Auteur(s) de la notice :

WILLESME Jean-Pierre

Profession ou activité principale

Écrivain, archéologue et historien d’art

Autres activités
Architecte et dessinateur

Sujets d’étude
Italie au Moyen Âge, en particulier Pise et la Toscane

Carrière
1848 : voyage en Belgique
1851 : voyage à Londres
1852 : voyage en Suisse
1855 : scolarité à l’École des beaux-arts à Paris ; dessins de monuments parisiens. N’exerça jamais la profession d’architecte
1858-1859 : visite en Italie en compagnie de son père (Pise, Pompéi, Naples)
1864-1865 : voyage dans le sud de la France
1866 : Première monographie importante : Les Monuments de Pise au Moyen Âge
1868, 1869-1870 : voyages en Italie
1874 : dernier voyage en Italie en compagnie de son père
Œuvres principales entre 1866 et 1880

Étude critique

Georges Rohault de Fleury n’est ni un collectionneur d’œuvres d’art, ni un expert dont l’avis serait recherché. Tout le sépare de la méthode d’un Bernard Berenson, installé à Florence et étudiant l’art toscan au début du XXe siècle. Il n’a jamais cherché à réaliser une histoire de l’art sous la forme d’un vaste édifice, il a voulu montrer, à travers ses propres recherches, comment on pouvait déterminer une évolution dans l’histoire de l’art en prenant le Moyen Âge chrétien comme référence et comme modèle. Il hérite le goût des arts de son grand-père Hubert et de son père Charles, tous deux architectes. Dès son jeune âge, il écrit un journal illustré de dessins à l’occasion de voyages en compagnie de son père et à douze ans, en Belgique, il décrit les villes de Bruxelles, Anvers et Gand. Âgé de quinze ans, en 1851, il est à Londres pour l’Exposition universelle et s’inquiète même pour la santé de son père que la chaleur peut indisposer. Son journal a pris de la vigueur, il déclare sans hésiter que « la France enfin a le dessus sur tous les autres pays sous le rapport de l’art ». L’esprit critique s’est affirmé comme le dessin (Paris, Académie d’architecture). En 1852, en voyage en Suisse, il ne laisse qu’un album de dessins (Académie d’architecture). Quelque temps plus tard, il suit la scolarité à l’École des beaux-arts, mais il n’a jamais exercé le métier d’architecte et n’a jamais eu de fonction administrative. Dès son jeune âge, sa santé, qui ne sera jamais excellente, est trop fragile, il tombe souvent malade en voyage. Sa vie s’écoule, lorsqu’il n’est pas en Italie (où il accompagne son père en 1858), dans l’hôtel familial parisien du 12, rue d’Aguesseau, aujourd’hui détruit, où le courrier de ses nombreux correspondants est adressé. Rohault de Fleury aime se rendre à Nice, à la villa Arson, que possédait déjà son père – devenue de nos jours un Centre national d’arts plastiques.

Il a cependant la curiosité de voyager tardivement en France pour étudier l’art gothique. Il a le culte de son grand-père Hubert, dont il a gardé un album de dessins et quelques notes sur son voyage italien en 1804 (Bibliothèque nationale de France), il se sert même d’un dessin de son ancêtre afin de restituer la description de fortifications à Florence. Il s’est tourné uniquement vers les travaux d’érudition en choisissant l’Italie comme objet d’étude principal, où il séjourne longtemps à Florence, en Toscane, et à Rome, et parle et écrit l’italien. Dans sa formation, la collaboration avec son père Charles a été déterminante : Rohault de Fleury a toujours voulu poursuivre l’œuvre commencée par son père. Il a publié avec lui les études à sujet religieux Mémoire sur les instruments de la Passion de N. S. J.-C. (1869) et L’Évangile, études iconographiques et archéologiques (1873) ; sur la messe, il a poursuivi une étude en cours : La Messe, étude archéologique sur ses monuments. L’un des volumes préparatoires sur La Messe, monuments liturgiques (Bibliothèque nationale de France), précédé d’un médaillon représentant le père, Charles, « fondateur du recueil », renferme des dessins de toute nature, des calques, des photographies et des références de bibliothèques prises en France, en Angleterre, en Belgique, en Suisse et en Italie. Le propos en est la « célébration du saint Sacrifice » illustrée par l’œuvre d’art, complété par une partie archéologique sur les édifices du culte, confessions ou cryptes. Jusqu’en 1900, les études de La Messe trouvent encore une suite dans les Monuments des saints liturgiques. Études archéologiques. Le propos est d’illustrer par des plans et des élévations les édifices qui sont dédiés à un saint. À l’intérieur du volume manuscrit sur saint André (Bibliothèque nationale de France), on découvre un article que Rohault de Fleury a donné en 1896 à un bulletin archéologique italien au sujet de Saint-André du Vatican. La documentation puise des exemples à Rome, mais aussi à Amalfi, Mantoue, Pise ou Paris, pour y évoquer Saint-André des Arts. Une partie est consacrée à l’iconographie du saint. Croquis et calques alternent avec la photographie. Un recueil sur la sainte Vierge a aussi été commencé par Charles et poursuivi par son fils, Georges. Les représentations de la Vierge vont de l’Espagne à la Chine en passant par la Norvège, la Suède et l’Orient, tous les supports sont envisagés, y compris l’orfèvrerie, les sceaux, les médailles et les monnaies. La photographie a été largement employée dans la dernière partie. L’ensemble manque de rigueur. Le manuscrit comprend ensuite une série de gravures sur la vie de Jésus (Bibliothèque nationale de France).

Georges Rohaut de Fleury retourne en 1874 en Italie pour la dernière fois avec son père, dont il pleure la perte l’année suivante. Il avoue tout ce que son érudition doit à son père : « Durant ces travaux, je n’étais pas seul, j’avais le bonheur de voir mon père les encourager, les diriger, souvent même les partager » (Le Latran au Moyen Âge, préface, p. VI). Il est catholique ultramontain et, de ce fait, en 1866, favorable au maintien de Pie IX contre l’assaut des troupes de Garibaldi – il est à Rome en 1869. Très influencé par la référence constante à l’histoire médiévale, il rejette la politique française et italienne contemporaines. Sa vision de l’histoire de l’art est urbaine, en ce sens que son point de départ est la cité éprise de liberté, la rivalité entre les cités étant facteur d’épanouissement artistique. Quand il prononce le mot de commune, il précise bien qu’il n’emploie pas le terme dans « l’exécrable sens dont les révolutionnaires l’ont souillé aujourd’hui ». Il ne veut parler que des « communes chrétiennes, filles soumises de l’Église » (Bibliothèque nationale de France, La Toscane au Moyen Âge, résumé, p. 464). L’unité de l’Italie, si elle avait été obtenue trop tôt, aurait empêché l’art de se développer dans les grandes villes rivales : « Au lieu des républiques de Venise, de Pise, de Lucques, de Gênes, de Florence, si l’on avait eu dès lors la mensongère unité que poursuit aujourd’hui l’Italie en trahissant son histoire et en foulant aux pieds les souvenirs les plus sacrés, toutes ces magnificences n’auraient pas vu le jour » (Bibliothèque nationale de France, Les Monuments de Pise, introduction, p. 5). Ce catholicisme intransigeant détermine chez lui une vision d’un art chrétien proche de la polémique par la façon de l’aborder. Rohault de Fleury est ambigu dans sa conception de l’histoire de l’art, on le voit en effet tenter de définir une « époque de transition » dans l’avertissement de La Toscane au Moyen Âge (1874, p. V) : « Le secret d’étudier avec fruit l’histoire de l’art et de saisir les différentes périodes de gloire ou de décadence qu’il traverse, est de s’attacher surtout aux époques de transition : on y éclaircira, comme les anatomistes le font pour les articulations du corps humain, le mystère de ses mouvements ; on s’expliquera les forces qui l’élèvent vers le sommet de l’idéal, et peut-être inventera-t-on aussi les remèdes qui préviendront sa déchéance. » Dans ces moments, on écrit encore en gothique et l’enluminure est déjà en style Renaissance. Seul un art chrétien médiéval est valable, c’est l’époque de la foi chrétienne, celle des croisades, de la puissance des papes.

Cependant, Rohault de Fleury nuance parfois sa pensée : l’apogée de nos arts associe la raideur gothique à la grâce naissante du XVe siècle (La Toscane au Moyen Âge, avertissement, p. VII). Ses réflexions, qui se retranchent volontairement dans le passé, n’apparaissent guère que dans les préfaces de ses ouvrages, ses confidences sont réservées aux pages qui précèdent les développements historiques à la rigueur parfois aride. Il nous laisse un long tableau de la Toscane sous forme de lettres fictives échangées entre l’architecte Raimond du Temple et son fils Charles, qui vivaient dans l’entourage du roi Charles V. L’ouvrage Le Latran au Moyen Âge (1877) est de la même veine et couvre une période immense s’étendant du Ve au XVIIe siècle ; seule la description des anciens édifices fait appel à la découverte récente, en 1874, de fresques et d’un reste d’abside dans le chœur des chanoines. Rohault de Fleury s’intéresse aux monuments et à la vie quotidienne dans ses plus petits détails, des silhouettes animent ses restitutions de monuments. Il avoue, toujours dans La Toscane au Moyen Âge, qu’il reconstitue le passé aidé par les manuscrits, les peintures et les descriptions des chroniqueurs. Ses carnets de l’Académie d’architecture nous livrent une partie de ses méthodes de travail. Les notes sur les monuments de Florence ou d’Arezzo sont descriptives et rapides, elles s’accompagnent de dessins levés avec beaucoup de liberté, l’intérêt se porte sur les petits personnages élégamment dessinés, qui fournissent des modèles de métiers au Moyen Âge. L’un des carnets se termine par quelques vues au crayon figurant l’ensemble d’une ville comme Savone ou Antibes. Rohault de Fleury a laissé aussi de nombreux dessins préparatoires pour ses publications, conservés au département des manuscrits de la bibliothèque de France. Il complète par des notes au crayon ses propres gravures, qui se retrouvent au milieu d’une série de dessins, de photographies ou d’une page des Annales archéologiques d’Adolphe-Napoléon Didron sur la sculpture de Pise (Bibliothèque nationale de France). Les très belles aquarelles sont suivies de recherches d’érudition accompagnées de relevés et de courriers (dessins de Pise, Bibliothèque nationale de France). Ses simples notes sur de petits carnets concernent souvent des points à étudier avec d’autres érudits français ou italiens : examen d’un plan ou d’une inscription (Académie d’architecture). Ses interlocuteurs en archéologie médiévale les plus consultés sont son cousin Pavet de Pontilly, le chevalier de Rossi et l’abbé Lanzi ; l’abbé Dufour le renseigne sur l’église Saint-Séverin à Paris après avoir consulté la conservation du musée Carnavalet, l’érudition la plus stricte est de rigueur. Rohault de Fleury sollicite des renseignements ou un document. L’un de ses correspondants lui adresse une épreuve photographique d’un petit monument devant compléter sa documentation sur les autels. La variété de ses activités est étonnante : en 1855, il a même effectué le relevé d’une maison parisienne du XVIe siècle au moment de sa démolition, lors de l’exécution de la place du Châtelet.

Rohaut de Fleury se passionne pour les miniatures, dont il crée le goût, celui d’un art chrétien par excellence. Il en prend des relevés. C’est par l’intérêt qu’il porte à certaines œuvres du passé qu’il pénètre dans le domaine de l’histoire de l’art. L’époque, dont il décrit l’histoire est proposée comme modèle ; ou comme antidote contre l’art « de l’abaissement vers les sens » (Bibliothèque nationale de France, introduction) qui est celui qu’apprécient ses contemporains. L’idée lui vient de revivre le passé, afin de n’être réduit ni à l’archéologie, ni à l’histoire. Il ne veut pas oublier le nom des artistes, qui restent l’âme des ouvrages : il aime citer pour Florence Andrea Orcagna, Benozzo Gozzoli ou Giotto, sans élaborer de critique stylistique. Son intérêt le porte aussi à étudier l’art des fortifications, qui est la garantie de l’indépendance des cités. À Pise, les guerres incessantes ont porté « leur caractère militaire jusque dans les lieux consacrés au soin des infirmes » (Bibliothèque nationale de France, p.106). Lors de la préparation de ses ouvrages sur la Toscane, Rohault de Fleury collectionne divers dessins de manuscrits entre 1865 et 1870. Dans un recueil très élaboré (Bibliothèque nationale de France), il étudie les techniques de construction et les outils les plus utilisés comme les scies, les marteaux ou les rabots. L’art militaire, y compris la chasse, est particulièrement développé, les machines pour prendre une ville ou l’équipement du soldat doté d’arquebuses. On trouve, dans ce même manuscrit, une étude sur les ouvertures de fenêtres, les bains et les sièges. Le costume n’est pas oublié : la place de l’homme est constamment au centre des préoccupations.

Rohault de Fleury n’est pas le seul à cette époque à rechercher des lois générales dans l’évolution des arts ou des civilisations. Il tente d’esquisser les causes de prospérité et de décadence des arts : l’idéal, l’élévation de l’esprit par la foi, la tradition et la liberté marquent l’apogée des arts ; au contraire, la primauté des sens et le retour à l’imitation servile de la nature entraînent une décadence des arts. Pour lui, le Moyen Âge recherche la beauté idéale. Il refuse la référence à la nature : elle est avilissante, elle est le fruit de la « démocratie moderne qui nous emporte vers les jouissances faciles et égoïstes ». Se détournant de Dieu, la société perd la notion de corps social et de pérennité, le fils n’embrasse plus la carrière de son père. L’artiste, devenu seul, esclave de la nature « jusqu’à la représenter dans ses flétrissures » s’isole du grand ensemble de l’humanité (d’après Les Monuments de Pise, p. 98, 173).

C’est un travailleur intense, très consciencieux et infatigable, si l’on considère les dessins, les recherches pour les ouvrages et les publications qui suivent. Bienveillant, il est en même temps respecté. Modeste, sans rechercher les honneurs, il travaille parfois jusqu’à quatorze heures par jour après avoir amassé une énorme documentation. Il publie ses livres à ses frais, ce qui ne l’empêche pas d’évoquer sa modeste fortune quand il doit se contenter d’un cheval pour voyager (Bibliothèque nationale de France, p. 57). Il a rêvé de réaliser des recueils iconographiques exhaustifs sur des thèmes religieux ou archéologiques, mais les commentaires, souvent inexistants, ont dû lui paraître irréalisables. Les thèmes de ses recherches ont été dispersés, ce qui a nui à leur diffusion. Esthète, il hésite à choisir entre l’histoire, l’histoire de l’art et l’archéologie chrétienne, qui lui tient le plus à cœur. Dans l’un des manuscrits consacré aux autels de la messe, il a même inséré des pages du Bulletin monumental. Fréquentant le Sud de la France, il dessine des vues de Cannes, Grasse, Antibes, Nice, Fréjus ou Marseille, où il remarque Notre-Dame de la Garde. Comme ses passions sont nombreuses, il conserve même des fleurs séchées. Lors d’un séjour à Cannes en 1865, il accepte de donner deux articles pour la petite revue de la ville : l’un sur l’ancienne église de Cannes, l’autre sur une visite archéologique à l’île Saint-Honorat. Il a plaisir à faire découvrir des monuments peu connus ou mal perçus par les visiteurs cultivés, comme cette église de Cannes du XIIe siècle. Il laisse en outre un album, clos en août 1891, où apparaît une grande sensibilité aux cathédrales gothiques du nord de la France, comme Laon, Soissons, Rouen ou Le Mans ; il dessine les églises de Senlis. Il porte son intérêt aux volumes intérieurs en relevant les élévations et ajoute à ce même recueil des photographies de Rouen, du Mont-Saint-Michel, de Pontigny et de Moissac.

Parmi ses amitiés, on compte Adolphe Thiers, qualifié de glorieux défenseur de l’Église et de la liberté (2 février 1866, page ouvrant l’album des dessins de Pise). Une dédicace à Thiers, avec une réponse manuscrite de ce dernier le 13 novembre 1866, se retrouve dans l’Atlas des monuments de Pise au Moyen Âge, qui renferme des planches gravées. En outre, Rohault de Fleury entretient des rapports avec l’Institut de France, auquel il dédie deux de ses ouvrages, La Toscane au Moyen Âge et Les Monuments de Pise.

Jean-Pierre Willesme, conservateur en chef au musée Carnavalet

Principales publications

Ouvrages et catalogues d’expositions

  • Les Monuments de Pise au Moyen Âge par Georges Rohault de Fleury architecte. Paris : A. Morel, Libraire-éditeur, 1866, 192 p.
  • Les Monuments de Pise au Moyen Âge. Paris : A. Morel Libraire-éditeur, 1866, Atlas, 66 pl.
  • Visite dans les catacombes de Saint-Calixte sous la conduite de M. le chevalier de Rossi. Paris : impr. de Bonaventure et Ducessois, 1866.
  • La Toscane au Moyen Âge. Lettres sur l’architecture civile et militaire en 1400. Paris : Vve A. Morel et Compagnie, Libraires-éditeurs, 1874, 394 p.
  • Le Latran au Moyen Âge. Paris : Vve A. Morel et Cie, éditeurs, 1877.
  • La Messe, études archéologiques sur ses monuments. Paris : Vve Morel, 1883-1889, vol. 1 ; vol. 2 ;vol. 3 ; vol. 4 ; vol. 5 ; vol. 6 ; vol. 7 ; vol. 8.
  • Gallia Dominicana, Les couvents de saint Dominique au Moyen Âge. Paris : Lethielleux, 1903, 2 vol.

Articles

  • « Une visite archéologique à l’île Saint-Honorat ». Revue de Cannes, 1865, p. 38-44.
  • Encyclopédie d’architecture, 2e série, 1863-1864, col. 303-304, article de Rohault de Fleury sur la Camposanto de Pise, restauration par le peintre italien Botti.
  • « Saint-André au Vatican ». Estratto dal nuovo bullettino de Arch. Crist. [Nouveau Bulletin d’archéologie chrétienne], anno. II, nos 1 et 2, Rome, 1896, p. 33-39.

Bibliographie critique sélective

  • Bengy-Puyvallée Maurice (de). – « Inventaire de la collection Rohault de Fleury ». La Correspondance historique et archéologique, Paris, 1907, p. 163, 212 et 361 ; 1908, p. 102 , 161.
  • Cabrol Fernand et Leclercq Henri. – Dictionnaire d’archéologie chrétienne, Paris, 1948, t. XIV, col. 2461 (art. Henri. Leclercq).
  • Laneyrie-Dagen Nadeije. – « Un cas d’historiographie peu connu : Pise et la Toscane vues par les Rohault de Fleury », année 2000 (2001), Bulletin de la Société de l’histoire de l’Art français, p. 181-201.

Sources identifiées

Paris, Académie d’architecture

  • H2 bis et A3, Georges Rohault de Fleury, 431 à 444 [le journal, 442, est en déficit]

Paris, Bibliothèque nationale de France

  • Naf 20816 (Pise, album de dessins), 20817 (Pise), 20823 (Pise), 20829 (Pise, planches), 20834 (Voyage en Italie, Rome), 20835 (Latran, imprimé), 20836 (Toscane, imprimé), 20837 (Pise, imprimé) ; 20838 (Florence), 20846 (Pise), 20849 (album de dessins sur Pise), 20852 (peintures, relevés techniques sur l’Italie), 20854 (voyage en Italie), 20858 (Cannes, Avignon, Provence et la vallée du Rhône), 20859 (voyage en France), 20860-20875 (La Messe, ms), 20679 (saint André, monuments des saints liturgiques), 20905 (la sainte Vierge, collection d’images), 20915 (Volterra) [des ouvrages imprimés ont été classés parmi les manuscrits]

En complément : Voir la notice dans AGORHA