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LEBRETON, Joachim
Mis à jour le 23 août 2009
(1760, Saint-Méen-de-Gaël – 1819, Rio de Janeiro)
Auteur(s) de la notice : DIAS Elaine
Profession ou activité principale
Secrétaire perpétuel de la classe des beaux-arts de l’Institut de France
Autres activités
Rédacteur de La Décade philosophique, chef du bureau des beaux-arts du ministère de l’Intérieur, collaborateur de Vivant Denon au musée du Louvre
Sujets d’étude
Institut de France ; Académie des beaux-arts ; Prix de Rome ; art du XIXe siècle ; relations artistiques entre la France et le Brésil
Carrière
1772-1779 : étudiant au collège des Théatins dans l’abbaye Sainte-Anne-la-Royale à Paris
1779-1789 : professeur de rhétorique à Tulle
1788 : publie son premier ouvrage La Logique adaptée à la rhétorique
1794-1807 : rédacteur de La Décade philosophique
1795-1803 : membre de la classe des sciences morales et politiques de l’Institut de France
1796-1802 : chef du bureau des Beaux-Arts du ministère de l’Intérieur
1796-1797 : secrétaire de la classe des sciences morales et politiques à l’Institut de France
1800-1802 : travaille au Tribunat
1802 : collaborateur de Vivant Denon au musée du Louvre
1803 : élu secrétaire perpétuel de la classe des Beaux-Arts de l’Institut de France et membre de la classe d’histoire et littérature ancienne
1803-1815 : occupe la charge de secrétaire perpétuel de la classe des Beaux-Arts de l’Institut
1816 : déchu du poste de secrétaire perpétuel ; part pour le Brésil avec quelques artistes, ayant le but de fonder une école des sciences, arts et métiers à Rio de Janeiro, sous la protection du roi portugais Jean VI
Membre de la classe des sciences politiques de l’Institut de France ; membre de la classe d’histoire et littérature ancienne de l’Institut de France ; Chevalier de la Légion d’honneur (1803)
Étude critique
On connaît Joachim Le Breton à travers le portrait peint par François Gérard en 1803, dont les effets de lumière sur le visage et les bras croisés mettent en évidence la fermeté et la dignité de l’homme de lettres qui sut si bien unir l’art et la politique.
Sa passion pour l’Antiquité et pour la rhétorique commença dans sa jeunesse. Après des études brillamment réussies chez les Théatins, il fut nommé professeur de la chaire de rhétorique d’un de leurs lycées à Tulle. Il y passa dix ans, se consacrant à l’enseignement et à l’étude de l’Antiquité, ainsi qu’à la rédaction de son premier ouvrage, La Logique adaptée à la rhétorique (1788). Alors qu’il recevait les ordres, la Révolution donna une nouvelle direction à la vie du jeune Théatin qui quitta l’habit religieux ; il se rendit à Paris pour embrasser les principes révolutionnaires et participer aux mouvements des sciences et des lettres.
Membre de l’Institut national depuis 1795, il débute en 1796 dans la carrière administrative comme chef du bureau des Beaux-Arts. Jouant toujours le rôle d’intermédiaire entre le gouvernement et les arts, il s’occupe, parmi d’autres, des rapports sur la conservation des objets d’art rapportés par Bonaparte de l’Italie. Il organise en 1798 la célèbre Fête des chefs-d’œuvre au Champs-de-Mars pour recevoir triomphalement les trésors d’art de l’Italie, dont des toiles de Raphaël, les Chevaux de la basilique de Saint-Marc, l’Apollon du Belvédère et le Laocoon. Cet événement d’ampleur national honora Le Breton, qui devient, quelques années plus tard, collaborateur de Vivant Denon au Louvre. Ce n’est pourtant qu’en 1803 que débute sa notable activité d’homme de lettres et d’organisateur des affaires des arts à l’Institut. Élu secrétaire perpétuel de la classe des beaux-arts, il fut responsable, parmi d’autres, de la création du Prix de musique et de gravure des médailles et des pierres fines en 1803.
Il rédigea de nombreuses notices historiques sur les artistes, telles celles sur Pierre Julien, statuaire de l’ancienne Académie royale de peinture et de sculpture (1806), sur le compositeur Joseph Haydn (1810), ainsi qu’un éloge de M. Joseph-Benoist Suvée (1807), l’ancien directeur de l’École impériale de France à Rome : « L’on reconnaissait donc dans M. Suvée les parties de l’art les plus difficiles à apprendre, savoir la science et la correction du dessin, la connaissance profonde de la perspective, trop souvent négligées l’une et l’autre, même par des habiles peintres. » Le Breton rédigea aussi, en 1809, la notice sur l’ancien directeur de l’Académie de France à Rome, le comte Joseph-Marie Vien, dont il fait de ce dernier le chef de file de l’école néo-classique française, compte tenu de son excellence dans les études d’après nature et d’après les grands maîtres, ainsi que dans la noble exécution du dessin : « Il préférait en général la simplicité aux conceptions hardies, les expressions douces aux mouvements violents de l’âme ; […] son dessin avait plus de grâce que de science et d’énergie, sa couleur était plus agréable que riche. » En 1807, Napoléon lui commande le Rapport sur l’état des beaux-arts en France, qu’il ne finira qu’en 1814. On y trouve des considérations sur les talents des vingt dernières années dans le domaine des beaux-arts, avec des exhortations au perfectionnement des arts par l’étude de la nature, du sentiment du beau et de l’Antiquité. Son ouvrage porte aussi des jugements sévères sur ce que Le Breton croit être la décadence artistique du règne de Louis XV, à cause des pinceaux de François Boucher, toujours « aidés par l’illusion de la couleur », à cause de la sculpture « désespérée » et de l’architecture, pleine « d’ornements ridicules ». Joseph Marie Vien y est encore mis à l’honneur comme l’artiste qui restaura l’école française, soit parce qu’il réconcilia le principe du dessin avec celui de l’observation de la nature, soit parce qu’il fut le maître par excellence de Jacques Louis David et de toute une génération d’artistes remarquables au XIXe siècle, tels Antoine Gros et François Gérard.
On connaît par ailleurs les idées de Le Breton grâce aux discours prononcés au cours des séances publiques annuelles de l’Institut. Il y fait l’éloge de l’émulation entre les artistes et rend compte des progrès du Dictionnaire des beaux-arts rédigé par les membres de l’Institut depuis 1803. Dans les Notices des travaux de la classe des beaux-arts rédigées et prononcés par Le Breton, les études, réalisées par les pensionnaires de l’École française de Rome d’après les grands maîtres, sont considérées comme fondamentales pour la formation artistique, qui doit s’orienter vers la célébration nationale. On connaît également l’importance des études sur l’Antiquité classique à travers ses comptes rendus d’ouvrages publiés en Europe, comme la Storia Della Scultura. Dal Suo Risorgimento in Italia sino al Secolo dei Napoleone… écrite par le comte Leopoldo Cicognara : « Profond connaisseur et habile écrivain, il a entrepris de renouer l´histoire de la sculpture moderne aux dernières notions de la sculpture antique ; […] il croit […] qu’il faut imiter les Grecs dans leur costume, non parce qu’il est grec, mais parce qu’il est naturel ; parce que l’imitation, grâce aux modèles de la Grèce, étant devenue une sorte de langage poétique universel. » Célèbre et polémique, son discours prononcé à la séance publique de 1815 offre le récit circonstancié du rapatriement des œuvres d’art saisies pendant la guerre. Il résume ses disputes avec le duc de Wellington après la publication par ce dernier d’une diatribe contre la politique de la France à l’égard des objets d’art. Administrateur du musée depuis 1796, Le Breton s’en prit à ses adversaires avec passion : « […] Ce ne sont pas des Français qui ont arraché par lambeaux les sculptures de Phidias des monuments d’Athènes et mis en ruine les portiques des temples violés. »
La violence avec laquelle il participe à cette querelle, la chute de Napoléon et le début de la période de la Restauration sont certainement les causes politiques de son éloignement de l’Institut en 1816. Il s’expatrie au Brésil après avoir des rapports officiels avec l’ambassadeur du Portugal à Paris, le marquis de Marialva et le chevalier de Brito, pour fonder à Rio de Janeiro une école des sciences, arts et métiers, sous la protection du roi Jean VI. Les lettres qu’il envoya au ministre portugais des Affaires étrangères au Brésil, le comte de la Barca (1816), contiennent le plan d’organisation de l’école. Très détaillé au niveau de la méthodologie d’enseignement des arts et métiers, ce plan montre surtout que Le Breton tenait à la récupération des modèles académiques français, c’est-à-dire, le cours de dessin, la copie d’après des œuvres de l’Antiquité et des maîtres italiens, ainsi que l’étude de la nature et du modèle vivant. Il arriva à Rio de Janeiro en 1816, à la tête du projet de fondation de cette école, accompagné par quelques artistes, dont Nicolas-Antoine Taunay. Voyant son projet échouer, en proie aux intrigues politiques de la cour portugaise qui venait de s’installer en Amérique du Sud et qui l’accuse d’y apporter des idées révolutionnaires, Le Breton meurt à Rio de Janeiro en 1819. Il lègue à sa mort une collection de tableaux de diverses écoles artistiques européennes à laquelle il assignait une valeur didactique. Ces tableaux intégreront la collection de peinture de l’Académie des beaux-arts inaugurée en 1826 et s’avèrent fondamentaux pour la formation des élèves. Ils sont aujourd’hui conservés au musée national des Beaux-Arts à Rio de Janeiro.
Elaine Dias, historienne de l’art
Principales publications
Ouvrages et catalogues d’expositions
- La Logique adaptée à la rhétorique. Paris : J.-L. Pichard, 1788.
- Accord des vrais principes de l’Église, de la morale et de la raison sur la constitution civile du clergé de France, par les évêques des départemens, membres de l’Assemblée nationale constituante. Lettre des évêques constitutionnels, membres de l’Assemblée constituante, au pape, en lui envoyant l’ouvrage fait pour la défense de la constitution civile du clergé. Attribué a Lebreton. Digne : impr. de J. Guichard, 1792.
- Tribunat. Rapport fait par Joachim Lebreton, au nom de la commission chargée d’examiner les pétitions de plusieurs citoyens de la commune de Conflans-Sainte-Honorine, troisième arrondissement… de Seine-et-Oise. Séance du 16 brumaire an X. Paris : impr. nationale, an X.
- Tribunat. Rapport fait par Joachim Lebreton, au nom d’une commission… sur un projet de loi tendant à autoriser la commune de Nay, département des Basses-Pyrénées, à vendre au citoyen Terrebest un terrain communal. Séance du 11 nivôse an X. Paris : impr. nationale, an X.
- Tribunat. Rapport fait par Joachim Lebreton sur un projet de loi tendant à autoriser la commune de Gerbevillers, département de la Meurthe, à céder à rente un terrain au citoyen Rochefort. Séance du 7 nivôse an X. Paris : impr. nationale, an X.
- Tribunat. Rapport fait par Joachim Lebreton sur un projet de loi tendant à autoriser la commune de Vannecourt, département de la Meurthe, à céder à rente un terrain au citoyen Cimermann. Séance du 11 nivôse an X. Paris : impr. nationale, an X.
- Rapport fait au tribunal au nom de la section des finances, sur le projet de loi relatif aux monnaies. Séance du 2 germinal an XI. Paris : Imprimerie nationale, an XI, 1803.
- Articolo estratto dal discorso di M. Gioacchino Le Breton,… pronunziato il dì 7 vendemiale dell’anno XIII (29 settembre 1804), nell’adunanza pubblica dell’Istituto, e seguito dalla distribuzione de gran premi. Traduit par Ennio Quirino Visconti. Paris : Presso Baudouin, an XIII, 1804.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de Pierre Julien… Paris : impr. de Baudoin, an XIV, 1806.
- Éloge historique de M. Suvée, directeur de l’École impériale de France à Rome, correspondant de l’Institut national. 1807.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. le comte Ottone Calderari, de Vicenze, architecte, membre associé de la Classe des beaux-arts de l’Institut de France, de l’Académie olympique de Vicenze, de l’Académie des beaux-arts à Parme, de l’Institut de Bologne[…]Séance du 1er octobre 1808. Paris : Institut de France, s. d.
- Présentation à Sa Majesté l’Empereur et roi, en son Conseil d’État, du rapport historique sur l’État et les progrès des beaux-arts en France. Paris : impr. de Baudoin, 1808.
- Rapport sur les beaux-arts. Paris : Institut de France, 1808.
- Rapports à l’Empereur sur les progrès des sciences, des lettres et des arts depuis 1789. Paris : Institut de France, 1808.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Vien, ancien directeur de l’Académie de France à Rome, ancien premier peintre du roi et chevalier de son ordre, membre de l’Institut de France, du Sénat conservateur, et comte de l’Empire. Séance publique du 7 octobre 1809.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de Joseph Haydn. Séance publique de l’Institut de France du 6 octobre 1810. Paris, 1810.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Pajou. Paris, 1810.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Chaudet, membre de l’Institut impérial de France et de la Légion d’honneur, professeur aux Écoles de peinture et de sculpture. Séance du 5 octobre 1811. Paris : Institut de France, s. d.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Moitte, membre de l’Institut Impérial de France. Paris : impr. Firmin Didot, 1812.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Raymond. Paris, 1813.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages d’André-Ernest Grétry, membre de l’Institut. Paris, 1814.
- Notícia Histórica da Vida e das Obras de José Haydn. Rio de Janeiro : Impressão Régia, 1820.
- Rapports à l’Empereur sur les progrès des sciences, des lettres et des arts depuis 1789. V. Beaux-Arts. Paris : Belin, 1989.
- Notícia Histórica da Vida e das Obras de José Haydn. Sao Paulo : Ateliê Editorial, 2004.
- Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Guglielmi, associé étranger, maître de chapelle de Saint-Pierre de Rome, et de M. Rambert Dumarest, membre de l’Institut. Paris : Institut de France, s. d.
- Notice des travaux de la classe des beaux-arts. [1806-1807 ; 1808-1809 ; 1810 ; 1811 ; 1812 ; 1814 ; 1815] Paris : Institut de France, s. d.
- Notice des travaux de la classe des beaux-arts de l’Institut, pendant l’an XIII, lue dans la séance publique du 6 vendémiaire an XIV, par Joachim Le Breton. S. l. n. d.
- Notice des travaux de la classe des beaux-arts de l’Institut national pendant l’an XII, lue à la séance publique du 7 vendémiaire an XIII. Paris : impr. de Vve Panckoucke, s. d.
- Notice sur la vie et les travaux de C. Antoine, architecte… lue dans la séance publique de l’Institut, du 8 vendémiaire an 12, par Joachim Le Breton. S. l. n. d.
Articles
Auteurs de plusieurs articles parus dans la Décade philosophique.
- « Notice sur Mme. Guiard ». Magasin Encyclopédique,1803, t. I, p. 405-406.
- « Notice des travaux de la classe des beaux-arts de l’Institut national pendant l’an XI, par Joachim Le Breton,… lue dans la séance publique de l’Institut du 8 vendémiaire an XII ». Décade philosophique, 20 vendémiaire an XII. S. l .n. d.
- « Notice sur Mme Vincent, née Labille, peintre ». Nouvelles des Arts, an IX, vol. 2, n° 18, p. 6.
Bibliographie critique sélective
- Huzard Eugène. – Notes sur Le Breton. Mémoires de l’Institut national des sciences et des arts. Supplément. Pièces détachées, publiées séparément par l’Institut ou par ses membres. Paris, t. LXXV, bibliothèque de J.-B. Huzard, n° 107, 1830.
- Jouin Henry. – Joachim Le Breton, premier secrétaire perpétuel de l’Académie des beaux-arts. Paris, aux bureaux de l’artiste, 1892.
- Roujon Henry. – La Disgrâce d’un patriote, Joachim Lebreton. Secrétaire perpétuel de l’Académie des beaux-arts, Société des conférences, supplément aux lectures pour tous du 15 février 1914. Paris, 1914.
- Catalogue de l’exposition de la mission artistique française de 1816. Rio de Janeiro : musée national des Beaux-Arts, 1940.
- Real Regina. – Missão Artística 1816 : Quadros trazidos por Lebreton. Rio de Janeiro : musée national des Beaux-Arts, 1948.
- Kitchin Joanna. – Un journal philosophique : « La Décade » (1794-1807).Paris : M. J. Minard / Lettres modernes, 1965.
- Barata Mário. – « Le Breton et l’Organisation d’une double école des beaux-arts et des arts et métiers au Brésil en 1816. À propos de la mission artistique française de 1816 » : actes du XIXe, congrès international d’histoire de l’art. Paris : Unesco, 1959, p.293-307.
- Barata Mário. – « Manuscrito Inédito de Lebreton. Sobre o Estabelecimento de Dupla Escola de Artes n° Rio de Janeiro, em 1816 ». Revista do Patrimônio Histórico e Artístico Nacional. Rio de Janeiro, n° 14, 1959.
- Goudail Agnès et Giraudon Catherine. – Procès-verbaux de l’Académie des beaux-arts. 1811-1815. Paris : Honoré Champion, 2001.
- Dias Elaine. – « Joachim Lebreton e a estruturação do ensino artístico no Institut de France : 1803-1815 ». Anais do XXIII Colóquio do Comitê Brasileiro de História da Arte. Rio de Janeiro : CBHA/UERJ, UFRJ, 2004, p.179-186.
- Dias Elaine. – « Les artistes français au Brésil au XIXe siecle : l’Académie des Beaux-Arts et la formation de la collection nationale de peinture de Rio de Janeiro ».In :Roberta Panzanelli, Monica Preti-Hamard, La Circulation des Œuvres d’Art. The Circulation of Works of Art in the Revolutionary Era 1789-1848. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2007, p. 267-281.
Sources identifiées
Lisbonne, archives de la Tour du Tombo
- Correspondances du chevalier Francisco Maria de Brito (Paris) avec le prince Jean VI (Brésil). Lettres de Joachim Le Breton inclus dans la documentation. (Documents 17, 18, 19, 20, 21 et 22 de l’année 1815)
Paris, archives de l’Institut de France
- Notes des séances réalisées à l’Institut relatives aux Grand Prix ; notices des travaux des élèves à Paris et à Rome ; correspondances diverses avec le ministre de l’Intérieur et le directeur de l’École de Rome ; correspondances avec les associés étrangers de l’Institut ; petits rapports sur le publication des ouvrages ; notes diverses (boîte archives de l’Académie des beaux-arts 5 E 1 à 5 E 7)
Paris, bibliothèque de l’Institut de France
- Notices historiques, discours, biographies ; ouvrage commandé par l’Empereur en 1808
Paris, Archives nationales
- Document relatif au titre de chevalier de l’ordre de la Légion d’honneur (L2788113) ; documents relatifs à l’Académie des beaux-arts
Paris, musée du Louvre, département des peintures
- Notes sur le tableau de Joachim Le Breton fait par François Gérard (dossier François Gérard) ; publications sur la mission artistique française (dossier Brésil Germain Bazin : Rio de Janeiro)
Paris, Bibliothèque nationale de France
- Notices historiques sur les plus diverses artistes ; l’ouvrage La Logique adaptée à la rhétorique, par le P. Le Br. [Le Breton], clerc-régulier théatin [texte imprimé]. Paris : J.-L. Pichard, 1788 ; tableau de la loge Le Grand Sphinx avec le nom de Le Breton (dép. Mss Fm2/81)
Rio de Janeiro, archives du Palais Itamaraty
- Deux lettres envoyées au comte de la Barca à Rio de Janeiro en 1816 sur le sujet de la création de l’École des beaux-arts, sciences et métiers (département de communication et documentation, DCD ; centre de documentation, CDO ; documents de l’enseignement, 1816-1900 ; boîte 1816 314/3/9)
Rio de Janeiro, Archives nationales
- Notes biographiques sur Joachim Le Breton et documents sur l’Académie des beaux-arts brésilienne (fonds Escragnolle Dória (AP18), série « Archives de la France »)
Rio de Janeiro, musée national des Beaux-Arts
- Liste de tableaux apportés par Le Breton au Brésil (annuaire n° 7 de 1945)
En complément : Voir la notice dans AGORHA