Anonyme, Médaillon : portrait d'Albert Lenoir, XIXe siècle, Paris, musée national du Moyen Âge - Thermes de Cluny, © RMN / Franck Raux. Médaillon en bronze.

Auteur(s) de la notice :

MARTIN Annabelle

Profession ou activité principale

Architecte

Autres activités
Historien, archéologue, écrivain, voyageur et peintre

Sujets d’étude
Architecture gréco-romaine, étrusque, paléochrétienne, byzantine et médiévale

Carrière
Fils d’Alexandre Lenoir et de Marie-Adélaïde Binart
1819 : entre dans l’atelier de l’architecte François Debret après des études au collège Henri IV
19 novembre 1820 : entre à l’École des beaux-arts et le 25 novembre 1823, est admis en première classe
1824 : voyage dans le Midi de la France avec Charles Téxier et Adolphe Bériot
De 1830 à 1833 : voyage avec Alexis Cendrier en Italie
1833 : présente au Salon son Projet d’un musée historique formé par la réunion du Palais des Thermes et de l’Hôtel de Cluny
1835 : nommé membre du Comité des arts et monuments historiques créé par François Guizot : chargé de diriger la publication de la Statistique monumentale de Paris
1836 : voyage en Orient pour étudier l’art byzantin
1837 : nommé professeur d’architecture byzantine à la bibliothèque Impériale où il assura un « cours complet d’archéologie chrétienne » en tandem avec Adolphe-Napoléon Didron
20 novembre 1838 : nommé architecte du palais des Thermes par le comte de Rambuteau, préfet de la Seine
1840 : nommé, avec Jean-Baptiste-Antoine Lassus, inspecteur des travaux du Palais de justice
17 mars 1844 : inauguration du musée de Cluny
1845 : nommé chevalier de la Légion d’honneur
1853 : établie les plans du tombeau d’Auguste Bottée de Toulmon, construit au cimetière du Père-Lachaise
1855 : présente à l’Exposition universelle un tableau de la Sainte-Chapelle du XIIIe siècle, peint avec Jules Laure, et quatre dessins de l’Hôtel de Cluny
1856 : nommé suppléant d’Hippolyte Lebas pour le cours d’histoire de l’architecture à l’École des beaux-arts
1862 : nommé secrétaire perpétuel de l’École
1867 : publication de la Statistique monumentale de Paris. Explication des planches
1869 : nommé membre du jury au Salon pour la section architecture, titulaire de la chaire d’histoire de l’architecture à l’École des beaux-arts, et est appelé à siéger à l’Institut
1872 : promu officier de l’ordre de la Légion d’honneur
1884 : élu premier président de la Société des amis des monuments parisiens créée la même année
Meurt le 17 février 1891 à l’École des beaux-arts ; est enterré le 20 février au cimetière Montparnasse à Paris

Distinctions et sociétés
Membre de l’Istituto di Corrispondenza Archeologica, fondé à Rome par Eduard Gerhard en 1829 ; membre du Comité des arts et monuments historiques créé par François Guizot (1835) ; membre de la Société d’archéologie (1835-1861) ; fondateur et membre de la Société centrale des architectes français (1840) ; membre de la Société des architectes français ; membre de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France ; membre de l’Institut (1869)

Étude critique

Fils d’Alexandre Lenoir, Albert-Alexandre Lenoir est pour ainsi dire né au sein du musée des Monuments français, conçu et dirigé par son père entre 1793 et 1816. Il y est élevé et il y reçoit sa formation d’architecte. En effet, après des études au collège Henri IV, il intègre en 1820 l’École des beaux-arts installée depuis 1816 au sein du dépôt des Petits-Augustins, reconverti par François Debret, son professeur, et vidé de ses collections alors dispersées. Plus tard, il y enseigne en qualité de suppléant d’Hyppolite Lebas à partir de 1856 puis comme titulaire de la chaire d’histoire de l’architecture en 1869. Dès 1862, il est nommé secrétaire perpétuel de l’École. Enfin sa dépouille sera exposée dans la cour du 14, rue Bonaparte en février 1891. Ainsi la formation et la carrière d’Albert Lenoir sont intrinsèquement liées à l’histoire de cette institution, marquée de l’empreinte de son père. Avant même de commencer ses études, il a en effet reçu, au quotidien, un enseignement paternel dans lequel le « monument » constitue un témoignage fondamental de l’histoire nationale. Ce précepte a façonné durablement sa personnalité et se retrouve, tel un fil conducteur, dans tous ses travaux.

Après plusieurs échecs au Grand Prix, Lenoir décide tout de même de partir pour Rome en 1830 avec l’architecte Alexis Cendrier. Inspirés des théories des saint-simoniens, ils cherchent tous deux à comprendre les rapports entre l’histoire, tant dans ses aspects politiques que sociaux, et les formes architecturales. À Rome, il retrouve Félix Duban, issu également de l’atelier Debret, Henri Labrouste, Louis Duc et Léon Vaudoyer, qui composent selon leur propre expression la « génération romantique ». Pendant trois années, Lenoir parcourt l’Italie (Rome, Florence, Sienne, Pérouse, Naples et Palerme) et la Sicile (Messine). S’il étudie tout particulièrement l’Antiquité gréco-romaine, il s’intéresse également à l’architecture étrusque et aux basiliques paléochrétiennes. Il devient un membre actif du nouvel Istituto di Corrispondenza Archeologica, fondé à Rome par Eduard Gerhard en 1829, et publie dès 1831 dans son journal (Mémoires et dessins relatifs aux édifices grecs découverts en 1830 à Solunte).

Ce goût du voyage, amorcé dès 1824 dans le Midi de la France, ne le quitte pas. En 1836, sans doute missionné par l’État, il part en Orient pour étudier l’art byzantin. Il séjourne alors à Athènes et visite Constantinople, les Cyclades, la mer Adriatique ainsi que Venise et la Suisse. Sur le terrain, il confronte ainsi ses hypothèses développées notamment dans son Histoire de l’architecture chrétienne depuis le règne de Constantin jusqu’au XIIIe siècle (manuscrit couronné en 1834 par l’Académie des inscriptions et belles-lettres) dans laquelle il démontre les mécanismes de l’émergence du style gothique par la fusion de deux styles : le style latin et le style grec ou byzantin. Cette problématique de l’interaction entre l’architecture byzantine et l’architecture romaine nourrie encore d’autres publications, soit sous la forme d’articles, dans la Revue générale de l’architecture ou les Annales archéologiques, mais aussi d’ouvrages (Architecture monastique et Instructions à l’usage des voyageurs en Orient, tous deux parus en 1856). Des dessins et des paysages aquarellés encore conservés témoignent également des nombreux déplacements qu’entreprend Lenoir, en tant que membre du Comité des arts et monuments, sur le territoire français afin d’inventorier, à partir de 1835, les richesses nationales.

Lenoir expose, dès son retour d’Italie, en 1833, au Salon de Paris son « Projet d’un musée historique formé par la réunion du Palais des Thermes et de l’Hôtel de Cluny ». Son travail, accompagné d’un mémoire et couronné par l’Académie, résume les méthodes et les résultats de ses recherches sur l’émergence des styles et confronte ceux-ci à l’héritage intellectuel transmis par son père. Tandis que le musée des Monuments français divisait l’histoire de l’art français en périodes distinctes et juxtaposées, le nouveau musée présente, dans les différentes salles de l’édifice gallo-romain et de l’hôtel du XVe siècle, des œuvres selon un ordre chronologique insistant, avec force, sur la continuité de l’évolution de l’art à travers les siècles. Salué et encouragé par l’inspecteur général des Monuments historiques Ludovic Vitet, le projet est un succès et dès 1838 Lenoir est chargé par le préfet Rambuteau des travaux de conservation des Thermes acquises par la Ville. Le 29 août 1843, il est nommé architecte d’un vaste ensemble réunissant les deux édifices ainsi que la collection d’objets médiévaux rassemblée dès 1832 par Alexandre Du Sommerard.

Dix ans après la présentation de son projet et après quelques mois de travaux, 12 000 visiteurs se pressent à l’inauguration du musée le 17 mars 1844. Durant toute sa carrière et jusqu’en 1884, année de son départ à la retraite, Lenoir travaille à l’aménagement, la conservation et la restauration de ce lieu. Ses idées et ses réflexions, sensibles dans ses choix muséographiques, reflètent encore les idéaux saint-simoniens, défendus notamment par Pierre Leroux, et posent de nouveaux jalons pour l’étude et la compréhension évolutionniste de l’art et de l’architecture. En effet, refusant la notion de décadence, Lenoir propose une nouvelle lecture des formes, considérant les besoins et les programmes politiques, sociaux et liturgiques. Dans un souci de vulgarisation, il expose ses idées, appliquées à des périodes plus récentes, dans une série d’articles coécrits avec Léon Vaudoyer et publiés dans Le Magasin pittoresque entre 1839 et 1852.

En 1835, Lenoir propose au Comité des arts et monuments, le projet d’une publication consacrée à Paris. La Statistique monumentale de Paris, publiée en livraisons entre 1840 et 1867, illustre pleinement son approche de l’histoire des styles, selon la continuité chronologique des formes architecturales. Conçu comme un inventaire scientifique, l’ouvrage est également une interprétation historique du paysage parisien, architectural et urbain, alors en chantier. Lenoir s’entoure de plus d’une trentaine de collaborateurs, spécialistes de la capitale, chargés de lui fournir des plans et des dessins d’une série de monuments, civils ou religieux. Ainsi, Viollet-le-Duc, Jean-Baptiste Lassus, Théodore Vacquer ou encore Adolphe Berty, qui travaille non sans difficulté à partir de 1849 au Plan archéologique du vieux Paris complétant la publication, collaborent et apportent leur aide précieuse à la constitution de la documentation nécessaire à ce projet. Toutes les périodes sont représentées, mais les édifices du Moyen Âge sont les plus nombreux. Le plan final de l’ouvrage témoigne, par ailleurs, des événements et des découvertes archéologiques qui ont ponctué, pendant trente ans, l’aménagement de Paris, d’abord sous la direction de Rambuteau puis d’Haussmann. Plusieurs plans donnent ainsi à voir le parvis de Notre-Dame, fouillé en 1847, et les édifices retrouvés, différenciés par des couleurs, témoignant de l’engouement pour la représentation stratigraphique, mais aussi pour les études topographiques du vieux Paris. Si Lenoir renonce à inclure la Sainte-Chapelle, faisant l’objet de restaurations et d’une étude monographique, il présente en revanche les vestiges de l’Hôtel d’Harcourt, découverts lors de l’élargissement de la rue Du-Sommerard et finalement entièrement détruits en 1852. La méthode de Lenoir, basée sur la confrontation des documents et des vestiges, permet véritablement de restituer l’histoire des édifices parisiens disparus, d’écrire celle de ses habitants et de faire sienne la formule d’Hippolyte Fortoul : « l’architecture est la véritable écriture des peuples » (Traité de l’art en Allemagne, 1841-1842).

Annabelle Martin, historienne de l’art

Principales publications

Ouvrages et catalogues d’expositions

  • Projet d’un musée historique formé par la réunion du Palais des Thermes et de l’Hôtel de Cluny, exposé aux salles du Louvre sous le n° 1546. Paris : imprimerie de P. Renouard, 1833.
  • Histoire de l’architecture chrétienne depuis le règne de Constantin jusqu’au XIIIe siècle inclusivement, 1834, manuscrit couronné par l’Académie des inscriptions et belles-lettres.
  • Architecture du Moyen Âge. Constructions religieuses du XIe au XVIe siècle. Style roman et style gothique. Collab. d’Auguste Le Prévost. Paris, 1843 (« Collection de documents inédits sur l’histoire de la France »).
  • « Architecture militaire au Moyen Âge ». In Mérimée Prosper, Instructions du Comité historique des arts et monuments. Paris : imprimerie royale, 1843 (« Collection de documents inédits sur l’histoire de France »).
  • Le Dôme des Invalides et le Tombeau de Napoléon Ier. Paris : A. Pigoreau, n. d. (c. 1850).
  • Bonnefons Georges. – Les Hôtels historiques de Paris, histoire, architecture, par Georges Bonnefons. Précédés de quelques réflexions sur l’architecture privée par M. Albert Lenoir. Paris : Victor Lecou, 1852.
  • Architecture monastique. Paris : imprimerie nationale, 1852-1856, 2 vol. (« Collection de documents inédits sur l’histoire de France »).
  • Le Tombeau de Napoléon Ier aux Invalides. Notice ornée de 43 gravures sur bois. Paris : Martinon, 1855.
  • Institution des palais de famille, solution de ce grand problème : le confortable de la vie à bon marché pour tous. Collab. de Victor Calland. 2e éd. Paris : impr. de N. Chaix, 1855.
  • Instructions à l’usage des voyageurs en Orient, publiées sous les auspices du Comité de la langue, de l’histoire et des arts de la France. Monuments de l’ère chrétienne. Paris : imprimerie impériale, 1856.
  • Suppression des loyers par l’élévation de tous les locataires au droit de propriété [signé : Victor Calland, Albert Lenoir et Louis de Noiron]. Paris : Ledoyen, 1857.
  • Suppression des loyers et organisation du bien-être [signé : Victor Calland, Albert Lenoir et Louis de Noiron]. Paris : tous les libraires, 1858.
  • Documents relatifs aux travaux du Palais de Justice et à la reconstruction de la préfecture de police, impression votée par le conseil municipal, dans sa séance du 1er février 1856, par le conseil général, dan sa séance du 5 octobre 1857, planches et légendes. Paris, 1858.
  • Introduction de l’art dans l’industrie. Étoffes de Versailles pour les ameublements. Système de M. Despréaux. Versailles : imprimerie de Cerf, 1864.
  • Statistique monumentale de Paris. Paris : imprimerie impériale, 1867 (« Collection de documents inédits sur l’histoire de France »).
  • Le Musée des Thermes et de l’Hôtel de Cluny. Documents sur la création d’un musée d’antiquités nationales suivant le projet exposé au Louvre en 1833 sous le n° 1546. Paris : G. Chamerot, 1882.

Articles

  • « Mémoires et dessins relatifs aux édifices grecs découverts en 1830 à Solunte, Ville antique, située sur la cote septentrionale de la Sicile ». Annali dell’Istituto di Correspondenza Archeologica, 1831.
  • « Monuments sépulcraux de l’Étrurie moyenne (Monum. De l’Instit. Pl. XL et XLI) ». Annali dell’Istituto di Correspondenza Archeologica, 3e cahier, 1832, vol. 4, p. 254-279.
  • « Tombeaux de Norchia (Monum. De l’Instit. Pl. XLVIII) ». Annali dell’Istituto di Correspondenza Archeologica, Troisième cahier, 1832, vol. 4, p. 289-295.
  • « Temple de la Victoire Aptère à Athènes ». Nouvelles Annales publiées par la Section française de l’Institut archéologique, t. I, Paris, 1836.
  • « Études d’architecture en France ». Magasin pittoresque, collab. de Vaudoyer Léon. Paris : imprimerie Lachevardière, 1839-1852.
  • « De l’architecture byzantine ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. I, janvier-février 1840.
  • « Architecture chrétienne de l’Occident, style latin ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, 1re partie, t. I, col. 257-236, 2e partie, t. I, col. 321-327, 3e partie, col.449-456, 4e partie, col. 585-590, mai-juin-août-octobre 1840.
  • « Aqueduc romain d’Arcueil ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. IV, 1842-1843.
  • « Découvertes archéologiques dans Paris ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. VII, 1847, col. 415-416.
  • « Influence de l’architecture byzantine dans toute la chrétienté ». Annales archéologiques, vol. 12, 1852, mai-juin, p.177-185 ; dessin IV, « Plans des Monuments byzantins de l’église grecque et de l’église latine, par M. A. Lenoir », p. 178, juillet-août, p. 209-218 ; dessin I « Plans, Façades, Élévations, Coupes et Chapiteaux d’architecture byzantine par M. A. Lenoir », p. 209.
  • « Du tombeau de M. Bottée de Toulmon ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. XI, n° 5, 6. Paris, 1852, col. 164-166, pl. 16 et 17.
  • « Rapport de M. Albert Lenoir sur les découvertes produites par les récents travaux de construction et les percements des rues nouvelles exécutés dans Paris ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. XI, n° 11, Paris, 1857, col. 420-426.
  • « Théorie des villes. Comment les villes se sont formées ». Collab. de P. Landry. Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. XII, 1854, col. 292-298.
  • « Rapport fait à la section d’archéologie du Comité de la langue, de l’histoire et des arts de la France, au ministère de l’Instruction publique ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. XV, n° 4, 5, 1857, col. 151-156.
  • « Les Cheminées de l’Hôtel de Cluny ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. XV, n°11, 12 et 13, 1857, col. 341-342.
  • « MM. E. Guillaume et A. Lenoir sollicitent les élèves anciens et nouveaux de l’École des beaux-arts de former une association ayant pour but de faciliter à leurs jeunes camarades sans fortune l’engagement militaire d’un an ». Revue générale de l’architecture et des travaux publics, t. XXX, 1872-1873, col. 93-94.
  • « Rapport en vue de la conservation indéfinie des sépultures parisiennes ». Bulletin de la Société des amis des monuments parisiens, t. II, 1888, p. 53-55.
  • « De la conservation des sépultures dans les cimetières ». Bulletin de la Société des amis des monuments parisiens, t. II, 1888, p. 88-93.

Bibliographie critique sélective

  • Géraud Hercule-Joseph-Pierre-François. – Paris sous Philippe le Bel. Paris : imprimerie de Crapelet, 1837 (« Collection de documents inédits sur l’histoire de France »).
  • Lacaine V. et Laurent H. Charles, éd. – Biographies et Nécrologies des hommes marquants du XIXe siècle. Paris, 1844-1866, t. II.
  • Gailhabaud Jules. – Monuments anciens et modernes. Paris : Firmin-Didot frères, 1850, 4 vol.
  • Hoefer Ferdinand, dir. – Nouvelle Biographie générale : depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours, avec les renseignements bibliographiques et l’indication des sources à consulter. Paris : Firmin-Didot frères, 1852-1866, t. 29-30, LAL-LET, p. 675.
  • Hoffbauer Fedor. – Paris à travers les âges. Paris, 1861.
  • Dantès Alfred. – Dictionnaire biographique et bibliographique, alphabétique et méthodique des hommes les plus remarquables dans les lettres, les sciences et les arts, chez tous les peuples, à toutes les époques. Paris : A. Boyer, 1875, p. 598.
  • Bellier de la Chavignerie Émile et Auvray Louis. – Dictionnaire général des artistes de l’École française depuis l’origine des arts du dessin jusqu’à nos jours : architectes, peintres, sculpteurs, graveurs et lithographes. Paris : Vve J. Renouard, 1882-1885, p. 437-439.
  • Glaeser Ernest. – Biographie nationale des contemporains, rédigée par une Société des gens de lettres. Paris : Glaeser et Cie, 1878.
  • Duplessis Georges. – « Notice sur Albert Lenoir ». Bulletin des Amis des monuments parisiens, t. V, 1891, p. 80-91.
  • « Notice sur Albert Lenoir ». Compte rendu du Bulletin de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, 12 mai 1891, p. 69-70.
  • Vapereau Gustave. – Dictionnaire universel des contemporains : contenant toutes les personnes notables de la France et des pays étrangers. 6e éd. Paris : Hachette, 1893, t. II, p. 1077.
  • Delaire Edmond. – Les Architectes élèves de l’École des beaux-arts 1793-1907. Paris : Librairie de la « Construction moderne », 1907.
  • Albert Lenoir, historien de l’architecture et archéologue. In [catalogue de l’exposition], Paris, INHA, 31 août – 25 novembre 2005. Paris : INHA, 2005.
  • Largier Françoise. – Albert Lenoir (1801-1891), autour de la Statistique monumentale de Paris, diplôme de recherche appliquée de l’École du Louvre, 2006, 2 vol.

Sources identifiées

Paris, Archives nationales

  • AJ 52 845 : papiers d’Albert Lenoir
  • F17/3287 : dossier des publications du Comité des arts et monuments, publication de la Statistique monumentale de Paris (trois dossiers)
  • L1588037 : dossier de la Légion d’honneur

Paris, bibliothèque de l’INHA-collections Jacques Doucet

  • Fonds Lenoir, OA 716

Paris, Bibliothèque nationale de France, département des Estampes et de la Photographie

  • Lettre d’Albert Lenoir, Ya2 152, département des Estampes

Paris, musée d’Orsay, documentation

  • Dossier architecte français Lenoir

En complément : Voir la notice dans AGORHA