Description du projet

La proposition devra comporter une description du sujet de recherche, de sa problématique et de ses enjeux pour la discipline. Elle devra clairement exposer les interactions entre les différents partenaires et le caractère collaboratif du projet. La dimension scientifique sera centrale au moment de l’examen des dossiers. Si le projet doit aboutir à un livrable (livre, exposition, colloque, journée d’études, etc.), un calendrier précis de réalisation est à soumettre au jury. Les actions peuvent avoir lieu localement, entre différents lieux et/ou régions et/ou à l’INHA, selon les besoins du projet.

Nature du programme

L’enveloppe budgétaire dédiée par l’INHA à ce programme est de 10 000 €. Il appartient aux institutions concernées d’y ajouter des financements complémentaires si besoin. Les besoins budgétaires devront être justifiés précisément.

L’INHA n’étant pas un prestataire de services, mais un partenaire scientifique et logistique (mise en réseau, communication, etc.), le projet de Carte blanche ne peut s’assimiler à une demande de subvention, mais doit être pensé comme un dialogue avec les équipes scientifiques de l’INHA.

Dossier de candidature

Le projet déposé devra comprendre les documents suivants :

  • Projet scientifique (3 pages maximum) ;
  • Une équipe dédiée et un interlocuteur clairement désigné, comme représentant de l’équipe ;
  • Calendrier des opérations ;
  • Budget prévisionnel (une page, précisant l’utilisation des 10 000 € et indiquant les éventuels financements complémentaires).

Merci de déposer votre dossier de candidature sur la plateforme de l’INHA.

Processus et critères de sélection

Le jury tient compte de plusieurs critères : 

  • la valeur et les retombées scientifiques du projet ;
  • l’implication significative d’une ou de plusieurs équipes ;
  • proposition innovante. 

Dans le cadre de cet appel, l’INHA souhaite privilégier les institutions avec lesquelles il a établi peu de collaborations.

Résultats

2023

Le jury 2023 a retenu le projet Une approche matérielle de la sculpture « bourbonnaise » des XVe et XVIe siècles : la collection du musée Anne-de-Beaujeu de Moulins, porté par Daniele Rivoletti, de l’université Clermont Auvergne, et Giulia Longo, du musée départemental Anne-de-Beaujeu.

Il a inscrit Mémoires des pierres, mémoire d’un village : projet Antoine Rabany, porté par Barbara Delamarre, de l’université Rennes 2, sur liste complémentaire.