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MARTHA, Jules
Mis à jour le 16 avril 2010
(8 janvier 1853, Strasbourg – 7 avril 1932, Paris )
Auteur(s) de la notice : GAULTIER Françoise MATHIEUX Néguine
Profession ou activité principale
Professeur des universités
Autres activités
Épigraphe
Sujets d’étude
Archéologie grecque, archéologie étrusque, langue étrusque, littérature latine
Carrière
1872-1875 : élève de l’École normale supérieure
1875 : agrégé de lettres
1875-1876 : membre de l’École française de Rome
1876-1879 : membre de l’École française d’Athènes
1879-1881 : maître de conférences à la faculté des lettres de Montpellier
1881-1882 : maître de conférences à la faculté des lettres de Dijon
1882 : docteur ès lettres
1882 -1884 : maître de conférences à la faculté des lettres de Lyon
1884 -1891 : maître de conférences à la faculté des lettres de Paris
1891-1892 : maître de conférences à l’École normale supérieure, Paris
1892 -1895 : chargé de cours à la faculté des lettres de Paris
1895 -1923 : professeur d’éloquence latine à la faculté des lettres de Paris
4 février 1891 : membre de la Société nationale des antiquaires de France
Étude critique
Jules Martha, fils du célèbre professeur d’éloquence latine de la Sorbonne, l’académicien Benjamin Constant Martha, est l’héritier d’une lignée prestigieuse et le bénéficiaire d’une formation exemplaire qui le conduit à l’École normale supérieure puis à l’agrégation de lettres et lui ouvre les portes de l’École française d’Athènes, après un passage d’une année par l’École française de Rome. Sa carrière et ses travaux ne sont pourtant pas uniquement placés sous le signe de la tradition, mais font au contraire preuve d’une véritable audace et d’une réelle originalité. Tout d’abord parce qu’il a toujours cherché à infléchir la pratique philologique en confrontant les textes aux monuments antiques et qu’il contribua ainsi, en ce dernier quart du XIXe siècle, à poser en France les fondements d’une archéologie scientifique. Ensuite, parce que, fort d’une érudition classique, il s’engage dans l’exploration d’un domaine encore peu étudié, celui de la civilisation étrusque.
Dans ce parcours original, c’est moins son père, auquel il est très attaché, qui lui sert de guide, qu’Albert Dumont, rénovateur des sciences de l’Antiquité et réorganisateur de l’université française après la rupture de 1870, qui voit les savants français amenés à se définir par rapport à la science allemande.
Reçu second à l’agrégation de lettres, Jules Martha est nommé en 1875 membre de l’École française de Rome, à peine fondée par Albert Dumont et dirigée par Auguste Geffroy. Il découvre les musées et les vestiges de la ville antique, rédige un Rapport sur quelques inscriptions latines récemment découvertes dans les terrains de la Villa Médicis et avec Paul Girard, son futur beau-frère, la Copie d’inscriptions relevées dans les fouilles récentes sur la via Latina ; il entreprend aussi le Catalogue descriptif et méthodique des sarcophages romains à représentations marines qui fera plus tard l’objet d’une de ses thèses de doctorat, dans laquelle il proposera de donner un sens à ces motifs considérés jusque-là comme strictement décoratifs.
En 1876, il quitte Rome pour l’École d’Athènes, dont Albert Dumont, à peine nommé directeur, cherche à faire un institut de recherches scientifiques. Les relevés épigraphiques, les publications dans le Bulletin de correspondance hellénique, nouvellement créé, et la rédaction de corpus ou de catalogues sont désormais des travaux prioritaires. Les voyages d’exploration de Jules Martha dans le Péloponnèse (1877), à Rhodes (1878), à Naxos et à Thespies (1879), donnèrent ainsi lieu a plus d’une quinzaine d’articles recensant des inscriptions ou s’attardant sur quelques menus objets de terre cuite. Martha poursuit par ailleurs dans les musées d’Athènes l’ingrat travail de dépouillement systématique d’objets sans valeur proprement artistique. Il entreprend la rédaction du Catalogue des figurines en terre cuite du musée archéologique d’Athènes, qui fait suite au Catalogue des vases peints de la Société archéologique d’Athènes de Maxime Collignon publié en 1877. Il applique à cette classe d’objets, fruits « d’un artisanat populaire », qui n’avait encore jamais été recensée dans un catalogue raisonné, des principes scientifiques stricts qui s’appuient sur une observation attentive et une classification rigoureuse opérée selon des critères objectifs et avec « une neutralité désintéressée » puisqu’ « un catalogue doit présenter des cadres précis et invariables ».
De retour en France à l’automne 1879, il est nommé maître de conférences à l’université de Montpellier où il reprend non seulement le cours d’antiquités grecques et latines, mais assure également un cours d’archéologie, un nouvel enseignement introduit dans les universités à l’instigation d’Albert Dumont devenu entre-temps directeur de l’enseignement supérieur.
En 1882, Martha publie sa thèse de doctorat intitulée Les Sacerdoces athéniens, mais se prend dès l’année suivante d’un intérêt particulier pour la civilisation étrusque. Même s’il ne l’avait pas alors choisi comme principal sujet d’étude, il s’était, à Rome, laissé séduire par ce domaine encore mal connu où tant restait à faire, vers lequel Albert Dumont avait cherché à l’orienter et vers lequel Michel Bréal, professeur au Collège de France, encourageait également Geffroy à diriger les membres de l’École française de Rome.
Les dernières décennies du XIXe siècle sont caractérisées par l’avancement et la multiplication des publications systématiques entreprises dans le climat positiviste du milieu du siècle, c’est la grande époque des corpus et des manuels : en 1884, Martha publie au retour d’une mission en Italie qu’il a lui-même sollicitée auprès du ministère de l’Instruction publique un Manuel d’archéologie étrusque et romaine. En 1877, l’ouvrage de Karl Ottfried Müller sur les Étrusques (Die Etrusker, Göttingen, 1828) revu et augmenté par Wilhelm Deecke (Die Etrusker, Stuttgart, 1877), avait répondu aux exigences des savants et des étudiants. En s’adressant non plus « aux archéologues de profession », mais au public des gens cultivés et des amateurs « qui voudraient avoir quelque idée de l’archéologie étrusque et romaine », l’ouvrage de Martha, comblait un vide. Paru dans la même collection que le Manuel d’archéologie grecque de Maxime Collignon, dont il constitue comme le pendant italien, et consacré pour un tiers à l’Étrurie, c’est en quelque sorte le premier ouvrage de vulgarisation dans le domaine de l’archéologie étrusque, un domaine qui gagne du même coup en visibilité et voit son autonomie renforcée par rapport aux autres secteurs de la recherche archéologique ; il insiste aussi sur la part de l’héritage étrusque dans l’art romain.
En 1889, Martha, lauréat d’un concours lancé deux ans plus tôt par l’Académie des inscriptions et belles-lettres pour « une étude critique sur les œuvres […] de l’art étrusque, les origines de cet art, l’influence qu’il a eu sur l’art romain », publie L’Art étrusque. Cet ouvrage, plus riche que ne le laisse supposer son titre, développe les premiers chapitres de son manuel. En prélude à l’étude des manifestations artistiques, il traite des conditions géographiques et climatiques de l’Étrurie, pose le problème de la race étrusque, et lui préfère la notion de regroupement politique, s’attarde enfin sur la question de l’origine des Étrusques : une question qui, après la découverte en Étrurie de nécropoles analogues à celles qui avaient été mises au jour en 1854 à Villanova, près de Bologne (Giovanni Gozzadini, Di un sepolcreto etrusco presso Bologna, 1854), puis à Bologne même, occupe alors une place de choix dans les débats scientifiques et oppose partisans de sa provenance nordique et partisans de son origine orientale. Dans ces débats, Martha, qui épouse la thèse de Luigi Pigorini et de Wolfgang Helbig (Wolfgang Helbig, Die Italiker in der Poebene, Leipzig, 1879 et Annali dell’Istituto di Corrispondenza archeologica, 1884, p. 108-188), voit dans les Étrusques une population d’origine transalpine entrée en Italie aux alentours du XIe siècle av. J.-C. et dans les caractères orientaux ou grecs de leur civilisation des caractères acquis au gré des relations commerciales qu’ils entretinrent avec les marchands de Tyr, de Carthage ou des villes grecques. Son étude de l’art étrusque en aborde, quant à elle, tous les aspects : l’architecture, la sculpture, la peinture, la céramique, la métallurgie, la bijouterie, la glyptique… sont successivement étudiées, mais c’est l’ouvrage d’un homme de culture classique qui juge l’art de l’Étrurie à l’aune de la Grèce et multiplie les appréciations négatives, d’autant plus dures qu’elles semblent faites à contrecœur. « Nous sommes obligés d’avouer, écrit-il en conclusion, que l’art étrusque n’est pas un grand art » : c’est un art qui « fait de l’imitation sa loi » et auquel manque le « sentiment esthétique ». Ses préjugés sont en réalité ceux de son époque. Largement répandus, ils ne se dissiperont qu’au lendemain de la Première Guerre mondiale avec la découverte de l’Apollon de Véies, et ne doivent pas faire méjuger d’une œuvre, qui fort bien documentée n’en reste pas moins la première synthèse en français sur le sujet. Salué dès sa sortie comme un ouvrage important, L’Art étrusque fera, de fait, longtemps figure de manuel et contribuera à relancer l’intérêt des Français pour une civilisation qui, quelque peu délaissée après l’ouvrage d’Adolphe-Noël des Vergers (L’Étrurie et les Étrusques, Paris, Firmin-Didot, 1862-1864), retiendra à nouveau l’attention de Stéphane Gsell et bientôt d’Albert Grenier.
Dans les années qui suivent la sortie de cet ouvrage, Martha signe encore en 1892 l’article « Étrurie » du Dictionnaire des antiquités grecques et romaines de Daremberg et Saglio, mais publie peu et, en dehors de l’édition des discours de Cicéron, travaille pour l’essentiel à l’étude la langue étrusque, dont quelques documents majeurs, comme le liber linteus de la momie de Zagreb ou la tuile de Capoue, viennent tout juste d’être découverts et publiés (Jakob Krall, Die etruskische Mummenbinden des Agramer Nationalmuseums, Vienne, 1882 ; Franz Bücheler, dans Rheinisches Museum für Philologie, LV, 1900, p. 1 et sq.).
Malgré les critiques portées par Wilhelm Deecke (Corssen und die Sprache der Etrusker, Stuttgart, 1875) à l’ouvrage récent de Wilhelm Corssen sur la langue étrusque (Wilhelm Corssen, Über die Sprache der Etrusker, Leipzig, 1874-1875) et à la méthode comparative fondée sur l’idée d’une parenté de la langue étrusque avec d’autres, et en l’occurrence avec les langues italiques, malgré les résultats obtenus par la nouvelle approche dite combinatoire, privilégiant l’analyse interne des textes étrusques, promue par Wilhelm Deecke (Etruskische Forschungen, Stuttgart, 1875) ou par Alf Torp (Etruskische Beiträge, Leipzig, 1902-1903), Martha croit au rapprochement possible de la langue étrusque avec les langues du groupe finno-ougrien (La Langue étrusque, 1913). Son entreprise n’est pas isolée : d’autres avaient déjà comparé l’étrusque à l’arménien (S. Bugge, Etruskische und Armenische, Christiana, 1890) ou au caucasien (Vilhelm Thomsen, Remarques sur la parenté de la langue étrusque, Copenhague, 1899), mais ses arguments sont fragiles, rapidement critiqués par ses pairs et raillés par la presse. Cet épisode malheureux lui ferme les portes de l’Institut et oriente définitivement ses recherches vers la littérature et la langue latine : il se consacre désormais à l’édition, au commentaire et à la traduction du De finibus de Cicéron.
Françoise Gaultier et Néguine Mathieux, conservateurs, département des Antiquités grecques, étrusques et romaines, musée du Louvre
Principales publications
Ouvrages et catalogues d’expositions
- Catalogue des figurines en terre cuite du musée archéologique d’Athènes, Bibliothèque des Écoles françaises d’Athènes et de Rome, XVI. Paris : E. Thorin, 1880.
- Quid significaverint sepulcrales Nereidum figurae. Paris : E. Thorin, 1881, 124 p.
- Les Sacerdoces athéniens, Bibliothèque des Écoles françaises d’Athènes et de Rome, XXVI. Paris : E. Thorin, 1882, 184 p.
- Manuel d’archéologie étrusque et romaine, Bibliothèque de l’enseignement des Beaux-Arts. Paris : A. Quantin, 1884, 318 p.
- L’Art étrusque. Paris : Firmin-Didot, 1889.
- La Langue étrusque : affinités ougro-finnoises, précis grammatical, textes traduits et commentés, dictionnaire étymologique. Paris : E. Leroux, 1913.
Éditions, traductions et commentaires
- Cicéron. – Brutus. Paris : Les Belles-Lettres, 1892.
- Cicéron. – Oratio pro Milone. Paris : A.Colin, 1896.
- Cicéron. – Des termes extrêmes des biens et des maux, vol. 1, Livres I-II ; vol. 2, Livres III-V. Paris : Les Belles Lettres, 1928.
Articles
- « Fragments de vases athéniens portant des noms d’archontes ». In Bulletin de correspondance hellénique, 1, 1877, p. 214-216, pl. X.
- « Inscriptions de Spata ». In Bulletin de correspondance hellénique, 1, 1877, p. 235-239.
- « Inscriptions de Sparte ». In Bulletin de correspondance hellénique, 1, 1877, p. 378-388.
- « Fragments de vases panathénaïques trouvés sur l’Acropole ». In Bulletin de correspondance hellénique, 1, 1877, p. 173-176.
- « Inscriptions d’Achaïe ». In Bulletin de correspondance hellénique, 2, 1878, p. 40-44, 94-101.
- « Inscription d’Épidaure ». In Bulletin de correspondance hellénique, 2, 1878, p. 273 -275.
- « Inscriptions d’Argolide ». In Bulletin de correspondance hellénique, 2, 1878, p. 319-320.
- « Inventaire de l’Asklépieion ». Collaboration de Girard Paul. In Bulletin de correspondance hellénique, 2, 1878, p. 419-425, pl. XXI-XXII.
- « Restes d’un portique au Sud de l’Asklépieion ». In Bulletin de correspondance hellénique, 2, 1878, p. 584-486, pl. XXIII.
- « Inscriptions de Rhodes ». In Bulletin de correspondance hellénique, 2, 1878, p. 615 – 621.
- « Figurines corinthiennes en terre cuite ». In Bulletin de correspondance hellénique, 3,1879, p. 29-42.
- « Inscriptions d’Hermione ». In Bulletin de correspondance hellénique, 3, 1879, p. 75 -82.
- « Inscriptions du Péloponnèse ». In Bulletin de correspondance hellénique, 3, 1879, p. 190-198.
- « Inscription archaïque de Phigalie ». In Bulletin de correspondance hellénique, 3, 1879, p. 468-469.
- « Inscriptions du vallon des Muses ». In Bulletin de correspondance hellénique, 3, 1879, p. 442 – 448.
- « Note sur des fouilles faites près de la porte de l’Agora ». In Bulletin de correspondance hellénique, 3, 1879, p. 472.
- « Deux figurines de Tanagre en terre cuite ». In Bulletin de correspondance hellénique, 4, 1880, p. 71-75, pl. III-IV.
- « Inscription de Rhodes : donation au profit d’une communauté d’éranistes ». In Bulletin de correspondance hellénique, 4, 1880, p. 138 -145.
- « Inscription relative à un stratège de la Paralie ». In Bulletin de correspondance hellénique, 4, 1880, p. 260.
- « Inscriptions de Messène ». In Bulletin de correspondance hellénique, 5, 1881, p. 149-156.
- « Héraklès au repos, bronze grec du musée du Louvre ». In Monuments grecs, 9, 1880, p. 1-10, pl. 1.
- « Inscription métrique de Paros ». In Bulletin de correspondance hellénique, 6, 1882, p. 245 -249.
- « Note sur une statue grecque conservée au musée de Dijon ». In Bulletin de correspondance hellénique, 6, 1882, p. 292 – 295.
- « Stèle avec inscriptions trouvée au lac Stymphale ». In Bulletin de correspondance hellénique, 7, 1883, p. 486-493.
- « Castor et Pollux ». In Bulletin de correspondance hellénique, 9, 1885, p. 239 – 241.
- « Inscriptions de Naxos ». In Bulletin de correspondance hellénique, 9, 1885, p. 493-505.
- « La Fuite de Dédale, note sur une stèle étrusque à sujets mythologiques trouvée à Bologne ». In Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France, 6e série, I, 1890.
- « Étrurie ». In Dictionnaire des antiquités grecques, étrusques et romaines de Daremberg et Saglio, 1892, p. 817-849.
- « Paysan à la charrue, figure béotienne en terre cuite ». In Bulletin de correspondance hellénique, 17, 1893, p. 80-84, pl. I.
- « Une plaquette en ivoire avec inscription étrusque trouvée à Carthage ». In Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France, 1899, p. 185-189.
- « Le Dieu étrusque Mantus ». In Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France, 1901, p. 210-216.
- « La Négation en étrusque ». In Revue de linguistique, 1903.
- Observations grammaticales sur la langue étrusque ». In Mélanges G. Perrot. Paris : A. Fontemoing, 1903, p. 233-237.
- « Le Sens du mot “mi” en étrusque ». In Centenaire de la Société nationale des antiquaires de France. Paris : Klincksieck, 1904, p. 263-267.
Cours prononcés
- L’Archéologie : leçon prononcée le 5 décembre 1879 à l’ouverture du cours des Antiquités grecques et latines. Montpellier : J. Martel, 1879, 30 p.
- Les Transformations économiques et morales de la société romaine au temps des guerres puniques : leçon d’ouverture faite le 7 décembre 1892. Paris : A. Colin, 1893, 24 p.
- Constant Martha : leçon d’ouverture du cours d’éloquence latine faite le 3 décembre 1895. Paris, 1895.
- Le Bonheur domestique de Pline le Jeune. Comment Pline le Jeune arrangeait sa vie, Sa familia, Ses sentiments religieux (cours de l’université de Paris). Paris : P. Boivin, 1898.
Bibliographie critique sélective
- La Grande Encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts, XXIII. Paris : H. Lamirault, 1885-1902, p. 323.
- Radet Georges. – L’Histoire et l’Œuvre de l’École française d’Athènes. Paris : A. Fontemoing, 1901, p. 193, 200, 202, 289, 297, 341, 385, 389, 391, 394, 452, 459.
- Reinach Salomon. – Revue archéologique, 35, 1932-2, p. 303.
- Carcopino Jérôme. – « Jules Martha ». In Annuaire de l’Association amicale des anciens élèves de l’École normale supérieure. Paris, 1933, p. 32-39.
- Mirot Léon. – Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France, 1933, p. 68-70.
- Robinson David Moore. – American Journal of Archaeology, 37, 1933, p. 118.
- Gran-Aymerich Ève et Jean. – « Jules Martha ». In Archeologia, 207, 1985, p. 76 – 81.
- Charle Christophe. – Les Professeurs de la faculté des lettres de Paris. Dictionnaire biographique 1809-1908, vol. 1. Paris : Institut national de recherches pédagogiques et CNRS éditions, 1985, p.133-134.
- Grummond Nancy Thomson (de). – « Martha, Jules ». In An encyclopedia of the History of Classical Archaeology. Londres : Fritzoy Dearborn, 1996, vol. 2, p. 729.
- Therrien Lyne. – L’Histoire de l’art en France. Paris : Éditions du Cths, 1998, p. 252, 362, 392.
- Gran-Aymerich Ève. – Naissance de l’archéologie moderne 1798-1845. Paris : CNRS Éditions, 1998, p. 229-230, 248-249, 323, 354, 382.
- Gran-Aymerich Ève. – Dictionnaire biographique d’archéologie 1798-1945. Paris : CNRS Éditions, 2001, p. 442-444.
Sources identifiées
Paris, Archives nationales
- F17/2988, F17/22687, 61 AJ 11, 61 AP 45, 61 AP 183
En complément : Voir la notice dans AGORHA