Auteur(s) de la notice :

CHEDEAU Catherine

Profession ou activité principale

Historien, historien de l’art

Autres activités
Peintre, dessinateur et romancier

Sujets d’étude
Régionalisme : histoire et art en Bourgogne

Carrière
1884 : membre de la Société éduenne d’archéologie et d’histoire
1888 : licence de droit à Lyon
1888-1892 : séjour parisien ; fréquente l’École des beaux-arts et les ateliers d’Adolphe Bouguereau, de Tony Robert-Fleury et de Camille Lefèvre
1889 : membre associé de l’Académie de Mâcon
1899 : résidence fixée à Dijon
1900 : membre associé de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or
1903 : publication de son roman Huguette de Chaumelis préfacé par Henri Chabeuf
1904 : membre titulaire de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or
1906 : représentation au Grand Théâtre de Dijon de sa pièce historique intitulée Lanturlu
1907 : membre de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon
1907 : membre du Comité des sites et des monuments pittoresques
1914 : bibliothécaire archiviste de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or
1930 : vice-président de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or
1932 : vice-président du syndicat d’initiative de Dijon
1934 : président de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or
1935 : membre non-résident du Comité des travaux scientifiques
1936 : chevalier de la Légion d’honneur

Étude critique

Après des études de droit à Lyon, Eugène Fyot effectue un séjour parisien dans les ateliers des peintres Adolphe Bouguereau (1825-1905) et Tony Robert-Fleury (1839-1912), ainsi que dans celui du sculpteur Camille Lefèvre (1853-1933). De retour au Creusot en 1892, il participe à la vie publique et devient conseiller municipal en 1896. Trois ans plus tard, il s’installe à Dijon et y demeure jusqu’à la fin de sa vie. Bien qu’homme de loi, Fyot n’a jamais exercé de profession juridique ni embrassé une carrière politique. Il a cultivé toute sa vie la pratique du dessin et de la peinture (même s’il se qualifiait de simple amateur), s’est adonné à l’étude des « beaux-arts », mais surtout a investi tout son temps dans l’archéologie et l’histoire bourguignonnes. Aussi a-t-il été très actif au sein des sociétés savantes locales puisqu’il a été membre de la Société éduenne d’archéologie et d’histoire, de l’Académie de Mâcon, de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon et de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or, qui, depuis 1819, était « chargée de recenser, de sauvegarder ou de conserver le souvenir des vestiges et des témoignages du passé ». Sa place dans cette dernière institution a été prépondérante puisqu’il a accédé au fauteuil de vice-président en 1930 et quatre ans plus tard à celui de président.

Son implication dans la vie publique dijonnaise consiste en cette attention portée à la protection du patrimoine ancien : il s’implique dans le classement de la place de la Libération au titre des monuments historiques, s’inquiète des bâtiments de la Maladière (1936), propose des projets pour la restauration du porche de Saint-Philibert (1927), réclame un recensement et des relevés systématiques des façades dijonnaises ou encore apporte son soutien à Maurice Perrin de Puycousin (1856-1959), fondateur des musées de Dijon et de Tournus. Il contribue aussi au fonctionnement du syndicat d’initiative et de tourisme – il en devient vice-président en 1932 – et suit en cela les actions initiées à partir de 1919 par le maire Gaston Gérard. Fyot anime des visites, écrit pour le Bulletin du syndicat d’initiative, cherchant ainsi à faire connaître le patrimoine artistique au plus grand nombre. Enfin, il est un collaborateur assidu de la Revue de Bourgogne, de sa fondation en 1911 jusqu’à sa disparition en 1926. Cette publication, qui reliait le réseau académique dijonnais et celui de l’université, témoigne de l’intérêt pour l’histoire locale, et son programme se voulait large et ambitieux : « Toutes les questions, quelles qu’elles soient, peuvent être envisagées au point de vue de notre région. Les questions sociologiques et économiques : agricoles, viticoles ou forestières, les manifestations artistiques d’autrefois et d’aujourd’hui, l’histoire passée et présente, tout pourra trouver sa place dans notre revue. » L’esprit « périodique » de la revue et sa forme souvent journalistique correspondaient au tempérament de Fyot, qui avait la volonté de diffuser ses connaissances parce qu’il était persuadé de l’importance de l’information dans la sauvegarde du patrimoine.

Ses différentes activités résument sa personnalité et ses convictions. Fyot possède une sensibilité artistique proche des milieux académiques, comme le montrent sa fréquentation de Charles Ronot (1820-1895), directeur de l’École des beaux-arts de Dijon, sa participation active aux expositions de la Société des amis des arts de Dijon, ainsi que ses tableaux (Crucifixion, Fuite en Égypte, Nativité et deux prophètes entourant le devant d’autel) destinés à la chapelle de l’hôtel-Dieu du Creusot, consacrée en 1894. Certains de ses articles révèlent cette appartenance. Mais œil exercé, bon connaisseur d’art, il parvient souvent à faire ressortir par de fines analyses les principaux caractères stylistiques des œuvres qu’il étudie.

Surtout, Fyot appartient à cette catégorie d’érudits à la fois curieux, historiens et archéologues qui cherchent avant tout à mettre en valeur l’histoire de leur province. Ce régionalisme, si prégnant à son époque, prend la forme d’une histoire événementielle s’appuyant sur une méthode positiviste, non empreinte parfois d’accents littéraires. Sa curiosité l’a conduit à publier un nombre considérable d’articles et de courtes notices sur des sujets très divers et variés allant de l’Antiquité jusqu’à l’époque contemporaine (la base bibliographique bourguignonne Hibou en répertorie 188 en 2007), sans compter ses nombreuses communications non publiées. Il a mené des enquêtes biographiques sur des artistes bourguignons (architectes comme les Saint-Père, peintres comme ceux des ducs de Bourgogne ou Philippe Quantin, ou encore sculpteurs : Hugues Sambin, Jean Dubois, Claude-François Attiret, Jérôme Marlet), écrit des monographies d’édifices (Notre-Dame de Dijon, l’hôtel Chambellan, l’abbaye de La Bussière, le château de Montmuzard), relaté des événements historiques ou encore publié des enquêtes ethnographiques sur le folklore et les mœurs en Bresse et dans le Morvan.

Il est également l’auteur de plusieurs monographies historiques consacrées surtout à des châtellenies ou localités de l’actuelle Saône-et-Loire, département où il a commencé son activité d’historien. Son ouvrage le plus célèbre reste Dijon : son passé évoqué par ses rues (1928), dans lequel il se situe dans la lignée de l’historien Henri Chabeuf et son Dijon, monuments et souvenirs (1894). Fyot suit la même problématique, mais il prend en compte les demeures et surtout le tissu urbain qui n’avaient que peu retenu l’attention de Chabeuf. Il cherche à dresser une histoire exhaustive du patrimoine architectural de la ville en livrant le résultat de ses dépouillements d’archives (publiques et privées) et de ses lectures. Souvent, il reprend et développe ses articles publiés dans les revues savantes locales. Il décrit et analyse la ville, rue après rue, quartier après quartier, donnant par là même au chercheur actuel un état des lieux du Dijon des années 1920. Son ouvrage se veut à la fois une étude érudite s’appuyant sur des faits certains et un guide, offrant au lecteur des « promenades imaginaires » à travers le temps, genre largement développé dans la littérature du XIXe siècle auquel il s’était essayé dans son Lanturlu (1906) ou son Huguette de Chaumelis (1903). Par cette volonté de « vulgarisation érudite », ce livre a parfois été accueilli avec quelques reproches. Et, si en 1929, dans l’avis au lecteur du premier numéro des Annales de Bourgogne, l’historien Henri Drouot écrivait à propos de la Revue de Bourgogne : « Cet organe éclectique, destiné à un très large public, se consacrait, lui aussi, à toutes les formes de l’activité intellectuelle et, de plus, il ne pouvait accueillir qu’exceptionnellement les études poussées, les enquêtes parfois austères qu’exige la recherche véritablement scientifique », les rééditions successives de cet ouvrage (1960, 1979, 1995) prouvent qu’il demeure encore un point de départ pour toute recherche sur le patrimoine ancien de Dijon, malgré l’évolution des méthodes et les progrès de la recherche historique.

Catherine Chédeau, maître de conférences en histoire de l’art moderne à l’université de Franche-Comté

Principales publications

Ouvrages et catalogues d’expositions

  • Huguette de Chaumelis : récit bourguignon. Préf. d’Henri Chabeuf. Dijon : Jobard, 1903, 372 p.
  • Le Sculpteur dijonnais Jean Dubois, 1625-1694. Dijon : J. Nourry, 1907, 106 p.
  • L’Église Notre-Dame de Dijon : monographie descriptive. Dijon : F. Rey, 1910, XXIV-246 p.
  • L’Hôtel Chambellan. Dijon : éd. du Syndicat d’initiative et de tourisme de Dijon et de la Côte-d’Or, 1925.
  • Dijon : son passé évoqué par ses rues. Dijon : L. Damidot, 1928 ; 2e éd. appendice par Louis Fyot, Dijon : L. Damidot, 1960 ; 3e éd. en fac-similé de l’éd. de 1960, préf. d’Yves Beauvalot, Dijon : Damidot, 1979 ; 4e éd. en fac-similé de l’éd. de 1928, préf. d’Yves Beauvalot, Dijon : Damidot ; Péronnas : éd. de la Tour Gile, 1995.
  • Talant : monographie touristique. Dijon : L. Damidot, 1932, 74 p.

Articles

  • « Notice sur l’église et l’ancienne croix du Breuil ». Mémoires de la Société éduenne, 1897, t. XXV, p. 321-332.
  • « Monay, son château et ses seigneurs ». Mémoires de la Société éduenne, 1899, t. XXVII, p. 33-46.
  • « Le Château et les seigneurs de Brandon ». Mémoires de la Société éduenne, 1900, t. XXVIII, p. 1-104.
  • « La Châtellenie de Montcenis, I ». Mémoires de la Société éduenne, 1901, t. XXIX, p. 289-354.
  • « La Châtellenie de Montcenis, II ». Mémoires de la Société éduenne, 1902, t. XXX, p. 161-249.
  • « Notes sur l’histoire du Palais de Justice de Dijon ». Mémoires de la Commission des antiquités du département de la Côte-d’Or, 1901-1905, t. XIV, p. 15-26.
  • « Note sur l’origine de la houillère et de la verrerie d’Épinac ». Mémoires de la Société éduenne, 1903, t. XXXI, p. 117-134.
  • « La Châtellenie de Glenne, I ». Mémoires de la Société éduenne, 1904, t. XXXII, p. 85-132.
  • « La Châtellenie de Glenne, II ». Mémoires de la Société éduenne, 1905, t. XXXIII, p. 51-96.
  • « Marmagne ». Annales de l’Académie de Mâcon, 1905, 3e série, t. X, p. 372-523.
  • « Chaseu ». Mémoires de la Société éduenne, 1908, t. XXXVI, p. 1-50.
  • « Montvaltin. Seigneurie du Breuil près du Creusot ». Mémoires de la Société éduenne, 1909, t. XXXVII, p. 283-316.
  • « Trois fiefs sur la Dheune : Saint-Berain, la Motte-sur-Dheune, la Motte-Vouchot ». Mémoires de la Société éduenne, 1910, t. XXXVIII, p. 325-353.
  • « L’Escrime à Dijon ». La Revue de Bourgogne, 1911, t. I, p. 99-115.
  • « Le Peintre Quantin ». La Revue de Bourgogne, 1912, t. II, p. 129-164.
  • « La Petite Reine en Bourgogne ». La Revue de Bourgogne, 1913, t. III, p. 23-36.
  • « Une famille d’ébénistes : les Demoulin ». La Revue de Bourgogne, 1914, t. IV, p. 198-211.
  • « L’Art et la Guerre ». La Revue de Bourgogne, 1915, t. V, p. 26-37.
  • « À propos de deux statues anciennes de la Vierge ». La Revue de Bourgogne, 1915, t. V, p. 370-382.
  • « Un inventeur bourguignon : Nicéphore Niepce ». La Revue de Bourgogne, 1916-1917, t. VI, p. 129-144.
  • « Une œuvre de guerre à Dijon : la cantine des permissionnaires ». La Revue de Bourgogne, 1916-1917, t. VI, p. 257-276.
  • « L’Enluminure en Bourgogne ». La Revue de Bourgogne, 1918-1919, t. VII, p. 5-32.
  • « Mœurs morvandelles, I. La boule de poils ». La Revue de Bourgogne, 1918-1919, t. VII, p. 420-425.
  • « Mœurs morvandelles, II. La Galipote ». La Revue de Bourgogne, 1920, t. VIII, p. 388-397.
  • « Le Castrum divionense ». Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1920, p. 299-321.
  • « La Chartreuse de Champmol ». La Revue de Bourgogne, 1921, t. IX, p. 297-319.
  • « L’Union artistique des Flandres et de la Bourgogne au Moyen Âge ». Mémoires de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, 1922, t. XCIII, p. 705-731.
  • « Notes et références biographiques sur quatre peintres des ducs de Bourgogne, à savoir Jehan de Beaumez, Melchior Broederlam, Jehan Malouel et Henry Bellechose ». Mémoires de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, 1922, t. XCIII, p. 722-731.
  • « Montmusard d’après les documents recueillis par M. Ernest Lory ». Mémoires de la Commission des antiquités du département de la Côte-d’Or, 1922-1926, t. XVIII, p. 225-252.
  • « Claude-François Attiret, statuaire (1728-1804) ». La Revue de Bourgogne, 1923, t. XI, p. 5-39, 132.
  • « Le Palais de Justice de Dijon ». La Revue de Bourgogne, 1923 t. XI, p. 152-175.
  • « L’Architecture à Dijon sous la Renaissance : Hugues Sambin ». La Revue de Bourgogne, 1925, t. XIII, p. 5-27 ; notes de H. Drouot, p. 188-192 et 207-208 ; réponse intercalée de l’auteur, p. 205-207.
  • « L’Abbaye de La Bussière ». La Revue de Bourgogne, 1925, t. XIII, p. 254-312 ; tiré à part : Dijon : Darantière, 1975, 76 p.
  • « Folklore bressan. Exposition à la Foire gastronomique de Dijon ». La Revue de Bourgogne, 1925, t. XIII, p. 633-636.
  • « Autun : une visite à l’hôtel Rolin ». La Revue de Bourgogne, 1925, t. XIII, p. 563-573.
  • « Influence didactique de Hugues Sambin sur le décor d’architecture ». Mémoires de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, 1925-1926, t. XCIX, p. 163-192 ; reprod. Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1925, fascicule A, p. 207-236.
  • « Hôtels et maisons de Dijon ». In Congrès archéologique de France, XCIe session tenue à Dijon en 1928 par la Société française d’archéologie. Paris : A. Picard ; Société générale d’imprimerie et d’édition, 1929, p. 127-147.
  • « Les Verrières et les verriers d’autrefois à Dijon ». Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1930-1931, p. 571-585.
  • « Considérations sur le tableau d’Ingres : le Martyr de saint Symphorien, à la cathédrale d’Autun ». Mémoires de la Société éduenne, 1931, t. XXXXVI, p. 405-408.
  • « Une famille d’artistes à Dijon : les Saint-Père ». Mémoires de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, 1932, t. CI, p. 18-27.
  • « Un ballet tragique sous Louis XIII ». Mémoires de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, 1933, t. CI, p. 30-35.
  • « Identification des boiseries sculptées provenant de la Sainte-Chapelle de Dijon ». Mémoires de la Commission des antiquités du département de la Côte-d’Or, 1933-1935, t. XX, p. 67-73.
  • « Le Sculpteur Jérôme Marlet, ses travaux à la cathédrale d’Autun ». Mémoires de la Société éduenne, 1935, t. XXXXVII, p. 203-216.
  • « La Vie pittoresque de Claude Rameau, organiste à la cathédrale d’Autun ». Mémoires de la Société éduenne, 1938, t. XXXXVIII, p. 277-286.

Bibliographie critique sélective

  • s. n. – « Eugène Fyot ». In Dictionnaire biographique illustré de la Côte-d’Or. Paris : Flammarion, 1911, p. 497-499.
  • Oursel Charles. – « Eugène Fyot (1866-1937) ». Mémoires de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or, 1936-1939, t. XXI, p. 229-230.
  • Drouot Henri. – « Eugène Fyot ». Annales de Bourgogne, 1937, t. IX, p. 349-350.
  • Oursel Charles. – « Pierre Huguenin et Eugène Fyot ». Mémoires de l’Académie de Dijon, 1938-1939, t. CIII, p. 3-8.
  • Carnot Sadi Lazare Hippolyte (colonel). – « Eugène Fyot ». Mémoires de la Société éduenne, 1940, t. XXXXVIII, p. 428-429.
  • Faure Paul. – « Fyot Eugène ». In Roman d’Amat Jean-Charles, Prévost Michel et Tribout de Morembert Henri, dir., Dictionnaire de biographie française. Paris : Letouzey et Ané, 1979, t. XIV, col. 1474.
  • Beauvalot Yves. – « Préface ». In Fyot Eugène, Dijon, son passé évoqué par ses rues. Dijon : L. Damidot, 1979, p. I-XXXI.
  • Taupenot Lucien. – « Eugène Fyot peintre méconnu (de quelques démêlés avec ses modèles…) ». Pays de Bourgogne, juin 1995, n° 168, p. 18-21.
  • Poirrier Philippe. – Municipalité et culture au XXe siècle : des beaux-arts à la politique culturelle. Interventions de la municipalité de Dijon dans les domaines artistiques et culturels (1919-1995). Thèse de doctorat en histoire, université de Bourgogne, 1995, p. 199-201.
  • Pierre Sanchez. – Les Salons de Dijon, 1771-1950. Dijon : L’Échelle de Jacob, 2002, p. 199.
  • Jean-François Bazin. – Le Tout Dijon. Dijon : Cléa, 2003, p. 399.

Sources identifiées

Dijon, Archives départementales de la Côte-d’Or

  • Fonds de la Commission des antiquités de la Côte-d’Or (69J)
    • 69 J 6 : dossiers alphabétiques des membres titulaires (A-K)
    • 69 J 36 : comité départemental des sites (1905-1927)
    • 69 J 51 : correspondance diverse (1830-1977)
  • Dossiers documentaires sur Dijon
    • 69 J 73 : rues
    • 69 J 74 : édifices religieux
    • 69 J 76 : édifices civils
    • 69 J 77 : généralités