Auteur(s) de la notice :

HENRY Christophe

Profession ou activité principale

Conservateur à la bibliothèque de l’Arsenal

Autres activités
Diplomate , auteur dramatique , critique d’art

Sujets d’étude
Estampes, dessin et cartes, Jean-Siméon Chardin, Moreau le Jeune, histoire du costume

Carrière
9 février 1848 : son père, Charles Schéfer, diplomate, épouse la fille de Stéphane Robinet, chimiste et membre de l’Académie de médecine
Fin 1848 : naissance de son frère aîné, Henri, à Alexandrie
1850 : naissance à Constantinople
1853 : retour à Paris ; installation dans l’appartement du grand-père maternel qui possédait une importante collection de peintures, dessins, gravures et copies d’antiques, avec des œuvres attribuées à Joseph Vernet, Jean-Baptiste Greuze, Nicolas-Antoine Taunay, Jean-Louis Demarne et Léopold Boilly – collection qui est sans doute en lien avec l’activité de peintre de fleurs et de natures mortes qu’entretint la mère de Gaston jusqu’à sa mort prématurée
1856 : retour à Paris ; mort de Madame Schéfer ; son père obtient le poste de Premier secrétaire interprète de l’Empereur
1860-1867 : études au collège Louis-le-Grand
1868 : envoyé en Allemagne pour entamer une carrière diplomatique, se lie avec son compatriote Émile Boutroux, futur membre de l’Institut et de l’Académie française, chargé alors d’étudier la philosophie allemande
Octobre 1869 : en octobre, rejoint son père en Égypte pour l’inauguration du canal de Suez ; périple en Haute-Égypte sur un bateau mis à la disposition de l’égyptologue Auguste-Édouard Mariette (1821-1881) par le vice-roi
1870 : retour au Caire, puis en France via Brindisi, Naples, Rome et Florence ; en juillet, est intégré en tant qu’engagé volontaire dans la 1re compagnie du 3e bataillon du 1er régiment de grenadiers de l’ex-garde impériale
1871 : séjour à l’hôpital militaire de Saint-Martin, puis retour à Paris où il doit se cacher pour échapper à la conscription fédérée
1876 : livraison du volume initial de la Galerie contemporaine, littéraire, artistique
1875 : publication chez Barba de Premières Poésies
1877 : attaché à la Comédie-Française ; entame la même année sa collaboration, qui durera plus de quarante ans, avec la bibliothèque de l’Arsenal ; rencontre d’Édouard Thierry, administrateur de la bibliothèque de l’Arsenal depuis 1871
1891 : publication de sa comédie en trois actes et en prose : Le Roi, à la librairie Molière ; la même année, l’œuvre fera l’objet d’une seconde édition revue et augmentée, en cinq actes, préfacée par Édouard Thierry
1894 : publication de la première partie du Catalogue des estampes, dessins et cartes composant le cabinet des estampes de la bibliothèque de l’Arsenal ; l’édition court jusqu’en 1911 ; fait imprimer sa première contribution publique à la critique d’art recensée à ce jour, le Salon du Champ de Mars chez L. Baschet ; devait s’exercer au genre au moins depuis la fin des années 1880
1895 : rassemble ses nombreux articles publiés dans L’Artiste et consacrés à son mentor Édouard Thierry dans un ouvrage intitulé Édouard Thierry et la Comédie-Française
1897 : son Salon de 1897 est illustré par cent planches en photogravure et à l’eau-forte et pourvu d’un fac-similé en couleurs
1901 : Le Roi, comédie en trois actes, est joué à la Comédie-Française dans une mise en scène d’Edmond Stoullig et avec une distribution distinguée : Paul Mounet (le Roi), Eugénie Segond-Weber (la Reine), Jacques Fenoux (Prince Stephen)
1904 : publie chez Capiomont une pièce historique en cinq actes et en vers : Louis XIII ; sort chez Henri Laurens son Chardin, biographie critique, illustrée de vingt-quatre reproductions hors texte, réédité chez le même éditeur et à l’identique en 1907
1909 : préface les Comptes de Louis XVI, publiés par le comte de Beauchamps, d’après le manuscrit autographe du Roi, conservé aux Archives nationales
1911 : publication des Documents pour l’histoire du costume de Louis XV à Louis XVIII chez Manzi, Joyant et Cie
1913 : avec la complicité d’Édouard Thierry, qui se charge de la préface, publie chez Lévy le premier tome de son Théâtre rassemblant Le Roi, Préfort et Le Labyrinthe ; fait paraître chez Henri Leclerc l’hommage vibrant rendu à son père : La Jeunesse d’un orientaliste : Charles Schefer 1840-1856
1915 : publication chez Manzi, Joyant & Cie de son Moreau le Jeune 1741-1814 et Un sacre royal dans la cathédrale de Reims : le sacre de Louis XV chez Henri Laurens
1916 : publication du deuxième tome du Théâtre rassemblant Louis XIII, Le Remords et Praxède
1919 : importante contribution à la somme collective de L’Art et les Mœurs en France, préfacé par André Michel et publié chez Henri Laurens ; commencent à paraître les quatre tomes de ses Mémoires, chez un petit éditeur de Coulommiers (Seine-et-Marne) : l’ensemble compte trois cent soixante-douze pages en grande partie consacrées à la vie quotidienne des administrateurs de la Comédie-Française et de la bibliothèque de l’Arsenal

Étude critique

Petit-fils de Frédéric-Chrétien Schéfer (1787-1873), caissier du trésor de la Couronne et fils de Charles Schéfer (1820- ?), linguiste et diplomate, Gaston Schéfer tint semble-t-il sa culture du premier et ses ambitions du second. Scolarisé au collège de Louis-le-Grand, son père s’y distingua particulièrement dans l’étude des langues orientales, maîtrisant le persan dès avant 1840, puis, au bénéfice d’un long séjour en Crète, le turc, l’arabe d’Égypte, l’albanais et le circassien. Entrant au service du ministère des Affaires étrangères en 1842, Charles y mènera une carrière de drogman aux consulats de Beyrouth, de Jérusalem, de Smyrne et de Constantinople, ne cessant jamais ses relations avec la bibliothèque de l’Arsenal. Si l’ambition paternelle d’obtenir une chaire au Collège de France ou à la bibliothèque du Roi fut finalement déçue, Gaston héritera en revanche de cette importante activité diplomatico-linguistique une relation d’élection avec la bibliothèque de l’Arsenal au catalogue de laquelle il contribuera de façon notable.

Destiné à la diplomatie par sa famille, Gaston n’a pourtant pas hérité de la fibre linguistique paternelle. Au terme de ses études à Louis-le-Grand, il est envoyé en Allemagne où il se lie avec son compatriote Émile Boutroux, futur membre de l’Institut et de l’Académie française, chargé alors d’étudier la philosophie allemande. Quoique la carrière diplomatique de Gaston s’achève officiellement après le séjour allemand, il rejoindra son père en Égypte en octobre 1869 pour l’inauguration du canal de Suez. Ce sera l’occasion d’un périple en Haute-Égypte sur un bateau mis à la disposition de l’égyptologue Auguste-Édouard Mariette (1821-1881) par le vice-roi d’Égypte. De retour au Caire en 1870, Gaston revient en France non sans multiplier les étapes italiennes : Brindisi, Naples, Rome et Florence. Engagé volontaire lors de la guerre de 1870, il est intégré dans un régiment de grenadiers de l’ex-garde impériale. Tombant rapidement malade, il est soigné à l’hôpital militaire de Saint-Martin puis est renvoyé à Paris, où il doit se cacher pour échapper à la conscription fédérée. Ses Premières Poésies, publiées en 1875, furent sans doute écrites durant sa convalescence et les trois années qui suivirent.

C’est en 1877 que Gaston Schéfer entame sa collaboration avec la bibliothèque de l’Arsenal, dont il apprécie le double rôle de conservatoire de la culture d’Ancien Régime et de centre littéraire initié par Charles Nodier (1780-1844). C’est là, qu’en tant qu’attaché, il rencontre Édouard Thierry (1813-1894), administrateur de l’Arsenal depuis 1871 et autour duquel s’activaient de nombreux écrivains et bibliophiles de l’époque : Henri de Bornier, Hippolyte Lucas, Paul Lacroix, Lorédan Larchey, Félix Ravaisson, Félix Malitourne, Eugène Asse, Louis Ulbach, Eugène Muller, etc. C’est dans le cadre de cette ultime République des lettres que Gaston Schéfer rédigera entre la fin des années 1870 et 1894 son Catalogue des estampes, dessins et cartes composant le cabinet des estampes de la bibliothèque de l’Arsenal, qui se présente sous la forme d’un catalogue de volumes répertoriés page par page et non sous celle, plus attendue, d’un inventaire des graveurs ou des sujets représentés. Dotée de tables sommaires, cette contribution à la connaissance des fonds patrimoniaux ne semble pas avoir constitué le cœur des préoccupations de Schéfer, qui se passionne depuis les années 1880 pour l’art dramatique, publiant en 1891 sa comédie en trois actes et en prose : Le Roi, à la Librairie Molière. La même année, l’œuvre fera l’objet d’une seconde édition revue, augmentée en cinq actes, et préfacée par Édouard Thierry. Ce dernier semble bien être alors le mentor de Schéfer, qui voit en l’ancien administrateur de la Comédie-Française (1870-1871) aux lumières desquelles la compagnie ne cesse d’avoir recours jusqu’à sa mort, le moyen amical d’une réussite dans la carrière enviée d’auteur dramatique.

Mais comme Schéfer le souligne lui-même dans ses Mémoires publiés à la veille de sa mort, la programmation théâtrale des années 1890 a moins recours à la création qu’au répertoire, ce qui l’incita sans doute à tenter de mettre sa plume à profit des autres genres que l’époque apprécie. C’est ainsi que sans délaisser ses ambitions dramatiques (il rassemble en 1895 ses nombreux articles publiés dans L’Artiste et consacrés à Édouard Thierry dans un ouvrage intitulé Édouard Thierry et la Comédie-Française et continue de louvoyer pour obtenir la mise en scène de sa comédie de 1891 qui sera effectivement jouée en 1901 dans une mise en scène d’Edmond Stoullig), Schéfer se lance officiellement dans la critique d’art à l’occasion du salon de 1894. Mais c’est avec son Salon de 1897 qu’il donne véritablement la mesure de son point de vue sur l’art contemporain, pessimiste s’il en fut, et largement inspiré par un culte de la génération classique et romantique au diapason de laquelle il juge les productions présentées au palais de l’Industrie. Si l’on peut comprendre qu’il ne s’enthousiasme pas pour l’art d’un Mathurin Moreau ou d’un Joseph Bail, et qu’il est tout à fait explicable qu’il n’apprécie guère l’orientalisme photographique d’un Joseph de la Nézière, il est plus difficile de justifier le regard froid qu’il porte sur les allégories sensibles de Louise Abbema, sur le portrait tout en vibration de Carolus-Duran ou sur les livraisons d’Auguste Bartholdi, dont le tout romantique Lazare de Schwendi est une des fiertés du Salon.

Introduisant la liste de ses déceptions par une comparaison du catalogue présent avec celui du salon de 1855, Schéfer explicite dès la page 2 la raison qui explique à ses yeux la médiocrité de ses contemporains : « Il s’en dégage, entre autres enseignements, une leçon dont bien des artistes contemporains pourraient faire un utile profit : nous voulons parler de l’éducation artistique de ces grands peintres de l’école romantique, de ces admirables paysagistes qui, dans leur temps, furent des novateurs et nous dirent sur la nature des choses que nous n’avions pas encore entendues […] Qu’on le veuille ou non, on est toujours le fils de quelqu’un. Eux aussi ils ont eu des maîtres, ils ont fréquenté des ateliers, ils y ont écouté un enseignement, ils y ont accompli leurs humanités artistiques. Le livret de 1855 nous fournit à cette question une réponse catégorique, la même qu’a sans cesse donnée une expérience séculaire, mais qui ne laissera peut-être pas que d’étonner beaucoup de peintres contemporains qui ne se croient élèves que d’eux-mêmes. Quelle conclusion tirer de cette courte statistique ? Aucune autre, sinon que ces véritables créateurs, ces trouveurs de sources nouvelles de beauté et d’émotion ont tous reçu l’éducation classique, éducation qui semble si inutile aux élèves qui la subissent et que regrettent amèrement aux heures de la maturité les artistes auxquels elle a été refusée. Leur génie n’en fut pas entravé, ni leur originalité amoindrie ; il y ont gagné, au contraire, cette dignité et cette force qui soutiennent leurs œuvres malgré les dégradations du temps. »

Les artistes en question sont ceux dont les historiens de l’art de la fin du XIXe siècle ont entamé l’historiographie dans une optique typique de la IIIe République : Théodore Rousseau (Guillaume Guillon Lethière), Jean-Baptiste Corot (Victor Bertin), Gustave Courbet (Henri Joseph Hesse), Jean-François Millet (Paul Delaroche), Charles-François Daubigny et Paul Huet (Robert Guérin, dit Gros-Guillaume), Alexandre-Gabriel Decamps (Abel de Pujol), Rosa Bonheur (Léon Cogniet), Théodore Chassériau (Jean-Auguste-Domonique Ingres) – c’est-à-dire que leur modernité est conçue et présentée comme la soustraction au passé non républicain de ses qualités éminentes. De ce point de vue, l’éloge des maîtres auquel se livre Schéfer est en phase avec ses efforts de dramaturge et de savant qui tentent, en parfait accord avec le consensus républicain dominé par les bonapartistes et les royalistes, d’opérer la réhabilitation culturelle de l’Ancien Régime – c’est-à-dire de ses points de vue, coutumes, arts, lettres et mœurs – afin de légitimer l’état économique et politique des choses. Cette conviction devenue idéologie est bien attesté par la réponse à la question suivante : « Cependant, en quoi consiste-t-elle donc, après tout, sinon à nous faire profiter de l’expérience des maîtres qui nous ont précédés et à nous apprendre, en un instant, des vérités qu’ils ont conquises par les longs efforts de leur génie ? Pour que la démonstration fût complète, il nous faudrait en apporter ici la contrepartie et citer les noms des maîtres arrivés au même sommet et s’étant affranchis des études classiques. Nous n’en trouvons aucun qui puisse être nommé après ceux que nous venons de dire. Au surplus, il suffit de jeter un coup d’œil sur les écoles contemporaines qui ont voulu se libérer de ces prétendues chaînes. Elles n’ont voulu relever que d’elles-mêmes, n’écouter que leur propre voix. Aussi l’art offensé les a-t-il condamnés à la pire des peines dont il dispose : à la médiocrité. »

Si, dans les années qui suivent, l’écriture polygraphique de Schéfer s’orchestrera en ce sens (voir notamment le Louis XIII de 1904 et la préface les Comptes de Louis XVI publiés par le comte de Beauchamps en 1909 ou encore les éloquents Documents pour l’histoire du costume de Louis XV à Louis XVIII de 1911), il faut souligner l’aisance avec laquelle cette position idéologiquement réactionnaire s’associe les nouveautés technologiques en matière de reproduction iconographique. Déjà en 1897, le Salon de Schéfer est illustré par cent planches en photogravure et à l’eau-forte et pourvu d’un fac-similé en couleurs. Huit ans plus tard la biographie critique qu’il consacre à Chardin est illustrée de vingt-quatre reproductions hors texte, s’appuyant ainsi que les Documents pour l’histoire du costume de Louis XV à Louis XVIII ou le Moreau le Jeune de 1915, sur une qualité d’illustration sans laquelle les projets n’auraient pu voir le jour. À cet endroit, ce n’est sans doute pas un hasard si Schéfer apparaît pour la première fois avec le titre de « conservateur à la bibliothèque de l’Arsenal » sur la première de couverture du Moreau le Jeune : pourvu désormais d’une belle réputation de savant et de connaisseur, il dispose aussi des moyens institutionnels et techniques qui lui permettent de faire de ses publications de véritables livres d’art à destination d’un public cultivé, ou bien de notables contributions à la méthodologie historique à destination des savants. Par la richesse et la pertinence de son iconographie, Un sacre royal dans la cathédrale de Reims : le sacre de Louis XV propose l’un des premiers emplois critiques des documents figurés pour l’historiographie du XVIIIe siècle. La méthode sera reprise quatre ans plus tard, dans la somme qu’un aréopage distingué d’historiens et d’historiens d’art dont Schéfer consacre, sous la houlette d’André Michel, à la documentation artistique et critique des mœurs françaises (L’Art et les Mœurs en France, 1919).

Christophe Henry, centre Ledoux, INHA

Principales publications

Ouvrages et catalogues d’expositions

  • Premières Poésies. Paris : G. Barba, 1875.
  • Galerie contemporaine, littéraire, artistique. 1re année, 1er semestre, 1re série, Paris, 1876
  • Le Roi : comédie en 3 actes. Paris : Librairie Molière, 1891, in-16 ; 2e éd. revue et augm. : Le Roi, pièce en 5 actes, en prose, préface d’Édouard Thierry]. Paris : Tresse et Stock, 1891
  • Salon de 1894… Salon du Champ de Mars. Paris : L. Baschet, 1894
  • Le Salon de 1897. Paris : J. Boussod, Manzi, Joyant & Cie, 1897 [Cent planches en photogravure et à l’eau-forte et un fac-similé en couleurs].
  • Catalogue des estampes, dessins et cartes composant le cabinet des estampes de la bibliothèque de l’Arsenal. Paris : aux Bureaux de « L’Artiste », H. Leclerc ; Société pour l’étude de la gravure française, 1894-1929.
  • Édouard Thierry et la Comédie-Française. Paris : aux bureaux de « L’Artiste », 1895.
  • Chardin, biographie critique. Paris : H. Laurens, 1904 (« Les Grands Artistes, leur vie, leur œuvre » ) ; 2e éd., 1907 [illustrée de vingt-quatre reproductions hors texte].
  • Louis XIII, pièce en 5 actes, en vers. Paris : F. Capiomont, 1904.
  • R. Bouyer, L. Deshairs, E. Hinzelin, H. Marcel, P. Marcel, F. Monod, Ch. Normand, E. Pilon, L. Rosenthal, E. Sarradin, Ch. Saunier, Schéfer Gaston, M. Tourneux. – L’Art et les Mœurs en France [préface de M. André Michel]. Paris : Renouard, H. Laurens, 1909.
  • Schéfer Gaston [préface]. – Comptes de Louis XVI, publiés par le comte de Beauchamps, d’après le manuscrit autographe du Roi, conservé aux Archives nationales. Paris : H. Leclerc, 1909.
  • Documents pour l’histoire du costume, de Louis XV à Louis XVIII. Paris : Manzi, Joyant et Cie, 1911.
  • La Jeunesse d’un orientaliste, Charles Schéfer, 1840-1856. Paris : H. Leclerc, 1913
  • Théâtre. I. Le Roi [préface d’Édouard Thierry]. Préfort. Le Labyrinthe (1913) ; II. Louis XIII. Le Remords. Praxède (1916). Paris : C. Lévy, 1913-1916.
  • Moreau le Jeune, 1741-1814. Paris : Manzi, Joyant & Cie, 1915.
  • Un sacre royal dans la cathédrale de Reims, le sacre de Louis XV. Paris : H. Laurens, 1915
  • Mémoires. Coulommiers : impr. de P. Brodard, 1919-1921, p. 345-372.

Bibliographie critique sélective

  • Hare Marion J. – « Autobiographical notes by Rodin in a letter to Gaston Schéfer, 1883 ». In Revue d’art canadien RACAR, vol. 17, n° 2,1990, p. 158-162.

Sources identifiées

Pas de sources recensées à ce jour.