Estampes, sous la cote Ef 434, 2 vol. in-folio

En complément : Voir la notice dans AGORHA