Auteur(s) de la notice : TOLEDE Olivia

Profession ou activité principale

Géomètre, directeur-fondateur du journal d’ameublement Le Garde-meuble ancien et moderne, dessinateur spécialisé dans l’ornement et l’ameublement

Sujets d’étude
Ornement, architecture et ameublement de la Renaissance au XIXe siècle

Carrière
1838 : exécute un plan général de la ville et des faubourgs de Château-Thierry (Aisne)
1839 : fonde la publication Le Garde-meuble ancien et moderne édité jusqu’en 1935
Années 1840 : parution de nombreuses publications : Le Garde-meuble riche, Le Garde-meuble simple, La Connaissance des styles, L’Ameublement utile
1844 : parution d’Album de l’exposition de l’Industrie
1850 : acquiert la propriété dite Maison des Italiens à Versailles
1880-1881 : publie Les Maîtres ornemanistes, dessinateurs, peintres, architectes, sculpteurs et graveurs

Étude critique

De la vie, de la carrière et des aspirations de Jean Désiré Guilmard, nous ne connaissons aujourd’hui presque rien. Aucune information sur son enfance et sur sa formation ne nous est parvenue. On sait juste qu’il est né à Boulogne-sur-Mer le 29 mai 1810 de l’union de Jean Jacques Guilmard, marchand âgé de 34 ans, et de Louise Dorothée Millen. Ce n’est qu’en 1838 qu’on trouve trace de son activité. Une modeste signature, « D. Guilmard », est apposée à cette date sur un plan général de la ville de Château-Thierry et de ses faubourgs, conservé aux archives municipales. Le bottin commercial de 1839 (Annuaire général du commerce, 1839) le révèle géomètre de profession, domicilié à Paris, 23 rue d’Hauteville, dans le cinquième arrondissement. Le voilà donc Parisien d’adoption et jeune ingénieur-géomètre de vingt-neuf ans.

Cette activité n’était probablement pas suffisamment à son goût, car au mois d’août de la même année 1839 paraît l’annonce de la création d’une publication périodique d’ameublement, Le Garde-meuble ancien et moderne, éditée par Guilmard à son adresse rue d’Hauteville (Bibliographie de la France, Paris, Pillet, 24 août 1839). Le Garde-meuble propose six livraisons annuelles de neuf planches lithographiées divisées en trois catégories : sièges, meubles et tentures de différents styles (Renaissance, Louis XIV, Louis XV, Louis XVI…) offrant parfois des vues de chambres et des aménagements intérieurs. Le périodique paraît tous les deux mois jusqu’en 1935, bien après le décès de Guilmard, que l’on situe à Paris vers 1885. Faisant référence au Garde-meuble royal qui fut réorganisé au XVIIe siècle, la publication a pour ambition d’aborder l’ameublement à la fois ancien et moderne. Guilmard est-il familier des travaux des menuisiers et des ébénistes ? A-t-il été formé dans ce domaine ? Toujours est-il qu’il dessine avec une grande précision une cinquantaine de planches par an, lithographiées par des artistes divers et destinées aux artisans, aux menuisiers, aux ébénistes et aux amateurs. Les premières lithographies du Garde-meuble ne nous sont pas connues ; ce n’est qu’à partir de la septième livraison datée du 5 octobre 1839 qu’elles sont enregistrées au dépôt légal. Les différentes éditions porteront successivement l’adresse de la rue d’Hauteville puis du corps de logis sis à l’angle des rues de Lancry et de Bondy, où Guilmard, désormais recensé comme dessinateur pour fabriques, est locataire du troisième étage (Archives de Paris, D1 P4 609).

Pendant plus de quarante années d’activité, Guilmard dessine plusieurs milliers de planches éditées sous différents titres de publications. Dans la lignée du Garde-meuble ancien et moderne paraissent dans les années 1840 Le Garde-meuble riche, Le Garde-meuble simple, Le Petit Garde-meuble et L’Ameublement et l’utile avec lequel il fusionne par la suite. Le Garde-meuble riche propose une collection de sièges et de tentures dans le style Renaissance, Louis XV, Louis XVI, etc. destinés aux ameublements des palais, châteaux et riches hôtels, dans des épreuves disponibles en noir et blanc ou en couleurs. Le Garde-meuble simple reproduit des sièges et meubles, « ce qui se fait de plus simple dans la fabrication parisienne et spécialement par les nombreux fabricants du faubourg Saint-Antoine ». Quant à la collection « Petits Garde-meuble », il s’agit d’albums de poche (14 cm x l cm) contenant trente-deux planches, « devenus le vade-mecum de tous les ébénistes et tapissiers, à cause de la facilité qu’ils offrent à être portés sur soi » (Le Garde-meuble, 15 janvier 1863). Suit toute une série d’albums et de carnets (dont l’Album du menuisier parisien de 1845 où sont montrés des devantures et escaliers de magasins, portes cochères etc.). Parallèlement paraissent les Albums des expositions de l’Industrie de 1844 et de 1849 et de l’Exposition universelle de 1855. Chaque recueil comprend trente planches grand in-folio, imprimées à deux teintes représentant les plus beaux meubles admis au palais de l’Industrie. Celui de 1844 montre ainsi des sièges, des meubles, des tentures, des décors de lits et de croisées, des passementeries, des tapis, des étoffes, des bois dorés et des décors d’appartement réalisés par les professionnels de l’époque, comme la première planche qui reproduit un lit droit et une armoire à glace de style Renaissance, exposés par Lemarchand, ébéniste du Garde-meuble de la Couronne. L’exemplaire du recueil conservé au département des Estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France porte la dédicace de Guilmard « à la Bibliothèque royale », datée du 28 décembre 1844. Guilmard est l’auteur des dessins lithographiés par A. Cuvillier et Villemin et imprimés chez J. Rigo et Cie.

Il dirigea également la publication de planches dessinées par divers collaborateurs comme La Décoration au XIXe siècle : décor intérieur des habitations composé, dessiné ou exécuté par les principaux artistes-décorateurs de Paris, qui offre, en douze livraisons, quarante-huit planches de grand format, imprimées chez Lemercier, avec des teintes graduées imitant le lavis (1861-1871). Elles représentent des intérieurs et cheminées de salon, des portes de salle à manger, des plafonds, des glaces et des consoles etc. dans les styles Louis XIII, Louis XV, Louis XVI et néo-renaissance, traduisant le goût de l’époque. Les dessinateurs et lithographes principaux sont Alexandre Eugène Prignot et Alexandre Collette, auxquels d’autres artistes viennent prêter main-forte : E. Leblan, H. Sauvestre, C. Waser, A. Sanguineti, P. Mazaroz, Fourdinois, Lienard et E. Coignet, pour les dessins ; Helle et Midart pour les lithographies.

Délaissant quelque peu ses dessins de meubles et de tentures, Guilmard s’intéresse par ailleurs à l’histoire de l’ornement du Moyen Âge au XIXe siècle. Il publie deux ouvrages à ce sujet : La Connaissance des styles de l’ornement et Les Maîtres ornemanistes. Le premier concerne l’évolution des ornements en France depuis le Moyen Âge jusqu’à la Restauration. Paru en livraison à partir de 1846 (planches lithographiées accompagnées par la suite de textes historiques), le recueil connut plusieurs rééditions ainsi qu’une traduction en allemand (1860-1861) et est parfois considéré comme le pendant de L’Ornementation du Moyen Âge ou collection d’ornements et de profils remarquables tirés de l’architecture byzantine et du style germanique de Carl Heideloff (Paris, 1845-1846 ; Nürnberg, 1838-1852). L’exemplaire de 1853 est un grand volume in-4° jésus comprenant cent trente-six pages de texte. Six chapitres résument les grandes phases historiques de l’architecture et des arts industriels français : style roman, byzantin et de transition ; style ogival ; style de la Renaissance et style du règne de Louis XIV ; style du règne de Louis XV ; styles du règne de Louis XVI, de la République, du Consulat, de l’Empire et de la Restauration (avec une description de plus de mille exemples de menuiserie, ébénisterie, serrurerie, tapisserie, poterie, mosaïque, architecture etc.). Le recueil comprend en outre quarante-deux planches reproduisant un grand nombre de motifs d’architecture et d’ornements d’après les monuments (arcades, colonnes, fûts, bases et chapiteaux, corbeaux, modillons, etc.). Guilmard destine son entreprise aux professionnels de l’industrie : « Nous sommes sûrs, écrit-il, de répondre aux besoins de notre époque en publiant, surtout pour l’Industrie, le livre élémentaire qui lui manque et qu’elle réclame incessamment. […] Ce livre renferme tout ce que l’Industrie, en général, a besoin de connaître de l’histoire de l’architecture, de l’ornement et des arts industriels. » Guilmard signe les dessins des planches (à l’exception d’une seule réalisée par E. Sayot) qui sont lithographiées par Alexandre Collette et imprimées chez J. Rigo et Cie, puis Decan. Il est probablement l’auteur de la plupart des textes (celui dévolu au « style roman » est rédigé par Anatole Dauvergne et daté de septembre 1847). Son écriture « a de l’entrain, une verve qui […] plaît, et […] ses dessins ne manquent ni d’effet, ni de précision » (Annales archéologiques, 1852).

C’est avec son second ouvrage, Les Maîtres ornemanistes, que Guilmard laissera une empreinte profonde et durable dans l’histoire de l’art et de l’ornement. Édité en 1880-1881 à la fin de sa vie, ce répertoire des maîtres ornemanistes de la fin du XVe siècle jusqu’au XVIIIe siècle est devenu un manuel de référence faisant partie des usuels de nombreuses bibliothèques patrimoniales. Il recense les plus belles estampes de maîtres ayant pour motifs divers ornements, classées méthodiquement et reproduites. Guilmard en décrit précisément les pièces majeures conservées dans les collections publiques et d’amateurs les plus importantes de France (Bibliothèque nationale de France, bibliothèque de l’Arsenal) et de Belgique. Il adopte une division par écoles : école française, école italienne, école allemande, école des Pays-Bas (flamande et hollandaise) auxquelles il ajoute quelques maîtres anglais, tous classés par ordre chronologique. Un tableau général des motifs d’ornements conclut chaque période historique abordée. Cent quatre-vingts planches sont tirées à part, de nombreuses gravures figurent dans le texte, toutes sont des fac-similés choisis parmi les meilleures compositions des principaux maîtres. Guilmard délaisse ici la lithographie pour adopter le procédé de la photogravure qui a l’intérêt, selon lui « de faire revivre l’œuvre des maîtres avec la plus parfaite vérité », en offrant la reproduction la plus exacte des épreuves originales d’époque. Cet ouvrage offre un intérêt majeur non seulement pour les artistes, mais aussi pour les amateurs et les industries d’art, car si de nombreux manuels d’ornementation ont paru en Europe dès la fin du XVIIIe siècle, aucun n’avait encore pris la gravure comme point de départ. Or, l’ornement, que Claude Perrault définissait comme « toutes les choses qui ne sont point les parties essentielles, mais qui sont ajoutées seulement pour rendre l’ouvrage plus riche et plus beau », est intimement lié à l’histoire de la gravure, dont il accompagne les débuts. « […] Nous nous estimons heureux », écrit Guimard en avant-propos, « si nous avons réussi à combler en partie la lacune qui existait sur ce point, à ouvrir un champ plus vaste à l’étude d’un art dont il est si intéressant de suivre les transformations, et qui s’allie si étroitement à l’architecture et à l’industrie de tous les peuples. »

L’intérêt que Guilmard porte aux techniques de la gravure et de la lithographie n’est pas celui d’un praticien : l’estampe, qui est depuis la Renaissance le vecteur principal de la diffusion des œuvres d’art, connaît au XIXe siècle un profond bouleversement avec l’invention de la lithographie. Guilmard exploite au maximum ce procédé peu coûteux qu’il ne pratiquera jamais personnellement, faisant appel à des artistes lithographes, peu connus aujourd’hui, qui collaborent à plusieurs de ses projets (Cuvillier, Alexandre Collette, E. Helle). Les planches du Garde-meuble et de ses publications connexes sont l’un des exemples majeurs de l’utilisation de la lithographie dans le domaine de l’ameublement. Toutefois, Guilmard ne s’intéresse pas à la valeur strictement artistique des lithographies de ses recueils, il cherche avant tout à diffuser les modèles d’ameublement de son époque avec la plus grande fidélité possible, offrant à l’amateur comme au professionnel un immense catalogue illustré de la production contemporaine. Il n’hésite pas à faire appel à des techniques de reproduction photomécanique encore plus précises, comme dans son Portefeuille photographique de l’ameublement qui comprend déjà deux cents épreuves à la date de 1863 : « La plupart des meubles de cette collection offrent une richesse de détails qui ne pourraient être rendus qu’imparfaitement par la lithographie […] », écrit-il dans la première livraison du Garde-meuble de l’année 1863.

Si ses écrits sont peu nombreux, ses recherches sur l’ornement et sa connaissance des structures, des motifs et des styles du mobilier français sont considérables. Guilmard est un éditeur avisé et un dessinateur industrieux, toutefois peu enclin à l’écriture. C’est le baron Charles Davillier qui se charge de rédiger un court historique de l’ornement en introduction au volume Les Maîtres ornemanistes, tandis que Guilmard s’attelle à la classification et au choix des estampes. En ce dernier quart du XIXe siècle, à la suite de l’industrialisation, l’ornemaniste (terme qui se forge à cette époque), qu’il soit dessinateur, peintre, sculpteur ou ouvrier d’art, n’est plus, comme autrefois, le simple exécutant des motifs décoratifs. C’est lui qui fournit désormais les dessins aux industries. Guilmard peut ainsi être considéré comme un ornemaniste extrêmement fécond. Par ailleurs, si c’est principalement dans son application à l’architecture que l’ornement avait été le plus étudié, Les Maîtres ornemanistes constituent l’une des premières études de l’ornement gravé, au moment où l’intérêt en France se porte davantage sur la décoration intérieure (voir Henri Havard, L’Art dans la maison [Grammaire de l’ameublement] Paris, 1884). Les planches d’ameublement éditées par Guilmard correspondent au goût de l’époque, mais elles illustrent aussi le manque de renouvellement de la création française en matière d’art décoratif, fort diminuée face à la concurrence étrangère de l’Angleterre et l’Allemagne. Guilmard n’a pas exécuté de meubles, mais il a contribué, par le biais de milliers de dessins, à une diffusion extraordinaire du style mobilier français. En témoigne la collection de plus de quatre cents pièces de planches lithographiées issues de ses différents recueils conservée à la Smithonian Institution Library du Cooper-Hewitt National Design Museum de New York, numérisée et mise à disposition de l’amateur sur Internet.

Olivia Tolède, docteur en histoire de l’art

Principales publications

Recueils de planches dessinées et/ou éditées par Guilmard

  • Le Garde-meuble. Journal d’ameublement, (1839-1885) [édition poursuivie jusqu’en 1935 par E. Maincent].
  • Le Garde-meuble riche, Paris, à partir des années 1840.
  • Le Garde-meuble simple, Paris, à partir des années 1840.
  • Collection « Petits Garde-meuble », Paris, à partir des années 1840.
  • Album de l’exposition de l’Industrie de 1844. Introd. d’Anatole Dauvergne. Paris, 1844, 24 p., 30 pl. [lith. A. Cuvillier et Villemin].
  • Album du menuisier parisien : recueil de pièces de menuiseries dans le goût le plus moderne, Paris, 1845-1855, 96 pl.
  • Le Décorateur parisien, Paris, 1847.
  • Album du sculpteur parisien : recueil de sculptures pour meubles dans le goût le plus moderne, Paris, 1847, 30 pl.
  • Galeries de cuivre estampé, Paris, 1847-1851.
  • L’Ameublement et l’utile, Paris, vers 1848.
  • Album de l’exposition de l’Industrie de 1849, Paris, 1849, 30 pl.
  • Le Carnet de l’ébéniste parisien (n° 1), Paris, vers 1850.
  • Le Carnet du fabricant de sièges : collection de sièges simples (n° 2), Paris, vers 1852, 51 f. de pl.
  • Album du tapissier parisien, Paris, vers 1852.
  • Album du tourneur parisien, Paris, 1853.
  • Album de l’Exposition universelle de 1855, Paris, 1855, 30 pl.
  • L’Album pittoresque des jardins, ameublements et décors rustiques, Paris, 1859, 23 pl.
  • Portefeuille photographique de l’ameublement, Paris, à partir des années 1860.
  • Album gothique : recueil de meubles et de sièges, Paris, 1862.
  • Album du fabricant des billards, Paris, 1864.
  • Le Portefeuille pratique de l’ébéniste parisien : élévation, plan, coupes et détails nécessaires à la fabrication des meubles, Paris, 1865, 31 f. de pl. en noir.
  • La Décoration au XIXe siècle : décor intérieur des habitations composé, dessiné ou exécuté par les principaux artistes-décorateurs de Paris [avec des dessins d’Alexandre-Eugène Prignot et des lithographies d’Alexandre Collette], Paris, 1861-1871.
  • L’Album du sculpteur parisien : recueil de sculptures pour meubles, Paris, vers 1878.
  • Étoffes nouvelles pour ameublements (de la Maison Bernier et Cie), Paris, 1878.
  • Les Tapisseries décoratives du Garde-meuble, Paris, 1878-1881.
  • La Menuiserie décorative appliquée à l’intérieur des maisons : styles Renaissance, Louis XIV, Louis XV, Louis XVI et néo-grec [avec des dessins d’Alexandre-Eugène Prignot et Robert et des lithographies de Hellé et de Mulart], Paris, 1885.
  • Album des ornements d’appartements, Paris, [s. d.]
  • Album des bronzes d’art pour pendules et ameublement, Paris, [s. d.].
  • Une collection d’ornements, Paris, [s. d.].
  • La Menuiserie parisienne : recueil de motifs de menuiserie dans le genre moderne, Paris, [s. d.], 30 pl. en coul.
  • Le Carnet n° 3. Vieux bois, [s. d.].
  • Le Menuisier moderne : nouveau recueil de pièces de menuiseries exécutées dans les nouveaux quartiers, avec plans, coupes et détails, [s. d.], Paris, 24 pl.
  • La Tenture illustrée, Paris, [s. d.].
  • La Tenture parisienne, Paris, [s. d.].
  • Recueil de motifs sculptés employés dans la fabrication des meubles, Paris, [s. d.], 23 pl.

Ouvrages et catalogues d’expositions

Bibliographie critique sélective

  • [Anon.]. – « Bibliographie archéologique ». Annales archéologiques, 1852, p. 268-269.
  • Houssaye Henri. « Les Livres d’art ». Revue des deux mondes, novembre-décembre 1880, p. 933.
  • [Anon.]. – « Chronique ». Revue critique d’histoire et de littérature, 1881, t. XI, p. 334.
  • Mercet Suzanne. « Études de topographie de Versailles. La Maison des Italiens au grand Montreuil ». Revue de l’histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, 1926, 3e article, p. 245-258.
  • Adhémar Jean, Lethève Jacques, Gard François. – Inventaire du fonds français après 1800. Paris : Bibliothèque nationale, 1958, t. 10, p. 48-50.
  • Prévost Michel et al. – Dictionnaire de biographie française. Paris : Librairie Letouzey et Ané, 1986, t. XVII, fasc. XVIII, p. 275.
  • Gere Charlotte. – Nineteenth Century Decoration : The Art of Interior. New York : Abrams, 1989, trad. de l’anglais par Jean-François Allain. L’Époque et son style : la décoration intérieure au XIXe siècle. Paris : Flammarion, 1989.
  • Ledoux-Lebard Denise. – Le Mobilier français du XIXe siècle (1795-1889) : dictionnaire des ébénistes et menuisiers. Paris : Les éditions de l’amateur, 2000.
  • Van Allen Schaffner Cynthia. – Désiré Guilmard. Le Garde-meuble ancien et moderne, 1839-1935. Introduction au site de la collection Cooper-Hewitt du National Design Museum, New York, numérisée sur Internet : http://www.sil.si.edu/DigitalCollec….

Sources identifiées

Boulogne-sur-Mer, Archives municipales

  • Registre des naissances

Paris, archives de Paris

  • Cadastre de la Ville de Paris répertoriant le bureau de Guilmard sis 2, rue de Lancry, Paris 5e (D1P4 609 et D1P4 610 pour les années 1852 et 1862)
  • Annuaire général du commerce, judiciaire et administratif de France et des principales villes du monde. Paris : Société des annuaires, 1839. (2 mi 3/2 année 1839 (2 mi 3/28 année 1853 ; 2 mi 3/50 et 2 mi 3/51 année 1865 : domicilié 23, rue Hauteville puis 2, rue de Lancry, Paris 5e, désigné comme géomètre puis dessinateur pour meubles)

Voir aussi

  • Bibliographie de la France ou journal général de l’imprimerie et de la librairie…Paris : Pillet, 24 août 1839, n° 34, réf. n° 4152
  • Image of France
    http://www.lib.uchicago.edu/efts/AR… : 323 références concernant les éditions des ouvrages de Guilmard du 5 octobre 1839 au 13 novembre 1880

En complément : Voir la notice dans AGORHA