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Recherche : bourses de mobilité pour les historiennes et historiens de l’art

Appel à candidature

| Mis à jour le 18 juin 2024

Cloturé

Nature de l’aide

Ces bourses prennent la forme de remboursement de frais de mission, sur justificatifs. Ils peuvent s’élever jusqu’à 800 euros (montant indicatif pour l’année 2023).

Qui peut candidater ?

Les candidats et candidates doivent remplir plusieurs conditions : 

  • Être titulaire d’un doctorat en histoire de l’art depuis plus de trois ans ou avoir une activité de chercheur ou de chercheuse dans un cadre professionnel (enseignantes-chercheuses, enseignants-chercheurs, professionnelles et professionnels du patrimoine…) ;
  • sans condition de nationalité.

Dossier de candidature

Le dossier doit comprendre :

  • une lettre de motivation adressée à la directrice du département des études et de la recherche de l’INHA, détaillant le projet scientifique, les motifs de la recherche (et les institutions et fonds visés par le déplacement), les lieux, la durée et la période envisagées ;
  • un CV ;
  • le budget pour le séjour de recherche ;
  • pour les candidats et candidates résidant en France souhaitant un séjour dans un ou plusieurs pays de l’Union européenne : un justificatif de domicile pour l’année universitaire concernée.

Résultats

Voici les résultats des précédentes éditions.

2023

Le jury 2023 a retenu les candidatures de :

  • Sophie Cras, maîtresse de conférences en histoire de l’art contemporain, université Paris I Panthéon-Sorbonne, pour son projet Une histoire des savoirs économiques exposés 
  • Ruth Ezra, lecturer en histoire de l’art, université de Saint Andrews, pour son projet Leaves of Glass: Mica between art and science in early modernity
  • Emmanuel Lamouche, maître de conférences en histoire de l’art moderne, Nantes Université, pour son projet Sylvia Pressouyre (1935-1987) et Rome
  • Haude Morvan, maîtresse de conférences en histoire de l’art médiéval, université Bordeaux Montaigne, pour son projet Décors hagiographiques dans les couvents dominicains italiens à la Renaissance
  • Perrine Val, ATER, université Sorbonne Nouvelle, pour son projet Étudiants non-Européens à l’école de cinéma de la RDA